Charles V d'Anjou

CHAPITRE V : UNE SOCIETE REGIE PAR UN DROIT Quelles que soient les conditions dans lesquelles un groupe vit, on ne peut pas imaginer une cohésion entre les individus sans règle de vie. Des habitudes, des points de référence, d’ancrage… sans lesquels c’est le désordre, la querelle. Il n’y a pas de coexistence entre les hommes sans qu’ils se donnent d’une manière plus ou moins élaborée des règles, des codes… Sociétés matriarcales = les femmes décident ; patriarcales : le plus vieux père de famille

se fait nommer roi à sa place. Se fait sacré roi en 751. En 751, il le refait devant le Pape. L’intérêt pour le roi est de trouver une source de légitimité. Le régime politique est celui de Dieu pour Dieu : théocratique. Le successeur de Pépin, Charles, se lance dans une campagne militaire. 2 institutions connaissent des difficultés et sont affaiblies. Dans l’entourage du Roi des francs, lettrés…germe l’idée de la restauration de l’Empire d’Occident. Le 24 décembre 800, Charlemagne est couronné

L’époque Franque * A la fin du IV° siècle, la séparation entre l’Occident et l’Orient se fait. Le monde Grec (l’Orient) et le monde Latin (l’Occident) se sont séparés. Et en Occident l’Empire romain qui avait été très glorieux s’effondre au cours du V siècle, il subissait alors une conjonction de crises : crises politiques : l’empereur est affaibli, superstitieux, il a perdu le contact avec le peuple, il est manipulé par son entourages (notamment par ses femmes). L’influence des monarchies Orientales

est importante puisqu'elle marque la romanisation de la gaule jusqu'à la chute de l'Empire Romain d'Occident en 476. On emploiera le terme de gallo-romain à la suite de cette conquête. LE MONDE GALLO-ROMAIN Pendant cette période (plus de V siècles), l'Histoire de la Gaule se confond avec Rome, mais les Gaulois font l'objet d'une romanisation : les gallo-romains. Les romains sont des administrateurs et les territoires conquis forment des provinces gérées par Rome par l'intermédiaire de

politique. On assiste alors à une puissance de l’aristocratie. Il laisse ainsi le pouvoir à leur plus proche collaborateur que l’on appelle le maire du palais. Finalement ce chef de l’administration, détrônera le roi mérovingien. Le plus connue est Charles Martel. Pépin le bref (son fils) renversera le dernier roi mérovingien Du point de vue du pouvoir : La notion abstraite d’état a totalement disparue. Le pouvoir désormais est une notion concrète, c’est-à-dire qu’il s’agit de relation de dépendance

burgonde ou à un noble romain, qu'il soit contraint de payer XV sous. 2. S'il a brisé une dent à des personnes ingénues d'humble condition, tant Burgondes que Romaines, qu'il l'amende à X sous. 14. MARCULFE, Formules, I, 8 (éd. K. ZEUMER, M.G.H., LL, V, p. 47-48 ; trad. J. IMBERT, G. SAUTEL, M. BOULET-SAUTEL, op. cit., vol. I, p. 340-341). Charte de duché, de patriciat ou de comté. La perspicacité de la clémence royale est louée dans sa perfection pour ce qu’elle sait choisir entre tous les sujets

(changement dynastique) se fait au 7e siècle, au moment où le royaume des francs est placée sous la menace d'une autre vague d'invasion qui vient du sud, par les invasions arabes a placer dans le cadre d'une guerre sainte. En 732, Charles Martel arrête les arabes à Poitiers, Charles Martel est maire du palais du royaume d'Austrasie, et il apparaît alors comme le sauveur de la chrétienté. Son fils va tirer bénéfice : c'est Pépin le Bref. 2) La dynastie carolingienne de 751 888. Ils sont aussi nommé Pépinide

tenté de reconstituer la souveraineté, qui avait existé chez les romains, pour tenter de défendre les français contre des rivaux qui pourrait lui être supérieur. Reconstituer une idée de souveraineté sera possible principalement autour du règne de Charles V. Bien sur, avant cela les capétiens ont tenté de développer l’idée de la souveraineté, mais à l’origine, la faiblesse de l’état capétien rend ce désir illusoire. Les anglais y parviennent beaucoup plus tôt. Les 1er capétiens sont plus faibles que

iznogood-factory.org Table des mati`res e I II III IV AVERTISSEMENT DE LA VIE ET DES POEMES ´ ´ VUE GENERALE DE L’ENFER L’ENFER 4 9 19 21 22 26 30 35 39 44 48 52 56 59 63 66 69 72 75 78 2 1 CHANT PREMIER 2 CHANT II 3 CHANT III 4 CHANT I V 5 CHANT V 6 CHANT VI 7 CHANT VII 8 CHANT VIII 9 CHANT IX 10 CHANT X 11 CHANT XI 12 CHANT XII 13 CHANT XIII 14 CHANT XIV 15 CHANT XV 16 CHANT XVI ` TABLE DES MATIERES 17 CHANT XVII 18 CHANT XVIII 19 CHANT XIX 20 CHANT XX 21 CHANT XXI 22 CHANT XXII 23 CHANT

travailleuse guadeloupéenne en France, Paris, L’Harmattan, 1978. AGEORGES Sylvain, Sur les traces des expositions universelles (1855-1937), Paris, Parigramme, 2006. AGERON Charles-Robert, « L’Exposition coloniale de 1931, mythe républicain ou mythe impérial  », in N ORA Pierre (dir.), Les lieux de mémoire, Paris, Gallimard, 1997. AGERON Charles-Robert, « Vichy, les Français et l’Empire », in AZÉMA Jean-Pierre, BÉDARIDA François, Le régime de Vichy et les Français, Paris, Fayard, 1992. AH-PENG Yves, « Les