Château des ducs de Savoie

Givors, 1955, 20 pp. 161. H. GROEHLER, Ueber Ursprung und Bedeutung der französischen Ortsnamen. Heidelberg I, 1913, XXVIII-378 pp. ; II, 1933, XV-492 pp. 162. A. GROS, La toponymie et l'histoire. Mém. de l'Acad. des Sc., Belles-Lettres et Arts de Savoie 5e sér. IX (1937), 39-53. 163. H. GROSS, Gallia Judaica. Dictionnaire géographique de la France d'après les sources rabbiniques. Paris, 1897, X-766 pp. 164. B. GUÉRARD, Provinces et pays de la France. Annuaire de la Soc. de l'Hist. de France I (1837)

impressionner ce Legrandin. Les promenades de la famille pouvaient faire aller soit du côté du manoir de M. Swann (ou côté de Méséglise-la -Vineuse), qui est fait d’immenses paysages de plaines, soit du côté de Guermantes (celui qui allait vers le château de ces nobles qui étaient comtes de Combray) qui est vallonné et arrosé. Mais, si ces deux côtés paraissaient sans communication possible à ses yeux d'enfant, le narrateur constate : « Mais c’est surtout comme à des gisements profonds de mon sol mental

fixe, il se déplace de gds domaine en gd domaine et consomme la prod° de l'exploitation. Il peut également aller dans un domaine dont il a fait donation à l'un de ses fidèles et dont il s'est réservé la jouissance : droit de gîte. Les gds laïcs : ducs, comtes, comme le Roi, séjournent ou résident dans les domaines. 2 – Les gds domaines écclé Les évêques mais surtout les abbés disposent de domaines très important et les terres de ces domaines sont fréquemment grossies par les donations des fidèles

réalité, la décision ne tient qu'au juge car c'est lui qui attache les pierres et les mains de l'accusé. Si on utilise pas le fleuve on utilise de l'eau bouillante ou le feu (avec un morceau de fer) et le juge examine la cicatrisation de l'accusé pour savoir s'il est coupable ou non. Sinon on utilise le duel (duel judiciaire) : ordalie unilatérale ou bilatérale (Dieu donne la force à celui qui dit la vérité dans le duel). Il existe aussi une procédure pénale où l'on fait des recherches pour trouver la

qui mirent des décennies à être relevées. Des villes opèrent de «mauvais choix» et se condamnent à la stagnation comme Cologne, agrippée à son statut de ville impériale et à sa fonction de lieux saint du catholicisme. Dresde devint la capitale des ducs de Saxe au cours du XVIe. Auguste le fort l'embelli au point d'en faire la «Florence» du Nord. Leipzig, malgré ses célèbres foires et son importance dans le marché du livre européen, connu une croissance plus lente. À chaque fois, ces promotions se

druides faisaient partie de l'élite intellectuelle. Ils étaient à la fois prêtre, avocat, médecin, enseignant et prophète. Le druide sert d'intermédiaire entre les dieux et les hommes. Il possède l'autorité spirituelle et est le seul à être détenteur du savoir, de la connaissance et de toutes autres activités intellectuelles et religieuses. Ces druides seront interdits par le gouvernement romain dès le Ier siècle après. Les dieux du panthéon celte manifestaient les forces de la nature. Lug "le lumineux"

princes territoriaux vont voir leur pouvoir s’affaiblir dans certaines régions. Chapitre 1 : la seigneurie, appropriation des pouvoirs publics Normalement, les pouvoirs publics sont ceux du roi. Section 1 : les origines de la seigneurie * Le château Contexte de violence, invasions : les Sarazins. On voit se construire des forteresses (palissades en bois avec des tours) qui servent à mettre à l’abri la population avec tous leurs biens. * Le seigneur châtelain Chef de bande s’étant imposé

cris. À la base, d’abord, c’était un carré de carton bleu figurant un temple avec portiques, colonnades et statuettes de stuc tout autour, dans des niches constellées d’étoiles en papier doré ; puis se tenait au second étage un donjon en gâteau de Savoie, entouré de menues fortifications en angélique, amandes, raisins secs, quartiers d’oranges ; et enfin, sur la plate-forme 60 supérieure, qui était une prairie verte où il y avait des rochers avec des lacs de confitures et des bateaux en écales de

cris. À la base, d’abord, c’était un carré de carton bleu figurant un temple avec portiques, colonnades et statuettes de stuc tout autour, dans des niches constellées d’étoiles en papier doré ; puis se tenait au second étage un donjon en gâteau de Savoie, entouré de menues fortifications en angélique, amandes, raisins secs, quartiers d’oranges ; et enfin, sur la plate-forme 60 supérieure, qui était une prairie verte où il y avait des rochers avec des lacs de confitures et des bateaux en écales

Renoir. « La couleur surtout et peut-être plus encore que le dessin est une libération ». Henri Matisse, « Les Problèmes de la peinture ». « Comme ceux de la Providence, certains dessins sont impénétrables ». Francis Picabia. « J’ai mis toute ma vie à savoir dessiner comme un enfant ». Pablo Picasso. « Je ne suis ni dessinateur ni peintre ; mes dessins sont de l’écriture dénouée et renouée autrement ». Jean Cocteau. « Le dessin est l’expression et l’explication –déploiement de la forme d’un objet solide