Chemin critique

Guerre » d’Otto Dix » A- Otto Dix Otto Dix est un peintre Allemand né en 1891 et mort en 1969 . Il a consacré une grande partie de son œuvre à dennoncer l’absurdité et les atrocité de la Guerre. Sous la république de Weimar . Ses œuvres on était critiquer par les nazi car il appler sa de l’art dégénéré , il a quand meme continuer à peindre mais en se cachant pour ne pas risquer de se faire enfermer. B- Triptyque : « La Guerre » Le titre du tableau, exécuté entre 1929 et 1932, fait référence

Il tend à favoriser l'extension du chemin de fer, qui était nécessaire pour l'unification de la Confédération allemande. Il a en outre favorisé la constitution de grandes entreprises (les Konzerns) et permet leur développement par le biais de mesures protectionnistes. Notons aussi que l'Allemagne est le premier pays à se doter d'une forme de protection sociale. La très forte concentration ouvrière émanant de l'industrialisation commence à soulever des critiques quant aux conditions de vie et de

Mais, derrière cette image flatteuse, le lecteur sent le regard ironique de l'auteur sur ce personnage au fond médiocre et méprisable. Dès la première page (l.1 à 21), G.Duroy apparaît dans une situation plutôt critique: sans sous, affamé, il exerce un travail laborieux; un emploi au chemin de fer du Nord et sans grand avenir, néanmoins il plaît beaucoup aux femmes. Un soir d'été, il fait la rencontre au coin de la place de l'Opéra d'un ancien camarade hussard, Charles Forestier, qui a réussi dans

aurait pu prendre un autre tour,peut-être même finir : elle dure déjà depuis trois ans. Surtout, 1917 succède à l’année de Verdun, 1916, où Allemagne et France se sont épuisées sans remporter davantage. En 1917, plusieurs pays approchent dupoint critique, où tout devient possible, la capitulation, la paix blanche. Cette « année trouble » est le tournant de la guerre, que ce soit du côté occidental ou du côté russe, de plus ceux quise battent cette année-là se retrouveront quelques années plus tard

Sommaire ● Introduction : page 3 ● Première partie : Qui est Gustave Eiffel ? page 4 ● Deuxième partie : Le projet de la plus haute tour du monde pour l'Exposition Universelle page 6 ● Troisième partie : Eiffel et sa tour face aux critiques page 10 ● Quatrième partie : La construction de la tour page 14 ● Cinquième partie : Un sucés incontestable page 19 ● Sixième partie : La vie de la tour depuis plus de cent ans page 22 ● conclusion : page 25 ● Annexes : page

plus grand maitrise des rapports distance / temps et distance / coût. A/ Les transports. Depuis la seconde guerre mondiale, les progrès sont considérables. En ce qui concerne le chemin de fer, c'est l'électrification des voies et l'avènement des trains à grande vitesse ( Japon Shinkansen ). Le chemin de fer est le moyen de transport le plus adapté pour le fret spécialisé dans les produits lourds. Le transport routier qui a pour principale vertu sa souplesse : le porte à porte. Fortement

hommes et/ou la marchandise grâce aux trains. En France, le transport ferroviaire est marqué par une nette prédominance du trafic voyageurs, tiré en particulier par la grande vitesse ferroviaire . II. Caractéristiques L'infrastructure des chemins de fer est appelée voie ferrée. Elle se compose, la plupart du temps, de deux files de rails posés sur des traverses, d'appareils de voie, passages à niveau, de la signalisation et, le cas échéant, des installations de traction électrique. Le matériel

marque également le début du naturalisme chez Zola, style qu'on retrouvera plus tard dans son oeuvre des Rougon-Macquart. Ce roman a permis à Zola de se faire connaitre auprès du public parisien, même si son livre n'a pas été très bien reçu par la critique, accusé de pornographie pour certains passages.Ce résumé de Maelledu78 nous montre bien, chapitres par chapitres, la descente aux enfers de Thérèse et Laurent, hantés par la culpabilité et la folie. Elle nous montre bien l'aspect tragique du livre

ici dans un contexte particulier, abolition des derniers privilèges féodaux (le droit de faire paître, de glaner et pouvait disposer d’un four pour cuire leur pain). On considérait que ce droit de glaner était une atteinte au droit de propriété. Critique de la presse qui attaque Millet sur le sujet et la façon de le représenter. «Ce sont des épouvantails en haillons planté dans un champ, et comme des épouvantails elles n’ont pas de visages… peinture sans relief » Dans le figaro de rousseau « qu’on

Volume 6 Numéro 1 Mai 2008 La stratégie nord-américaine de la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada (CN)1 Cas produit par le professeur Patrick LEBLOND Introduction « L’histoire est-elle terminée? Nous répondons par un non catégorique. » Voilà ce que M. Hunter E. Harrison, président et chef de la direction du Canadien National (CN), disait aux actionnaires du CN lors de la réunion annuelle de la société qui a eu lieu à Montréal le 21 avril 20052. Il parlait évidemment de l’histoire