Chemise de nuit

simple des mains. Une fois terminé, je frappe à la porte de Mme C, attend quelques secondes puis rentre dans la chambre. Je lui dis bonjour et lui demande si je peux allumer la lumière. Je commence ainsi à discuter avec elle en lui demandant si la nuit à été bonne tout en déposant les protections dans son armoire. Pendant que Mme C se lève, je m’organise pour avoir le moins de fois possible à sortir dela salle de bain une fois la toilette commencer. Je prend donc ses vêtements et sa protection que

ville. Un groupe de personnes attendait là, entourées d’hommes en noir équipés de matraques. En se rapprochant, V… vit ce détail : tous les prisonniers avaient au moins soixante ans. Que des vieux. Peu portaient autre chose qu’un pyjama ou une chemise de nuit, quelques-un étaient même complètement nus, ils avaient été pris durant leur sommeil. Il y avait bien une centaine de personnes bâillonnées, ici, le long de la route. V… fut poussé et rejoignit le tas de prisonniers livides et grelottant dans

et j’entre dans la chambre. Je mets la présence. Je discute avec madame L, pour savoir si elle a passé une bonne nuit et comment elle se sent ce matin. Elle m’indique que son lit est mouillé alors qu’elle porte une protection complète. Je l’aide à se lever et à faire le transfert du lit au fauteuil roulant. Je l’installe ensuite devant le lavabo après lui avoir enlevé sa chemise de nuit et sa protection, car madame L. fait sa toilette seule et n’a besoin d’aide que pour le dos, les jambes et les pieds

monte le lit médicalisé à ma hauteur. Je regarde si la personne est souillée pour savoir si je change ses vêtements. En face de moi, j'ai toujours l'aide de Monsieur D parce que Madame D à une certaine corpulence. Je commence par relever la chemise de nuit pour enlever la protection sale. Je lui mets la serviette de toilette devant elle pour respecter la pudeur. Monsieur D retourne Madame D vers lui pour que je lui enlève le plus gros des selles avec la protection. J'essuie le reste avec le papier

quotidien. Le Personnel soignant est quant à lui composé de 5 Infirmières diplômées d'état, ainsi que de 18 Aides-soignant(e)s. Une seule Infirmière est présente par matinée, par après-midi et par nuit, elle est accompagnée par 5 Aides- soignant(e)s le matin et l'après-midi, et 1 Aide-soignant(e) la nuit. La pratique que je vais présenter se déroule le matin, au seins d'une équipe de 5 aides-soignantes et 1 infirmière. Je réalise cette analyse de pratique professionnelle lors de la toilette de

patient est un homme âgé de 55 ans qui mesure 1,60 mètre et pèse 42 kilogrammes, il est donc assez maigre. Il à le visage rouge et sec (il a la peau qui pèle), il a les cheveux courts et très fin et châtain et les yeux marron. Il est vêtu d’une chemise de nuit blanche de l’hôpital et a à son bras gauche une perfusion et des lunettes à oxygène dans le nez. 1.1.2 Description psychologique C’est une personne très angoissée et très mal à l’aise, il se sent coupable car deux jours auparavant

sa chemise de nuit pour qu'elle puisse se tourner pour faire le dos. (tout en mettant la barrière de sécurité du côté ou elle allait se tourner) 13. Une fois mon eau et mes gants de protection changés, Madame G c'est tournée sur le coté opposé de la plaie en s'appuyant sur la barrière. 14. Savonner rincer et sécher le dos. 15. Savonner le siège avec un gant jetable, rincer et sécher par la suite. 16. Assurer l'aide à l'habillage (Madame G souhaitait remettre sa chemise de nuit)

aussi fort, un trou de 2m de diametre s'etait formé a cause d'un coup de tonerre phénoménal, je redesecendis dans ma chambre, l'eau m'arrivait maintenant eh haut des genou, il fallut que j'utilise ma force pour marcher dans cette eau, le bas de ma chemise etait trempé, de fines goutelettes d'eau parcourait mes molets, ce qui me procura des frissons. Je montai en haut les "autres" gemissaient de peur, Mathieu me cherchait du regard, quand il me trouva un sourire soulag"é fendit son si beau visage d'Apollon

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sont employées telles que des comparaisons: "Les mots de son père comme des météorites.", "Elle a l'air d'un trombonne démantibulé, d'un ceintre de pressing, d'une antenne télé après une tempète.", "Corps décharné comme une insulte", "Sous sa chemise de nuit souffre un ventre rond comme un ballon de foot", "Dans sa robe de chambre en laine polaire bleu roi, elle à l'air d'un poupon en celluloïde", "Il lui parle d'égal à égal, comme à une complice de longue date."; des personifications: "L'ordinateur