Charlie Chaplin Et Le Burlesque

être émus de pitié. Celui qui rit d'un autre homme, c'est qu'il se sent supérieur à lui | fonction défensive | le conseil hédoniste du narrateur : Vivez joyeux | le rire a besoin d'un écho, le milieu naturel du rire est la société | le film de Chaplin correspond à l'engagement humaniste du cinéaste | celui qui fait rire des êtres qui ont tant des raisons de pleurer, celui-là leur donne la force de vivre, et on l'aime comme un bienfaiteur. | fonction sociale | rire est le propre de l'homme |

direction de la compagnie Biograph, celle-ci change radicalement. Il produit des films novateurs qui la conduisent à la première place. Mack Sennett lance aux USA la formule de la comédie burlesque en rejoignant la Biograph comme acteur à la même époque que Griffith qui lui confie le département comédie. Charlie Chaplin pénètre l’univers de Sennett dans Making a Living (1914) puis dans Kid Auto Races at Venice (1914) où le personnage de Charlot apparaît pour la première fois. Laurel et Hardy deviendront

de la rose (1980) 4- Stefan Zweig : extraits de Conscience contre violence (1936) 5- Article de Charlie-Hebdo sur le procès pour avoir publié deux caricatures de Mahomet en relation avec une planche de J.Sfar : Philippe Val répondant à l'avocat des plaignants. (2007) - Article de Philippe Val extrait de Le rire de résistance en liaison avec Le nom de la rose et le procès contre Charlie-Hebdo. - BD "Persépolis" de Marjane Satrapi (t.4) extrait de la partie intitulée "Les chaussettes"

sont déjà venus aux Rencontres ! Anouk Aimé, Ariane Ascaride, Sabine Azéma, Richard Bohringer, Yves Boisset, Sandrine Bonnaire, Michel Bouquet, Peter Brook, Claudia Cardinale, Leslie Caron, Jean-Claude Carrière, Greco Casadesus, Dolorès et Eugène Chaplin, Souleymane Cissé, Jérôme Clément, Julie Delpy, Antoine Duhamel, Daniel Duval, Ronit et Schlomi Elkabetz, Pierre Étaix, Brigitte Fossey, Thierry Frémaux, Robert Guédiguian, Pierre Jolivet, Nacer Khémir, Abbas Kiarostami, Cédric Klapisch, Philippe

inventives dans la forme. Rien de neuf apparemment : le rire est universel, du moins la satire politique, les cocasseries et absurdités de l'existence, le burlesque, l'esprit de résistance incarné dans la causticité, l'ironie. Bref, l'humaine condition. Voltaire, Molière ont traversé les siècles et les frontières. Les films de Charlie Chaplin et Jacques Tati ont été unanimement applaudis et compris partout. Seuls les dictatures et les intégristes de tout poil sont, de tout temps, demeurés réfractaires

compagnie d’un couple de domestiques sur une île où les maîtres deviennent valets et les valets deviennent maîtres. Devenus maîtres les valets vont s’employer à singer leurs maîtres dans une sorte de mise en abyme du théâtre. Apparaît alors de manière burlesque la réalité de l’attitude des aristocrates face à leur domesticité. Cet épisode permet aux maîtres de voir leur propre image en action, leur comportement injuste, égoïste, prétentieux, violent parfois et cela peut les mettre sur la voie d’une réforme

États-Unis où il commencera à récolter des lauriers pour ses œuvres. En 1963, il acceptera de jouer son propre rôle dans Le Mépris de Godard. Il décédera en 1976 et deviendra l'objet de l'admiration du courant Nouvelle Vague, au même titre que Chaplin et d'autres. Il est donc une référence du cinéma. c) Filmographie: Allemagne: – Les 3 lumières (muet, 1921): Inspiré de la poésie symboliste, il s'agit de réflexions sur le rapport entre l'Amour, la Beauté et la Mort. Il y a des effets de contrastes

1971 : « Trafic », 1973 : « Parade » 1.2 La position de l’œuvre dans l’histoire du cinéma -position singulière, n’appartient pas à un mouvement  -influences : p. ex. Charlie Chaplin 1.3 « Mon oncle » -sorti en 1958, 3ème long-métrage et premier film en couleur de Tati -genre de la comédie burlesque -Durée : 110 minutes ; Lieu de tournage : Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) et en studio -Premiers rôles: Jacques Tati (M. Hulot), Jean-Pierre Zola (Charles Arpel), Adrienne

Moyen-Âge, mystère de la passion du Christ (Pâques) = entractes de plus en plus longs et complexes. 1.2 Évolution du théâtre occidental : «plaire et instruire» Renaissance : Drames sanglants (Shakespeare, Angleterre) Comedia dell’arte (Théâtre burlesque italien opéré par des troupes professionnelles) XVIIe : Théâtre classique (Racine, Molière) respect des règles (Aristote, Poétique) XVIIIe : Comédies dramatiques ou satiriques dénonçant les privilèges sociaux (Marivaux, Beaumarchais) XIXe : Refus

mesurant, pour le lecteur, les minutes le séparant d’une catastrophe annoncée que tous les acteurs ignorent148 . Notons encore les gags et clowneries dans le type du comique de situation : les gags mis à l’honneur dans le cinéma burlesque américain – notamment avec Charlie Chaplin, un personnage récurrent dans l’imaginaire de Solal – représentent le comique de