Cher Frère Blanc

depuis une heure, la tenait silencieuse, allongée au fond de la voiture, comme dans une chaise longue de convalescente. Elle portait, sur une robe de soie mauve, à tabliers et à tunique, garnie de larges volants plissés, un petit paletots de drap blanc, aux revers de velours mauve, qui lui donnait un grand air de crânerie ?. Ses étranges cheveux fauve pâle, dont la couleur rappelait celle du beurre fin, étaient à peine cachés par un mince chapeau orné d'une touffe de roses du Bengale. Elle continuait

mourir mon père J’ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants Ma mère a tant souffert Qu’elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j’étais prisonnier On m’a volé ma femme On m’a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes J’irai sur les chemins Je mendierai ma vie Sur les routes de France De Bretagne en Provence Et je dirai aux gens Refusez d’obéir Refusez de la faire N’allez pas à la

cf la reprise de l'expression "une si grande conséquence" comme à propos des Égyptiens : l'attitude des Européens vis-à-vis de l'or est donc aussi peu rationnelle ... 2° IA : Relativité du symbolisme des couleurs : noir et blanc n'ont pas la même signification pour les Blancs et pour les Noirs ... Cf la Lettre persane 59 (1721): "je ne suis pas surpris que les Nègres peignent le diable d'une blancheur éblouissante et leurs dieux noirs comme du charbon". Le préjugé de la couleur était vivace au XVIII°

Ces textes ne sont tirés que de ma pure imagination, une pure création de mon esprit, et ils n’ont aucun rapport avec ma vie, donc ce n’est pas la peine de poster des commentaires, sur l’histoire ou le style. 10 Texte 1 : « Dear Brother » Cher frère Cette lettre n’est pas un cadeau, notre mère ma seulement dit de t’écrire de me calmer, je suis vraiment triste de ta réaction, mais je me force à t’écrire quelque chose de gentil. Je ne sais pas ce que je peux te dire, je ne sais même pas comme

« L'homme, blanc en Europe, noir en Afrique, jaune en Asie et rouge en Amérique, n'est que le même homme, teint de la couleur du climat. » Buffon. L'homme de couleur Cher frère blanc, Quand je suis né j'étais noir, Quand j'ai grandi j'étais noir, Quand je vais au soleil je suis noir, Quand j'ai peur je suis noir, Quand j'ai froid je suis noir, Quand je mourrai je serais noir. Tandis que toi homme blanc Quand tu es né tu étais rose, Quand tu as grandi tu était blanc, Quand tu vas

son lit... Flairez-vous la faute ? personnageKENT Je ne puis regretter une faute dont le fruit est si beau. personnageGLOUCESTER Mais j’ai aussi, messire, de l’aveu de la loi, un fils quelque peu plus âgé que celui-ci, qui pourtant ne m’est pas plus cher. Bien que ce chenapan soit venu au monde, un peu impudemment, avant d’être appelé, sa mère n’en était pas moins belle : il y eut grande liesse à le faire, et il faut bien reconnaître ce fils de putain... Edmond, connaissez-vous ce noble gentilhomme

…………………………………………………………………………………………………………………………… 5- Le pull est rouge et noir ( ) …………………………………………………………………………………………………………………………… 6- Le pull que veux acheter Mona est cher. ( ) …………………………………………………………………………………………………………………………… Bien dit p 222 Bien dit p223 EXPRESSION et VOCABULAIRE A apprendre

regardent pendant que le conte, vêtu de blanc, pieds nus et les mains liées, est mené à son exécution. Il y à plusieurs personnages dont un moine franciscain, accompagnent l'homme condamné, qui donne ses dernières instructions à sa femme en marchant. A l'avant plan, on rejoins l'histoire après l'exécution. Le comte à été décapité, et son corps mutilé est avachi au sol. Le bourreau tends la tête du comte à sa veuve agenouillée, qui l'entoure d'un linge blanc. Deuxième panneau : L'empereur

Mais ni les beaux habits, ni les tables chargées De gâteaux délicats, de fruits et de dragées, Ni le vieil écuyer qui lui dit ses combats, Ni les propos du clerc qui le flatte tout bas, Ni les doux oreillers de la profonde alcôve, Ni le palefroi blanc harnaché de cuir fauve, Ni les jeux féminins qui font bouillir son sang, Ni son père qui rit et pleure en l'embrassant, Rien ne peut empêcher que son coeur ne se serre Alors qu'il se souvient de sa libre misère. Ah! qu'il aimerait mieux le fruit

qui, depuis une heure, la tenait silencieuse, allongée au fond de la voiture, comme dans une chaise longue de convalescente. Elle portait, sur une robe de soie mauve, à tablier et à tunique, garnie de larges volants plissés, un petit paletot de drap blanc, aux revers de velours mauve, qui lui donnait un grand air de crânerie. Ses étranges cheveux fauve pâle, dont la couleur rappelait celle du beurre fin, étaient à peine cachés par un mince chapeau orné d’une touffe de roses du Bengale. Elle continuait