Charles IV

XIV. Figure incontesté, et incontestable. Un roi une foi une loi. Il y a une singularité de la monarchie française dans l’espace européen, un état qui se retrouve matérialisé dans une seule tête, Angleterre èparlementarisme (Stuarts, absolutisme).Charles 1er ne gouverne pas longtemps, guerre, contraintes financière, ce qui le pousse à convoquer le parlement, découle de là une révolution, décapité en 1649, puis l’Angleterre passe à un régime représentatif, la glorieuse révolution, le roi règne mais

fondamentales du royaume. Par cet arrêt le Parlement de Paris refuse la candidature proposée par la Ligue (A) et affirme l’Egalité des règles successorales du royaume (B) A/Le refus d’une femme à la tête du Royaume Au lendemain de la mort de Charles X avant même qu’il ai eu le temps d’être sacré, le Duc de Mayenne, chef de la maison de Guise est nommé lieutenant général du royaume pour éviter la vacance du pouvoir en attendant qu’un nouveau Roi soit désigné. Il convoque les Etats généraux composé

dernier meurt sans héritier mâle non plus, la couronne revient à Charles IV. Et le même scénario se répète, sauf que la branche aînée des Capétiens est tarie. A qui revient la couronne ? Plusieurs têtes se tendent : Tout d’abord celle de Philippe III d’Evreux, marié à Jeanne, la fille de Louis X. Mais on réfute sa candidature au prétexte que Jeanne, n’ayant pas hérité de la couronne de France, ne peut la lui donner. Ensuite, Charles de Valois, cousin des rois défunts, et qui deviendra roi sous le

Guerre des Cent Ans. Druon utilise comme fil conducteur la malédiction proférée, selon la tradition, le 18 mars 1314, des moments avant de mourir dans le bûcher, par Jacques de Molay, un dernier Grand Maître de l’Ordre des Templiers, contre Philippe IV le Beau de la France et contre toute sa dynastie. En réalité, la malédiction sert à l'auteur de prétexte à nous introduire dans le creuset d'intrigues, de trahisons et de passions qui a régi la vie dans la cour française durant la première moitié du

s’occupaient de moi par substitution, je les vivais comme des rejets successifs. C’est la raison pour laquelle, quand j’ai atteint la majorité, Paris m’a paru comme le refuge où débarque un permissionnaire. Et encore ! Car j’ai été pensionnaire au lycée Henri-IV, c’est-à-dire enfermé dans la ville où vivaient pourtant mes parents, et cela m’a semblé encore plus dur à vivre. Je voyais mes copains rentrer chez eux à 16 h 30, et, moi, je restais cloîtré dans le dortoir du lycée avec des veilleurs de nuit. C’était

30 mars 1950 à Jouy-en-Josas. Léon Blum est un homme politique français socialiste. Sa mère était juive et il subissait donc de nombreuses critiques. Il est d'abord allé dans différentes pensions, puis dans des lycées, notamment le lycée Henri-IV, où il rencontre André Gide qui lui permet de publier ses premiers poèmes à l'âge de 17 ans dans un journal. En juillet 1890, il est admis à l'École normale supérieure. Mais il quitte cette école en 1891. Il étudie alors le droit et la littérature à

Il se signala au siège de Lens en 1552, à la défense de Metz contre Charles Quint en 1553, servit ensuite en Flandre et en Italie jusqu'à la trêve de Vaucelles (5 février 1556). Il fut fait colonel général de la cavalerie légère et continua de se distinguer durant les guerres de Religion contre les protestants. Il commanda les Suisses qui ramenèrent à Paris Charles IX, que les calvinistes avaient voulu enlever à Montceaux-les-Meaux. En 1559, il fut l'ambassadeur du duc Emmanuel-Philibert de Savoie

des droits de l'Eglise de France (A) mais aussi de limiter ses droits (B). A. Le roi « gardien des droits de l'Eglise de France Cette expression est consacrée lors de la Pragmatique sanction de Bourges de 1438. C'est une ordonnance prise par Charles VII qui réunit les abbés et évêques de France, et qui conforte la position gallicane du roi de France. Elle fixe une position particulière à l'Eglise de France. En effet, en renforçant les liens entre l'Eglise de France et le roi, elle limite les

Co-mouvements extrêmes, interdépendance ou contagion ? Une analyse d’après la théorie des valeurs extrêmes Bei XU∗ LAREefi, Université Montesquieu Bordeaux IV Juin 2008 Résumé : Cet article étudie la nature des co-mouvements extrêmes sur les marchés financiers en utilisant la théorie des valeurs extrêmes. A travers l’analyse de l’évolution de la structure de dépendance à l’aide d’une part de la mesure de dépendance extrême proposée par la théorie des valeurs extrêmes, et du coefficient de

Boniface VIII contre Philippe le Bel – 1301 : Bulle Ausculta fili Le document est la Bulle Ausculta fili rédigée le 5 Décembre 1301 à l’intention du Roi de France Philippe IV le Bel par le Pape Boniface VIII. Une bulle est une lettre apostolique rédigée en forme solennelle, dont l'objet est d'intérêt général et qui est scellée du sceau pontifical : ici elle rappelle la supériorité du pouvoir spirituel sur le temporel et convoque le roi de France devant un concile à Rome. On la désigne par le ou