Charles Lang

science-fiction et les thèmes qui lui sont si chers, en particulier la déshumanisation engendrée par la technologie, la création de la vie artificielle et la peur de l’inconnu, n’ont jamais été mieux développés que dans l’œuvre du réalisateur allemand Fritz Lang, Metropolis. Étrangement, ce film si important a été largement oublié par la communauté cinéphile, mais un retour rapide sur cette dernière grande production de l’ère muette permettra de bien comprendre toute son l’influence sur l’histoire du cinéma

- Le film ""Metropolis" « Metropolis » est un film expressionniste de science-fiction allemand produit pendant la courte période de la République de Weimar. Réalisé en 1927 par le cinéaste autrichien Fritz Lang, le film est muet, mais sonorisé, et en noir et blanc. Le scénario est écrit par Lang et sa femme, Thea von Harbou, avec comme acteurs Brigitte Helm, Gustav Fröhlich, Alfred Abel et Rudolf Klein-Rogge. Le film est produit aux Studios Babelsberg par UFA (Universum-Film AG). Ce long-métrage

château du Roi se rapproche de ceux des comptes de fées dans les dessins-animées. Il fait également référence, par sa hauteur, à la tour de Babel qui s’élevait avec arrogance jusqu’au ciel. La ville ressemble également à celle de Métropolis de Fritz Lang (immeubles hauts et étroits, architectutre géométrique). La cité pourrait paraitre idéale mais elle est quasiment vide et elle est sans vie. Cela la rend triste et angoissante. III – La critique du totalitarisme La Takicardie ( nom de la cité) réunit

il lance de l’ombre quelques indices qui les accusent implacablement. Toutefois, au moment du verdict, Joe, reconnu par Katherine qui le ramène à la raison, se présente devant le juge et renonce à sa vengeance. Un des grands classiques de Fritz Lang, et un film remarquable à de nombreux points. D’abord par son sujet très forts ( le lynchage) très bien traité, et rendu de manière pour le moins brillante, grâce à des plans plus fort les uns que les autres, et une tension toujours palpable, grandissante

SAUVONS LES RÔLISTES Paroles et musique : Pen of Chaos Interprètes : le Naheulband et ses invités On les trouve en groupe de cinq Dans les caves des facultés Ils adorent faire les malins avec leurs dés Ils dessinent dans leurs cahiers Des épées des loups-garous Ils n'écoutent pas en cours d'anglais Car ils connaissent déjà tout Ils achètent des boîtes de jeux Dont on comprend pas le titre Ils collectionnent des bonshommes en plastique On les voit sur Internet Dans les GN en caleçon

en scène comme Fritz Lang, Friedrich Murnau, Paul Leni et Paul Wegener. Les œuvres les plus représentatives de cette période sont :Nosferatu de Murnau, Metropolis, Les Trois lumières, Le dernier des Hommes (Der Letze Mann), et Le Testament du Dr. Mabuse. La démesure était associée à un genre de cinéma d'horreur et fantastique. Quelques œuvres postérieures se réalisaient dans l'étape du cinéma sonore, comma par exemple, M le Maudit (également connu simplement par M) de Fritz Lang. Cependant, dans la

millions sur le budget prévu. Ce qui caractérise Metropolis, c’est la grandeur technique de son exécution. Les images de l’usine, avec ses foules d’ouvriers marchant en cadence, les visions de la ville avec ses étages superposés, inspirées de New York que Lang a visité en 1924, les scènes du robot entouré de cercles de feu, sont fixées dans la mémoire collective. L’église souterraine de la nouvelle religion sociale, avec son enchevêtrement de croix et de jeux lumineux, le rythme des scènes de l’inondation

FAITES DE LA MUSIQUE HISTOIRE : En 1982 l’idée proposée par Joel Cohen des années auparavant, en 1976 exactement, est mise en place par Maurice Fleuret et Jack Lang qui était alors ministre de la culture. Ils avait alors prévu de faire cette fête le jour du solstice d’été pour que ce jour soit le plus long de l’année, mais surtout la nuit, car au départ, il n’était prévu qu’un créneau de 30 minutes qui fut bien sur largement dépassé. Cette Fête de la musique de 1982 ne fut, qu’une sorte de

filmographie entiére de ce réalisateur hors norme est un hommage à cette époque extraordinaire du cinéma, car fasciné par le cinéma muet, il se passionne pour les chefs-d'œuvre à l'esthétique envoûtante de F.W. Murnau (Nosferatu le vampire, L'Aurore), Fritz Lang ( M le Maudit) ou Robert Wiene (Le Cabinet du Docteur Caligari dont il espère toujours mettre en scène le remake). Il rend souvent hommage à ces sources d'inspiration. Quelques mots maintenant sur l' expressionnisme: Suite à la premiére guerre mondiale

Résumé Rocky 1 : Apolon est le champion du monde de Boxe et à remis son titre à plusieurs reprises. Seulement, les années passent et le réalisateur du film fait passer le message que personne ne veut affronter Apollon. Apollon est déçu qu'il ne trouve plus de challenger et essaie de trouver par n'importe quel moyen de se battre contre une pointure. En vain, il décidé donc de donner une chance à un challenger 'inconnu' qui boxe de temps à autre dans une salle. Le choix fut sur Rocky Balboa, la