Chaptal

d’études Parler des peurs Pour vaincre la douleur UE 5.6.S6- Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles Travail remis le Jeudi 16 Mai 2013 Directeur de mémoire : Mme Duchemin Fondation Léonie Chaptal 2 Note aux lecteurs : « Il s’agit d’un travail personnel et il ne peut faire l’objet d’une publication en tout ou partie sans l’accord de son auteur ». 3 Remerciements Je tiens tout d’abord à remercier ma directrice de mémoire pour son accompagnement

nouveau : le préfet. Il est nommé par le chef de l'Etat et est "un véritable empereur au petit pied". Il est en fait une sorte de résurrection d'une institution critiqué de l'ancien régime à savoir l'intendant mais sans aucun de ses inconvénients. Chaptal qui est le futur min de l’intérieur et qui est rapporteur du projet de lois devant le CE présente ainsi les fonctions et le rôle du préfet. « Le préfet ne connait que le ministre ; le ministre ne connait que le préfet ; le préfet ne discute pas des

l'histoire du champ depuis 1970, vue sous l'angle de la formation des enseignants et de sesretombées sur les pratiques pédagogiques. VI- L’INFORMATIQUE EN MILIEU SCOLAIRE : IMPLANTATION 1- L'implantation Des Technologies Educatives Aux Etats-Unis Chaptal (2003) a montré comment le contexte éducatif américain a eu un rôle stratégique dans le développement des technologies éducatives. Celles-ci ont été développées de façon à gérer un système éducatif jugé en permanence déficient et inégalitaire, 1'

HARRACHE (PA) - Mme VAN HOFF (Responsable Classes Prépas.) Lycée CLAUDE MONET P 1, Rue du Docteur Magnan (13ème) X X Tél. 01.56.61.90.00. - Fax. 01.56.61.90.02. M. ANTON - Mme LAVERGNE (PA) - Mme LAPLACE (Resp. Classes Prépas.) Lycée CHAPTAL P 45, boulevard des Batignolles (8ème) X X Tél. 01.45.22.76.95. - Fax. 01.44.70.13.68. M. TORRES - M. EVENO (PA) & (Responsable Classes Prépas.) Lycée CLAUDE BERNARD P 1, avenue du Parc des Princes (16ème) X Tél. 01.46

au travers de soins bénévoles, il a fallu l’avènement de la première guerre mondiale et de la laïcité pour se faire une place au sein des métiers de la santé. Cette période donna en effet l’occasion aux défenseurs de la cause infirmière, comme L. Chaptal d’affirmer leur conviction et d’agir dans le sens d’une réglementation de la formation et de la pratique. Mais jusqu’aux années 1970, existe une relation de dépendance avec la médecine. On ne parle pas encore de soins infirmiers mais de soins donnés

industriels doit se lire en regard d’un tissu industriel fortement déconcentré sans véritable région industrielle au sens moderne du terme, où domineraient les branches traditionnelles du textile et des industries de transformation. ( Recensement de Chaptal en 1819 : ensemble des textiles pèserait pour 50% . Le reste dessine à forts traits le paysage de l’industrie ancienne : parfumerie, ébénisterie, papeterie, horlogerie, bijouterie…) DONC : la petite production artisanale et domestique , « labour

composé sa première pièce. Pendant la guerre de 1870, les Feydeau trouvèrent refuge à Boulogne-sur-Mer. Ils rentrèrent à Paris en mars 1871, et, en mai, partirent pour Hombourg (Allemagne). Revenu à Paris, il devint, en octobre, interne au collège Chaptal. En 1872, il fut interne au lycée Saint-Louis. Encouragé par Henri Meilhac, il écrivait toujours des pièces. Le 29 octobre 1873 mourut Ernest Feydeau ; il fut inhumé au cimetière Montmartre. Son fils composa : ____________________________________________________________

est propre, même si cela transparait difficilement dans le présent document. Enfin, je ne pourrais trop remercier MM. Michel COGNET et Jérôme DÉGOT qui m’ont permis de coller dans leurs classes, en MPSI au lycée Louis-le-Grand et en MP* au lycée Chaptal. À tous, un grand merci. G. BISSON Paris, juin 2006 Nancy, mai 2009 Table des matières Préface Qu’est-ce ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prérequis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

économique, de l’éducation nationale et plus particulièrement des lycées). Les préfets ont au demeurant symboliquement perdu leur titre de préfet en 1982 pour celui de commissaire de la République (ils l’ont recouvré par le décret du 29 février 1988). Chaptal, dans son rapport de présentation de la loi du 28 pluviôse An VIII (18 février 1800) au Corps législatif (créant les préfets), traçait les contours d’un système administratif idéal en indiquant que la force d’un système d’administration « est toute

district révolutionnaire on trouve un fonctionnaire nouveau, le préfet nommé par le chef du gouvernement véritable empereur au petit pied, il peut-être vu comme une résurrection de l’intendant avec tous ces avantages mais aucun de ses inconvénients. Chaptal, un scientifique futur ministre de l’intérieur et le rapporteur du projet de loi devant le conseil d’état il représente le rôle de cet agent centrale « le préfet ne connaît que le ministre, le ministre ne connaît que le préfet, le préfet ne discute