Charlotte de Savoie

générale Cette œuvre est une sculpture hyperréaliste. Elle a été réalisée en résine de polyester, peinte ensuite à l’acrylique. Cette sculpture utilise également des cheveux réels, des yeux en verre, de vrais vêtements et des accessoires (bigoudis, charlotte, 2 colliers, 1 cigarette, un sac à main, le caddie et des produits alimentaires). Cette sculpture mesure la taille d’un adulte (on dit qu’elle est à l’échelle 1). Cette œuvre se trouve au musée d’Aix-la-Chapelle. 2) Description détaillée

c'est à sa femme que je pense. Elle s'appelait comme lui, Bobby, Bobby Watson. Comme ils avaient le même nom, on ne pouvait pas les distinguer l'un de l'autre quand on les voyait ensemble. Ce n'est qu'après sa mort à lui, qu'on a pu vraiment savoir qui était l'un et qui était l'autre. Pourtant, aujourd'hui encore, il y a des gens qui la confondent avec le mort et lui présentent des condoléances. Tu la connais ? M. SMITH Je ne l'ai vue qu'une fois, par hasard, à l'enterrement de Bobby.

qui ne croit ni Ciel, ni enfer »,« courroux du Ciel »,pire que le «  diable ». c’est encore l’hyperbole qui caractérise son discours dicté par l’émotion. Il accumule les expressions qui lui viennent à l’esprit. - Sganarelle sans le savoir nous révèle sa personnalité : S est un bavard , un homme spontané. Il libère son cœur : « Je t’ai fait cette confidence avec franchise… » .C’est pourquoi, il parle longuement. C’est un naïf, un homme crédule . Il mélange croyances populaires

Etudiez le personnage que vous allez incarner dans l’Illusion comique MATAMORE Nous allons étudier le personnage de Matamore dans l’Illusion comique de Corneille. Il faut avant tout savoir que cette pièce a été écrite sur une commande du comédien Mondory (qui dirigeait le théâtre du Marais) : il voulait exploiter les ressources de son nouvel acteur Bellemore spécialisé dans les rôles de capitans. Matamore est un capitan gascon, amoureux d’Isabelle. Il tient le rôle traditionnel du grotesque

progressivement inculquées à des enfants, pour qui ces savoirs ne sont évidemment pas innés. (…) La bourgeoisie se construit continument. Les bourgeois travaillent sans cesse à conforter la classe bourgeoise (…). Par un travail toujours recommencé, la classe entretient les limites qui marquent ses frontières, instruit ses jeunes générations, se préserve des promiscuités gênantes ou menaçantes. Source : Michel Pinçon, Monique Pinçon-Charlot, Sociologie de la bourgeoisie, La découverte, 2005.

marche ??? :non mais tu sait a qui tu parle je suis quand même la reine de ce lycée et en plus c quoi cette manière de t'habiller tu fait pitié ma pauvre ???:c vrai tu te prend pour qui pour parler de cette manière a ambre ???:ouais ta trop raison charlotte elle se prend pour qui la nouvelle Moi:C'est bon vous avez fini moi j pas que sa à faire bon maintenant tu bouge de mon chemin ''princesse'' en plus c'est moi qui devrait dire sa avec tes fringue on dirai barbie version pute Ambre:non mais tu te

bijoux, ni prothèses dentaire, auditives… |Pas de sous vêtement | | | | |- Porte une charlotte, une chemise propre sans sous-vêtements, dans des draps propres |Charlotte mise en place à l’accueil | | | | |(avant son installation sur la table d’opération)

PRESENTATION DE L OEUVRE 1.Jane Eyre Charlotte BRONTE 2.1847 en Angleterre et en 1854 français par Madame Eugène Lesbazeilles-Souvestre ETUDE DE L OEUVRE 1.Roman 2.Jane est une petite fille orpheline qui habite chez sa tante qui ne l 'aime pas. Elle va en pension ,elle a une réputation de petite fille mal élevée et impertinente elle a du mal a se faire des amis elle y reste jusqu'à ses 18 ans où elle est institutrice. Elle cherche du travail .Elle est embauchée chez Mr Rochester

de la fatigue, soit de permettre à l’homme de faire ce qu'il ne peut pas réaliser seul. Cependant, on aura à se demander si l'Homme doit avoir une confiance totale dans les machines. Il faudra voir aussi si elles à l'origine de la perte de certains savoir-faire ? L'étude de la notion « machine » nous conduit à étudier sa racine. D'origine grec, « mêchanê » a un double sens, il signifie « machine » mais aussi « ruse ». La machine est donc initialement une ruse contre la nature pour les Grecs et semble

nouvelle dans la classe de Manu : elle s’appelle Priska et vient d’un pays que personne ne connaît. Dans ce mystérieux pays, Priska a, dit la maîtresse, vécu des choses difficiles. Quoi exactement ? Quelle est son histoire ? Manu aimerait bien en savoir plus sur celle que tout le monde commence à prendre pour une sorcière … Ma révolution de Sophie Dieuaide : Halte aux leçons ennuyeuses et aux légumes pas cuits de la cantine ! Pour faire entendre sa voix, Thomas entraîne ses amis dans un pari un