Chatiment De Tartuffe

arguments plus convaincants et qui détruisent le discours mensonger des colonisateurs. Au XVIIème siècle, outre le moraliste la Bruyère déjà évoqué, nous pouvons penser à Molière qui prétendait avec la comédie « corriger les mœurs par le rire ». Dans Tartuffe, il dénonce le comportement des faux dévots qui deviennent des directeurs de conscience abusif et qui ne font pas correspondre leurs principes et leurs actes. Enfin, certains écrivains ont essayé d’imaginer un monde meilleur : c’est ce qu’on appelle

alternative plus bénéfique pour l’Homme. Enfin, la satire est considérée comme une argumentation indirecte car elle place son action dans une toile narrative et s’en sert ainsi pour critiquer les vices des Hommes et les tares de la société. Les Châtiments, poèmes de Victor Hugo, en sont un bon exemple. L’argumentation est un art linguistique, une plaidoirie explicite ou implicite qui défend ou accuse le système sociale, l’Homme et ses idées. Toute société, tout être humain, tout comportement

pathétique encore par le désespoir d'Aricie, venue rejoindre celui qui devait être son époux. Phèdre paraît enfin, et avoue son crime en agonisant. (scène 7). Quelques réflexions sur les enjeux de la pièce Dans sa préface, Racine insiste sur le châtiment qui suit la moindre faute. Selon lui, en montrant le crime, la pièce fait de la vertu sa pierre angulaire : " les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause; et le vice y est peint partout avec des

campagne est lancée par "l'Association française contre la peine de mort", sous le patronage de hautes personnalités, comme le Cardinal Marty ou Jean Rostand. La France est, avec l'Espagne, le dernier pays d'Europe occidentale à maintenir le châtiment suprême (1). Les autres l'ont supprimé, le Portugal dès 1867 (Salazar, ce dictateur ne l'a pas rétabli), la Hollande en 1870, l'Italie en 1844, l'Allemagne en 1949, l'Angleterre en 1957. Or ces abolitions n'ont pas augmenté la criminalité (2)

poèmes du Cahier de Douai de Rimbaud, qu’il écrit adolescent. Composition de « Poésies » : Le premier cahier contient 15 poèmes (1870) (Première soirée, Trois baisers, Sensation, Le Forgeron, Soleil et chair, Ophélie, Bal des pendus, Le Châtiment de Tartuffe, Vénus anadyomène, , Les reparties de Nina, A la musique, Les Effarés, Roman, Morts de Quatre-vingt-douze, Le mal Rages de Césars) Le deuxième cahier contient 7 poèmes (1871)  (Rêvé pour l'hiver, Le Dormeur du Val, Au Cabaret-Vert, cinq heures

la distance qu’il veut imposer avec son peuple. Ensuite, le Lion est décrit comme un roi cruel. Sa colère est « terrible », adjectif souligné par sa position en rejet au début du vers 31. La cruauté du roi est renforcée à travers l’allusion au châtiment à travers la mention des « sacrés ongles » au vers 36. On note l’antithèse « membres profanes »/« sacrés ongles ». Le fabuliste tourne en dérision la force divine du roi. On devine ici une critique de la monarchie absolue de droit divin et du roi

accueillie parce que, bien qu’une «grande comédie», elle était écrite en prose. Molière avait-il renoncé à soumettre le texte aux nécessités de la mesure et de la rime parce qu’il était malade, découragé par la violence des attaques lancées contre “Tartuffe”? Il reste que cette prose rend le texte plus simple, plus clair, plus rapide, plus vivant. À bien étudier le texte, on y décèle de nombreux vers blancs. Pour le comédien Michel Bouquet, «c'est une des proses les plus efficaces qu'on ait jamais écrites

Festin de pierre (1665) : Molière reprend l'histoire du séducteur de Séville, mais accentue le cynisme du personnage. Le Misanthrope (1666) : l'atrabilaire Alceste, ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte. Le Tartuffe (1664) : faux dévot, a obtenu la confiance d'Orgon et sa promesse d'épouser sa fille. Les Femmes savantes (1672) synthétisent les différents thèmes du comique moliéresque : analyse de la condition féminine, critique du pouvoir parental, prétention

et je suis résolu de l'épouser, pourvu que j'y trouve quelque bien." [...] "et pour toi je te donne au seigneur Anselme" "moi,moi,moi" Scène 5 : valère, élise, harpagon : juge du mariage de mariane à valère, valère joue le double jeu, Valère, Tartuffe par nécessité, le mariage : affaire d'amour ou d'argent? Nivellement de valeurs, hypocrisie de Valère comme stratégie de contournement. Harpagon : "Je trouve ici un avantage qu'ailleurs je ne trouverais pas, et il s'engage à la prendre sans dot

fondamentales, existentielles : celles de la mémoire, de l’indicible – face à l’horreur et à une grande douleur – de la constitution de l’être par sa réappropriation du passé. D’autre part, elle ose parler de cette violence, de cette humiliation et de ce châtiment