Château des ducs de Savoie

dossier : l'œUVHE du marquis UE SADE eiïrayante, sans qu'il s'y commit, je sans doute, devait être L'aiFaire Rose Keller entraîna le crois de vérih.bUs cruautés. de Sade. 11 fut enfermé au marquis du emprisoniumcnl second de Pierre-Enc.se, à Lyon. château de Saumur, puis à la prison en liberté. En juin 1772 remis fut il Au bout de six semaines, encore de Marseille ; elle avait moins de gravité a lieu l'affaire d'Aix de la veuve Keller. Cependant le Parlement mort. Ce de peine la à contumace, par marquis

aristocrates ou non, hommes politiques, lettrés et scientifiques. Les dames étaient donc des éducatrices du bon goût, de la politesse des mœurs et de la belle conversation ; de l’autre côté elles profitaient de la présence des savants et elles absorbaient le savoir-faire de la science et la philosophie. Les romans précieux étaient caractérisés avant tout par leur volume ; ils voulaient se rapprocher de l’épopée en sa magnificence. Les thèmes venaient de l’histoire mais ils étaient gérés d’une façon romanesque

domination des femmes s'étende dans tous les domaines de la vie. Montesquieu observe que les gens qui connaissent les ministres et les magistrats sans connaître les femmes qui les dirigent sont les gens qui voient un mécanisme qui fonctionne sans savoir ses ressorts. A la fin de ce chapitre on crée une métaphore et on compare l’aube du rococo avec la mort d’une femme. Un phénomène culturel a besoin des protagonistes qui portent sa flamme au front de la société. Fragonard a été un de ses meilleurs

de 3 rois, règne des 3 fils de Henri II, François II (1559-1560) Charles IX (1560-1574) Henri III (1574-1589). Ce sont 3 règnes assez court, chahutés, marqués par des guerres de religion. Figure marquante qui établit une certaine unité, à savoir leur mère, Catherine de Médicis. On retient de ces 3 règnes, l’aggravation rapide des oppositions religieuses, avec un événement en 1560, la conjuration d’Amboise. C’est le point de départ des guerres de religion. Ces guerres de religions ne sont

monologue, et que l'assemblée se fut séparée toute édifiée et toute stupide, je demandai à mon homme pourquoi les plus sages d'entre eux souffraient de pareilles sottises. « Nous sommes obligés de les tolérer, me dit-il, parce que nous ne pouvons pas savoir si un homme qui se lève pour parler sera inspiré par l'esprit ou par la folie ; dans le doute, nous écoutons tout patiemment, nous permettons même aux femmes de parler. Deux ou trois de nos dévotes se trouvent souvent inspirées à la fois, et c'est

des villes. Section 1 : les origines de la seigneurie I) Le château Contexte de violence, invasions : les Sarazins. On voit se construire des forteresses (palissades en bois avec des tours) qui servent à mettre à l’abri la population avec tous leurs biens les plus précieux. Le maître du château sera entouré d’hommes armés pour aller défendre le château à la guerre. En cas d’attaque, la population voisine va se réfugier dans le château. II) Le seigneur châtelain Aventurier chef de bande ayant

restauration apparaît au yeux de l'eglise grecque comme une usurpation. Il y a un clivage qui s'installe entre l'église grecque et occidentale; le latin et le grec. Il y a une différenciation entre les rites et les coutumes, au jour de jeune, question de savoir si il faut utiliser le pain azyme et le pain fermenté, question relative au célibat des prêtres. La crisue a pris une plus grande ampleur au termes de la querelledu filio que. Charlemagne a fait adopté par les eveques le dgomes de la sainte trinité

promptement : ils ne peuvent avoir des racines assez profondes et des adhérences assez fortes pour que le premier orage ne les renverse point ; à moins, comme je viens de le dire, que ceux qui 23 en sont devenus princes n’aient assez d’habileté pour savoir se préparer sur-lechamp à conserver ce que la fortune a mis dans leurs mains, et pour fonder, après l’élévation de leur puissance, les bases qui auraient dû être établies auparavant. Relativement à ces deux manières de devenir prince, c’est-à-dire

promptement : ils ne peuvent avoir des racines assez profondes et des adhérences assez fortes pour que le premier orage ne les renverse point ; à moins, comme je viens de le dire, que ceux qui en sont devenus princes n'aient assez d'habileté pour savoir se – 27 – préparer sur-le-champ à conserver ce que la fortune a mis dans leurs mains, et pour fonder, après l'élévation de leur puissance, les bases qui auraient dû être établies auparavant. Relativement à ces deux manières de devenir prince

promptement : ils ne peuvent avoir des racines assez profondes et des adhérences assez fortes pour que le premier orage ne les renverse point ; à moins, comme je viens de le dire, que ceux qui en sont devenus princes n'aient assez d'habileté pour savoir se – 27 – préparer sur-le-champ à conserver ce que la fortune a mis dans leurs mains, et pour fonder, après l'élévation de leur puissance, les bases qui auraient dû être établies auparavant. Relativement à ces deux manières de devenir prince, c'est-àdire