Charles-Albert de Sardaigne

piémont-Sardaigne l’Espagne et la suède. La France et en été en position de vaincu. C) les résultats du congrès : la carte de la nouvelle Europe. L’Autriche annexe deux régions : la Lombardie et la Vénétie. La presse actuelle la Rhénanie Westphalie : les Prusse sont aux portes de la France. La Pologne est partagé entre la Russie la Prusse et l’Autriche Les frontières françaises sont contrôlées : au nord par les Pays-Bas, à l’est par la Prusse et au sud par le piémont-Sardaigne. Il la

Vénétie. Metternich durant son règne, réussit à asseoir sa domination au sein de l'empire : depuis 1815 il est le garant de l'ordre établit au congrès de Vienne. A ce moment la la quasi totalité du pays été sous la domination autrichienne sauf la Sardaigne et Piémont car ce dernier (qui était en voie d'industrialisation). Il était contre les idéaux révolutionnaires et réprimait au mieux le libéralisme, et le principe des nationalités qui étaient cher aux divers états d'Italie. On observait durant

aspirations nationales de la bourgeoisie italienne. Les insurrections vont alors se multiplier. Le 22 mars 1848, l’armée autrichienne doit évacuer Milan et, le même jour, Venise proclame la République de Saint-Marc. Le 25 mars, le roi du Piémont-Sardaigne, Charles-Albert I, attaque l’Autriche. Enfin, à Rome, les révolutionnaires chassent le pape. Comme l’Italie, l’Allemagne en de multiples Etats et royaumes et ne sera unifiée qu’en 1871. Le 5 mars, des libéraux se réunissent à Heidelberg : ils organisent

servitude. En février 1827 il est nommé lieutenant du génie à Turin. En 1828, il participe à des travaux de fortification dans les Alpes . En 1830, il espère que la révolution de juillet, en France, va inciter à la libéralisation du royaume de Piémont-Sardaigne. Envoyé au fort de Bard, dans la Vallée d'Aoste en raison de ses opinions politiques, il démissionne de l'armée le 12 novembre 1831 et se consacre à la gestion du domaine de Grinzane, qui appartient à son père. Il est élu maire de la commune de Grinzane

Italie et Allemagne a. 1830: des espoirs écrasés • La péninsule italienne et le monde germanique sont dominés depuis le traité de Vienne par l'Autriche. L'Italie est divisée en plusieurs Etats indépendants : o royaume de Piémont-Sardaigne comprenant la Savoie et Nice o duché de Parme o duché de Modène o grand duché de Toscane, administré par les Habsbourg-Lorraine o Etats pontificaux o royaume de Naples et de Sicile unifié

Vénétie, réunis dans le royaume de Lombardie-Vénétie; la Toscane revient à Ferdinand III de Lorraine, Modène à François IV d'Este-Lorraine. Les bourbons (dynastie française) obtiennent le duché de Parme et le royaume de Naples. Seul le Piémont-Sardaigne reste indépendant. Le pape retrouve ses états. L'Italie n'est donc qu'une simple expression géographique et n'existe pas en tant qu'Etat puisqu'elle est totalement morcelée. Ce congrès ne tient donc pas compte du sentiment national présent

d’effervescence populaire. Celle-ci se caractérise par une forte mobilisation armée et trouve son point d’orgue dans la déclaration de guerre à l’Autriche et l’entrée des troupes italiennes en Lombardie qui est délivrée. Par ailleurs, le roi de Piémont, Charles Albert, accorde un statut constitutionnel qui deviendra, après 1860, la constitution de l’Italie unitaire. En Allemagne, le mouvement aboutit respectivement à l’élection du Parlement de Francfort et à la mise en place du premier Gouvernement de l’Allemagne

Lamartine dans un circulaire pour calmer les craintes mm si Lamartine affirme ne plus reconnaitre les traités de 1815. ITALIE 8 janvier à Naples : 1ere révolution. Le roi de Piémont-Sardaigne Charles-Albert et le Pape proclame des constitutions. Milan : révolte contre Autriche  Mouvement qui devient national. Charles-Albert prend la tête du mouvement nationaliste contre l’Autriche. Mais 2 défaites de suite pour les Italiens. Abdique et son fils Victor-Emmanuel II au pouvoir. 1849 : Intervention française

Slaves (Tchèques, Slovaques, Polonais, Serbes, Slovènes), Hongrois et Baltes. Allemagne émiettée en trente-neuf principautés dominées par Prusse + Autriche-Hongrie revendiquant l’héritage du Saint Empire Germanique. Italie très morcelée (Piémont-Sardaigne, Lombardie-Vénétie, les Etats du Saint-Siège et le Royaume de Naples + principautés de Parme, Modène, Florence). Domination Autriche, économies arriérées, sociétés cloisonnées.  absence totale et très ancienne de tradition démocratique et auto-déterministe

aux revendications nationalistes et libérales un auditoire plus attentif, et surtout plus réactif. L’Italie est alors la première à se révolter (Palerme et Naples en janvier 1848) obtenant ainsi des constitutions dans les royaumes de Naples, de Sardaigne, dans le grand-duché de Toscane et à Rome. Mais l’Italie n’est pas la seule à se soulever contre l’emprise autrichienne ; le problème national s’impose avec grande envergure en Hongrie. Pays où la noblesse constitue l’élite, la rare bourgeoisie