Chausson

château, et on choisit un menu définit à l’avance (Rillettes de saumon et son blinis, crème de ciboulette ; Mignons de veau, nems de blettes et jus réduit ; Tiramisu à la rhubarbe, sorbet fraise) et ainsi que de la préparation d’amuse-bouche diverse (chausson au munster, mini tartelettes a l’escargot, mini quiche lorraine, et de petit accra, pour 48 personnes, ma présentation portera sur les amuse-bouche et sur le plat chaud c’est-à-dire le mignons de veau, nems de blettes et jus réduit, car ces préparation

personne responsable n’étant pas là nous ne savons pas le type de matelas et de sommier). Les petits produits pour la clientèle sont de la marque l’Occitane comme des shampooings, du savon, du lait pour le corps. Il y a aussi des peignoirs et des chaussons dans la salle de bain des clients. Les clients ont à leur disposition des parapluies, des bloc-notes, un coffre-fort pour les effets personnels ainsi qu’internet et un hammam dans une salle de bain. Pour finir, ils ont aussi un mini-bar automatique

et la vulgarité de son excès de consommation. Mais il fait preuve aussi d’humour dans cette association fusionnelle de la femme et de « l’objet caddie ». Elle a la cigarette au coin des lèvres. Elle porte des bigoudis, que cachent un foulard, des chaussons. Attitude impossible en Europe, mais courante au quotidien à l’époque aux EtatsUnis. Elle est représentée dans un réalisme décontracté. Sa tenue la classe dans la classe moyenne américaine, de niveau modeste. Elle est habillée de vêtements réels

ensuite prendre votre petit déjeuner. Les yeux grands ouverts, un large sourire sur son visage Mme T. me lance d’une voix franche : « D’accord » A ce moment j’ouvre les volets, je prépare les chaussons de Mme T., enlève les barrières, ouvre le lit, Mme T. me regarde fixement, quand je lui mets ses chaussons, je m’apprête à la prévenir pour son levé quand : Mme T. «  t’es belle tu sais » Moi «  merci, vous êtes gentille » avec un grand sourire et mon regard dans le sien. Mme T. enchaine sur

plus nécessaire de faire sa propre cuisine, c’est l’ère du tout prêt (pizza dans le caddie, plats préparés). C’est aussi une transformation des villes qui s’annonce avec l’apparition de centres commerciaux. Cette femme porte des bigoudis, des chaussons, une attitude assez improbable en Europe et en France à cette époque. Mais aux Etats-Unis, c’est le quotidien, le personnage est ici représenté avec un certain réalisme, mais un réalisme décontracté. Les pantoufles, les bigoudis ainsi que la cigarette

et la macération. Aucune marque ou rougeur n’était visible. Une fois le dos propre et bien sec, j’ai aidé la patiente à enfiler une chemise propre et je me suis accroupi en prenant une position ergonomique afin de ménager mon dos. J’ai enlevé les chaussons de Madame V et placé la première serviette sous les pieds nus, afin de ne pas mouiller le sol qui serait alors rendu glissant et dangereux. La toilette des jambes s’effectuait selon la logique la plus efficace : du plus propre au plus sale, afin

cigarette à la bouche, bigoudis dans les cheveux en train de pousser un caddie bondé de victuailles. Elle porte un foulard sur les cheveux, un gros collier jaune, un bracelet, un sac à main noir brillant, un tee shirt rose, une jupe bleue et des chaussons bleus plus clairs. Elle est installée dans un espace réel. Oeuvre réalisé grandeur nature. | Lady Supermarket illustre parfaitement son temps et la société américaine des années 1960. Les Etats-Unis, comme les pays développés d’Europe, ont

proteger tes jambes à toi. Tu mets de l'eau à température pas brulante, tu demandes à la personne si c'est ok, et tu poses ta bassine (le pediluve). L'idée c'est de pas oublier de dechausser la patiente, parce que faire tremper les pieds avec les chaussons, ben c'est un peu couillon. Alors ben donc elle met ses pieds nus dedans et le truc c'est qu'il faut que ca trempe un peu, genre 10/15 minutes. Donc pendant ce temps là, si jamais t'es assez couillon pour avoir oublié de lui parler au patient, ben

71 ans 1696. 2) Analyse de l’œuvre ; a)-Le personnage que nous pouvons observer sur cette image est une ménagère faisant ses courses. Celle-ci est vêtue d’un t-shirt rose, d’une jupe bleu marquant particulièrement ses formes, mais aussi de chaussons bleus, de bigoudis dans les cheveux, un sac noir, des colliers et enfin une cigarette à la bouche. Elle a une expression triste, fatigué, m’enfoutiste et désespéré. On dirait qu’elle n’a pas vraiment d’objectif particulier quand elle marche. -elle

méticuleusement sa sculpture, lui a ajouté une perruque, des vêtements et des accessoires. Cette sculpture représente une ménagère en bigoudis, en train de faire ses courses. En Europe occidentale, il est assez improbable de croiser une telle ménagère en chaussons et poussant un caddie, mais aux États-Unis, un tel personnage n'est pas si caricatural; il fait partie du quotidien, d'où son caractère « réaliste » dans ce contexte culturel et social. Par cette sculpture, Hanson dénonce la société de consommation