Château du Clos Lucé

Paré est aussi un médecin réputé et une figure de l’humanisme. La France connaît aussi un véritable essor artistique. Les châteaux de la Loire sont des chefs-d’œuvre architecturaux et les jardins « à la française » naissent à Villandry. Le château de Fontainebleau caractérise parfaitement ce style bien français. Les architectes français s’inspirent des Italiens. C’est le cas de Pierre Lescot qui réalise la splendide colonnade du Louvre. Les sculpteurs Jean Goujon, Germain Pilon et Pierre Bontemps

immigration et le poids démographique n’est pas représentatif de l’importance des villes. 1/ qu’est-ce qu’une ville au 16ème siècle ?Lorsqu’on regarde une vue de Rennes en 1543, la ville est entourée de remparts, de muraille. La ville est d’abord un lieu clos, un monde à part. Elle est coupée du plein pays par ses murailles. Ces murailles ont des vocations défensives et sont aussi le symbole d’orgueil ou de supériorité de la ville sur le plein pays. La ville exerce des fonctions de commandements - elles

CLASSES Le monument le plus visite est la tour Eiffel avec 6,6 millions d’entrées en 2010. Les 7 monuments nationaux les plus visités en 2010 : arc de triomphe (1 511 000), abbaye du mont saint-michel (1 294 000), sainte-chapelle (792 000), château de Chambord (730 000), Panthéon (695 000), cite de Carcassonne (474 000), conciergerie (442 000).  Les 30 sites culturels en France les plus fréquentés (entrées totales) : SOURCE : MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION 8 Il

Moyen Age sont, dans leur grande majorité, des repinces attentifs connaisseurs qui n’hésitent pas à s’investir dans la réalisation de l’œuvre. Jean Froissart rapporte dans ses Chroniques que, quand le duc de Berry se rendait sur le chantier de son château de Mehun-sur-Yèvre, il n’hésitait pas à y séjourner longuement parfois plus de 3 semaines, pour discuter des plans et de l’avancée des travaux avec son maitre d’œuvre André Beauneveu. Le même prince intervient directement dans la décoration de son

a i r e Rambouillet Hôtel de police Techniques solutions béton A RCHITECTES B. Dollé/C. Labbé Roissy Les coques de l’aérogare Page 1 A RCHITECTE P. Andreuformation Laveyron Logements Page 25 A RCHITECTES R. Luce-Catinot A. Calvy Réal isation Page 6 Feyzin École maternelle ❝ A RCHITECTES Carte blanche Tekhne L ES LAURÉATS DU CONCOURS Page 30 CIMBÉTON Page 10 Les hommes L ES MEILLEURS F RANCE Bloc-notes OUVRIERS

(6/4). La longueur du vers est en décasyllabe. Au fil du Moyen Age, on ira jusqu’à l’alexandrin néanmoins la décasyllabe reste privilégiée. Ces laisses induisent une déclamation particulière car pas de linéarité du récit. La chanson fonctionne en vase clos avec une répétition comme une progression par saccade. Reprise en échos, succession d’éléments dans la répétition. La chanson est portée par une mélodie assez simple. Les faits sont plus importants que l’aspect psychologique des personnages. CONTENU :

chronologiquement entre celles de la page 18 et des pages 20-21. On commencera à analyser pourquoi les gravures de Gustave Doré donnent davantage une impression de mouvement : profondeur du champ (présence de plusieurs plans), éléments de composition (château surplombant la scène, regard de la statue, plongée), posture des personnages, drapé des vêtements... À la vision « plate » de l’imagerie d’Épinal, répond une représen- tation plus chargée d’émotions. pages 18 et 19 DES TEXTES EN RÉSEAUX Texte 1 Yak

de la «bienséance» (celle-ci recommande de ne pas choquer le spectateur). Le théâtre de Racine, davantage que celui de son aîné Corneille, trouve précisément sa force esthétique dans le respect même de ces unités, qui créent une atmosphère de huis-clos et semblent par cela même participer à l'élaboration de la «crise» tragique (le moment le plus intense de la pièce, celui où se joue le destin des personnages). 14 Classicisme et romantisme: C'est le romantisme qui, en rejetant les principes

de la «bienséance» (celle-ci recommande de ne pas choquer le spectateur). Le théâtre de Racine, davantage que celui de son aîné Corneille, trouve précisément sa force esthétique dans le respect même de ces unités, qui créent une atmosphère de huis-clos et semblent par cela même participer à l'élaboration de la «crise» tragique (le moment le plus intense de la pièce, celui où se joue le destin des personnages). 14 Classicisme et romantisme: C'est le romantisme qui, en rejetant les principes esthétiques

de Medicis, frère de Léon X, mais il y supporta mal la concurrence de Raphaël et Michel-Ange, et accepta en 1516 l'invitation de François 1er, vainqueur à Marignan et arbitre de l'Italie. Il résida ensuite définitivement en France, à Amboise (au Clos Lucé précisément), où il fut nommé « premier peintre, ingénieur et architecte du roi ». A sa mort, en 1519, il légua l'ensemble de ses notes techniques à Francesco Melzi, son élève et compagnon fidèle, afin qu'elles fussent publiées et rendues utiles