Charogne Figure

Phares). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne) . Sa mère, Caroline Archenbaut-Defayis (Dufaÿs ou Dufays, par corruption) a 27 ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en 1759 à La Neuville-au-Pont[2], en Champagne, est alors sexagénaire. En 1827, son père meurt lorsque Charles a six

Nelligan, l’auteur trouve que la mort est fatale. En effet, l’auteur a écrit : « Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier. » (L.v.13-14). Nelligan se voit déjà comme une charogne éparse, donc comme un corps mort dispersé qui se fait manger par des corbeaux, donc la mort est très présente. Aussi, la comparaison que l’auteur fait entre son âme et la charogne donne l’effet que Nelligan se sent déjà mort. Bref, la fatalité, pour les auteurs, est synonyme

les âges (Les Phares[3]). Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne).

relation avec le péché . Le poète veut refaire le monde que Dieu a créé , car il le trouve mal fait. REVOLTE: La provocation: Baudelaire aimait provoquer les gens que ça soit en décrivant un cadavre (une charogne) , ou encore en priant le Diable . Il aimait susciter des réactions. LA MORT: La mort : C'est le seul échapatoir a cette vie laide , immonde qui l'ennuie , ce temps qui nous mange . Il n'en a pas peur.

celui-ci il vont se crée un monde ou tout sera sublimer, un monde qui ressemble a celui des églogue et des idylles. Grace au sublimation Baudelaire va faire rentrer dans la poésie se qui n’était pas a priori fait pour l’être comme par exemple « une charogne » de la section spleen et idéal.

style romantique, dans lesquels ils évoquent des amours passer, perdu… Les femmes inspirant cet amour, dans le bonheur ou dans la souffrance, sont parfois devenu de véritables muses, comme Jeanne Duval pour Baudelaire. Par exemple dans le poème « une charogne » extrais du recueille « les fleurs du mal » de Baudelaire, où il déclare son amour a une femme par le biais de la vision répugnante d’un corps d’animal en décomposition sur le bord d’un chemin. Poème plutôt étrange car l’auteur arrive à nous

Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Baudelaire

grande source d’inspiration des poètes. L’albatros : Laideur des hommes (=moral) Laideur marin ( + laideur Albatros sur sol. L’exemple qui montre que laideur la plus extrême peut inspirer un poète = A une Charogne : Compare la femme a une charogne Inspiré par laideur, monstruosité Pourriture, Puanteur, horreur. Il insiste même sur cette laideur Avec une accumulation de qualificatifs Et dans Spleen , laideur = mal = l’enfer de la condition terrestre

LES FLEURS DU MAL « Hymne à la beauté » Baudelaire 1857 AMORCE : « Poésie » vient du Grec antique « poiêsis et signifie tout type de création manuelle ou intellectuelle. Cela dit, Aristote dans « Poétique » en réduit l’usage à la représentation du réel notamment due aux moyens langagiers tel que les vers. Au sens restreint elle désigne la poésie lyrique, c’est-à-dire l’expression des sentiments, et serait un moyen plus élevé que le discours ordinaire car la poésie est « l’art de

tenté de tisser et de démontrer les liens entre le mal et la beauté, la violence et la volupté. En parallèle de poèmes graves ou scandaleux pour l'époque, il a exprimé la mélancolie et l'envie d'ailleurs. Il a aussi extrait la beauté du mal (Une charogne). Baudelaire est un romantique qui exprime le moi souffrant de la solitude et la communion avec la Nature supérieure, tout en recherchant la présence du divin. Ce recueil est tiré par des aspirations contraires entre le romantisme et