Cheikh

CHOHRA I. RESISTANCE DE LAGHOUAT 1. LES CONDITIONS DE DECLENCHEMENT DELA RESISTANCE DE LA VILLE DE LAGHOUAT L'administration coloniale avait œuvré à semer la mésentente et la discorde parmi les dirigeants et chefs de tribus ainsi que les cheikhs de zaouïas, ce qui déboucha sur la déstabilisation de la région et l'émergence de troubles très graves au moment où s'était déclenchée la résistance des Zaatchas. Toutes ces données avaient convaincu la France de la nécessité de lancer une expédition

musicien détenteur de la tradition musicale andalouse par ailleurs séculaire. Sa maîtrise du chant et des muwashshahāt[3] andalous ainsi que du ūd (luth) lui ont valu le titre honorifique de « cheikh », c’est ainsi qu’il est connu sous le nom de “ Cheikh Raymond”[4]. En atteste l’assassinat en 1961 du cheikh Raymond en plein jour alors qu’il faisait le marché au centre ville d’Alger. Ce musicien hors pair, de confession juive, fut le symbole du « vivre ensemble » dans la société algéroiseconstantinoise

Contact Membership Press Section Picture Galeries Downloads Event Calendar News Archive La Renaissance africaine selon Cheikh Anta Diop, Nasser et Nkrumah, jusqu'à Mbeki Le débat sur la Renaissance africaine marque le début de ce millénaire. Mais il n’est pas nouveau. Dans ce texte, Boubacar Diop remonte à Cheikh Anta Diop qui l’évoquait en 1948, à Nasser qui en a été un des porte-étendard et à Nkrumah qui en a fait un des axes fondamentaux de sa réflexion politique. Diop souligne

origine blanche : indo-européenne, sémite ou inconnue. Voilà le contexte qui va donner lieu aux travaux de Cheikh Anta Diop sur l'origine des anciens Egyptiens. En effet, lui savait ,et cela à la suite des travaux de docteur Leakey que l'industrie paléolithique étant attestée dans la vallée du Nil, il apparaît donc que celle-ci fut nécessairement peuplée uniquement

tout donné pour mener une vie heureuse deux évènements vont bouleverser sa vie, émanent tous deux de lui, son appétit sexuel que son épouse ne peut tarir et qui va le pousser à prendre une seconde femme (non sans consulter son conseiller favori, le Cheikh Samman), et ses brusques ambitions politiques, les deux vont le pousser à faire des concessions inattendues sous peine de voir gâchées sa réputation et peut être aussi sa vie. À travers Azzam, et surtout à travers son entourage ce sont les deux plus

[pic] « Accorder vous mutuellement le pardon et adonnez vous à l’aumône…faîtes toutes choses qui participent à aider les gens sans distinctions aucunes… » Ce sont ces recommandations de feu Serigne Saliou qui retentissent dans l’être de Cheikh Béthio THIOUNE et cette sensation retrouve un écho favorable auprès des Talibés qui ne manquent pas de faire preuve de dévotion et de grâce à leur tour. Ne pas parler des « Thiant » 1 des « bernel » 2 serait de sauter le piédestal des actions

retrouve une branche, établie par Cheikh Bounaama Kounta, religieux né à Bou Lanouar (Mauritanie), qui se fixa au Kayor, où il fonda Ndanklé. Son fils, Cheikh Bou Kounta (1840-1914), fit de Ndiassane - où il s’installa en 1885 - un important centre Qadir. A sa mort, il fut remplacé successivement par ses cinq fils dont le dernier est l’actuel Khalife  . Chaque année, le Gamou   (jour de la naissance du prophète) de Ndiassane attire de nombreux fidèles. Les cheikh des autres branches (Fadelia et Sidia)

s’ancra dans les mœurs locales. Il commença son action en ameutant autour de lui d’abord les tribus du Sud que rejoignirent tous ceux qui ont été séduits par la nouvelle Tariqa ou pour en faire un simple paravent. Les cadeaux affluent vers le nouveau cheikh, puis les doléances contre les Ottomans. Il en fit part à son maître qui l’incita à les combattre. Tous ses fidèles lui prêtant serment d’allégeance, il décréta la guerre aux Turcs rendant leur sang et leurs possessions licites. Il descendit Oued

osa relever le visage, et il vit le manteau blanc du cheikh. « Que fais-tu là ? » demanda Ma el Aïnine. Sa voix était très douce et lointaine, comme s'il avait été à l'autre bout de la place. Nour hésita. Il se releva sur les genoux, mais sa tête resta penchée en avant, parce qu'il n'avait pas le courage de regarder le cheikh. « Que fais-tu là ? » répéta le vieillard. « Je -je priais », dit Nour ; il ajouta : « Je voulais prier. » Le cheikh sourit. « Et tu n'as pas pu prier ? » « Non », dit

l’histoire dans les années 2000-2004. Ces attentats ont été à l’origine de la décision des israéliens de construire un mur entre la Cisjordanie et Israël la ligne verte. Afin d’empêcher les infiltrations de kamikazes palestiniens. Le Cheikh Marwan évoqué est le cheikh Yacine, fondateur du Hamas en 87 lors de la première Intifada (révolution islamiste). Il est tué dans les mêmes conditions évoquées dans le livre : alors qu’il quitte une mosquée pour la première session de prière du matin, il est frappé