Chausson aux pommes

Tout ce qu’il a dit, c’est qu’il préférait la tenue des pom-pom girls en été, parce qu’en hiver, elles sont engoncées dans de gros sweats. — C’est une remarque sexiste, a décrété maman. J’ai jeté un regard triomphal à Frida. Mais elle ne renonçait pas facilement. — Ce sont des sportives, maman ! Bien sûr qu’elles sont plus à l’aise en débardeur ! J’ai fixé ma petite sœur assise en face de moi à la table du petit-déjeuner. — Tu veux être pom-pom girl l’année prochaine, c’est ça ? Frida a pris une

payèrent une partie de bagues au quinconce du grand bassin, montèrent à la lanterne de Diogène, jouèrent des macarons à la roulette du pont de Sèvres, cueillirent des bouquets à Puteaux, achetèrent des mirlitons à Neuilly, mangèrent partout des chaussons de pommes, furent parfaitement heureux. Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C'était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie! Adorables années! L'aile des

payèrent une partie de bagues au quinconce du grand bassin, montèrent à la lanterne de Diogène, jouèrent des macarons à la roulette du pont de Sèvres, cueillirent des bouquets à Puteaux, achetèrent des mirlitons à Neuilly, mangèrent partout des chaussons de pommes, furent parfaitement heureux. Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C’était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie ! Adorables années ! L’aile

Neuilly, 97 Célèbre empoisonneur, déjà cité dans Le Dernier Jour d’un condamné (chap. XI et XII) et qui se retrouvera, parmi d’autres criminels connus, en III, 1, 7. – 205 – mangèrent partout des parfaitement heureux. chaussons de pommes, furent Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C’était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie ! Adorables années ! L’aile des libellules

des mirlitons à Neuilly, 97 Célèbre empoisonneur, déjà cité dans Le Dernier Jour d’un condamné (chap. XI et XII) et qui se retrouvera, parmi d’autres criminels connus, en III, 1, 7. – 205 – mangèrent partout des parfaitement heureux. chaussons de pommes, furent Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C’était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie ! Adorables années ! L’aile des libellules frissonne

payèrent une partie de bagues au quinconce du grand bassin, montèrent à la lanterne de Diogène, jouèrent des macarons à la roulette du pont de Sèvres, cueillirent des bouquets à Puteaux, achetèrent des mirlitons à Neuilly, mangèrent partout des chaussons de pommes, furent parfaitement heureux. Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C'était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie ! Adorables années ! L'aile

une partie de bagues au quinconce du grand bassin, montèrent à la lanterne de Diogène, jouèrent des macarons à la roulette du pont de Sèvres, cueillirent des bouquets à Puteaux, achetèrent des mirlitons à Neuilly, mangèrent partout des chaussons de pommes, furent parfaitement heureux. Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C’était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie! Adorables années! L’aile

payèrent une partie de bagues au quinconce du grand bassin, montèrent à la lanterne de Diogène, jouèrent des macarons à la roulette du pont de Sèvres, cueillirent des bouquets à Puteaux, achetèrent des mirlitons à Neuilly, mangèrent partout des chaussons de pommes, furent parfaitement heureux. Les jeunes filles bruissaient et bavardaient comme des fauvettes échappées. C’était un délire. Elles donnaient par moments de petites tapes aux jeunes gens. Ivresse matinale de la vie ! Adorables années ! L’aile

BL : « Ici, directement. » Mme E : « Oui. Et l’après-midi, ceux qui avaient vendu, ils descendaient jusqu’à la gare de (ville z). Alors là, à la gare de (ville z), mon père avait un grand hangar. Alors quand c’était la saison des pommes de terre, on allait mettre les pommes de terre en sac. On cousait les sacs, et on les portait au wagon. Et ça partait en Allemagne, et un petit peu partout. Et aux chouxfleurs, c’était exactement pareil. Mais c’était dans des cageots. Et j’aimais bien ça aussi. J’ai

était d'origine écossaise, le glaçage du gâteau devrait imiter un motif tartan, ce qui ne serait pas une mince affaire. Ruth ouvrit la petite porte à l'arrière du magasin et se glissa dans la cuisine. Les odeurs de cannelle, de muffins et de chaussons aux pommes en embaumaient déjà l'air ; ces délicieux parfums l'aidaient généralement à bien commencer la journée, mais ce n'était pas le cas aujourd'hui. Il allait falloir un peu plus d'une pincée de sucre et d'épices pour faire passer le mauvais goût