Charognard

» (l.25). - aux hyperboles : « la vaste pleine » est en effet « entièrement désolée… » (l.23), « couverte de cent mille cadavres » (l.23-24) - la métonymie et l’allitération en [f] du « fer » et de « la flamme » (l.23) - ’accumulation des charognards : « les aigles, les vautours, les corbeaux et les loups » (l.25) - l’image horrible des hommes « s’égorgeant » (l.30). - au parallèle entre le loup et l’homme : le loup prononce la même phrase que l’homme et ainsi l’homme est assimilé au loup

strophe : « le vol noir » fait référence aux stukas (avion de guerre allemand) et « noir » à l’uniforme S.S. « les corbeaux » sont les soldats allemands qui pillent le pays et vivent sur le dos des Français , ils sont donc décrits comme des charognards. « Les cris sourds » soulignent la répression sur les opposants et résistants : le parti communiste en est une première victime, il devient le parti des « fusillés ». « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition

il reste toutefois fidèle aux traditions de sa tribu et continue à porter les costumes d'antan. En malinké, son nom signifie « roi » ou « chef ». Il est le dernier et légitime descendant du prince de Horodougou. Il est devenu un mendiant, un « charognard » comme on le dit, lui qui était élevé dans la richesse. La stérilité de sa femme Salimata met fin à son espoir d’avoir un héritier. Ce vieil homme solitaire et déchu va invoquer la mort qui viendra le trouver dans la dignité. Salimata : Salimata

On fait allusion aux avions allemands, nommé les « shukas »métaphore de l’ennemi qui sont les l’allemands nazis ici. Noir : Comme les couleurs de l’uniforme des SS (Police militaire de l’Allemagne Nazie), comme le deuil, la mort. Corbeaux : Charognards planant au-dessus des cadavres, métaphore de l’ennemi qui est les allemands nazis qui tuent, pillent les pays. Le corbeau représente une menace comme les l’allemands nazis. Nos plaines : Notre pays, notre grand espace plat ou il est impossible

bombardent la France en tuant et en poussant les rescapés à l’exode. Noir des corbeaux fait référence aux stukas. Noir est la couleur de la mort, du deuil, de l’uniforme de la Gestapo et de certains SS. C’est aussi la couleur du corbeau qui est un charognard, tout comme les allemands qui tuent nos compatriotes et pillent notre pays. Nos plaines : notre pays est comparé à une plaine qui est un vaste espace dégagé où il est impossible de se cacher. Les allemands arrivent toujours à nous trouver et à tuer

Après s’être rassasié, le lynx peut quelques fois recouvrir sa proie. Les biologistes s’interrogent encore aujourd’hui sur l’utilité de cette pratique. Plusieurs espèces opportunistes bénéficie de la chasse du lynx (satellitisme) tel que des charognards. Ces opportunistes peuvent être des sangliers,des corneilles,des geais. Le loup seraient probablement un facteur extrinsèque limitant la population du lynx. En effet, puisque le lynx boréal et le loup ont des ressources semblable une complétion

roman quand ils traversaient les mines de cuivre; « Le sol glissait et se dérobait sous ses pieds », « la route durcissait », la cheminée est « comme un pal », des « oiseaux foncés tournaient »(l.4-8), qui nous font penser à des corbeaux ou à des charognards qui attendent de fendre sur leur proie. Un autre élément marquant est la « fumée verte »(l.8); le vert est souvent considéré comme une couleur diabolique, très négative. L'auteur suisse Ramuz, dans La grande peur dans la montagne, en fait usage

dépouillement l'emporte. Un vocabulaire concret est utilisé pour décrire les soins réciproques et pour l'enterrement : « changer le linge de ma blessure », « pansée elle-même », « creuser », « ouvrir une large fosse ». L'évocation sordide des charognards qui pourraient s'attaquer au corps de Manon prouvent que des grilles perçoit Manon comme un cadavre : « je fis réflexion […] que son corps serait exposé […] à devenir la pâture des bêtes sauvages ». Le récit de la mort de Manon est marqué par l'absence

Fiche – lecture analytique : « Une Charogne », Les Fleurs du mal (1857), C. Baudelaire Notes introductives : situé dans la section « Spleen et Idéal », dans une série de poèmes lyriques célébrant l’amour, le désir et le corps féminin ; le titre « Une charogne » produit une rupture. Poème de 12 quatrains d’alexandrins alternés avec des octosyllabes, aux rimes croisées, qui commence comme un poème lyrique amoureux et évoque un cadavre pourrissant. Une reprise ironique du motif du memento

Dans la ménagerie infâme de nos vices » Ici, chaque animal représente un péché, un vice, une faiblesse humaine, avec ses caractéristiques physiques, ses traits distinctifs. Par exemple, «les vautours » sont des charognards qui représente la mort car ils dévorent les carcasses. « Les singes » représentent la filouterie, la mesquinerie. Et « les serpents » sont associés au péché car dans la Genèse, Adam et Eve goûtent le fruit défendu après avoir été persuadés par