Chérie 25

? , Prison de Clairvaux Ma chérie Salut, la prunelle de mes yeux. Je n’arrive plus à supporter la vie sans toi ! J’imagine que vous vous sentez seul à la maison. Je n’arrive même plus à savoir cela fait combien de jours que je suis là mais cela ne doit pas faire très longtemps et tu me manques déjà ! Je ne sais pas par ou commencer tellement j’ai de choses à te dire et pas assez de place sur cette maudite feuille pour exprimer combien

{Refrain:} Tout, tout pour ma chérie, ma chérie Tout, tout pour ma chérie, ma chérie Tout, tout pour ma chérie, ma chérie Tout, tout pour ma chérie, ma chérie Toi, viens avec moi Et pends toi à mon bras Je me sens si seul Sans ta voix, sans ton corps Quand tu n'es pas là Oh oui, viens! Viens près de moi Je ne connais rien de toi Ni ton nom, ni l'âge que tu as Et pourtant tu ne regretteras pas Car je donne {Refrain} Je suis sur un piédestal de cristal Et j'ai peur un jour de

veut qu’on vienne chez elle ma chérie. » Le lendemain matin chez mamie : * Alors mamie tu t’es fait cambriolé ? * Eh oui malheureusement. * Je vais mener une enquête lui répondis-je toute joyeuse. Et j’écrit mon enquête Deuxième chapitre : Une idée en tête Soudain une idée me passa par la tête : Poser des pièces sur le rebord de la fenêtre. J’alla demander la permission à mon père et à ma mère et ils eurent tout de suite dis : * Ma chérie tu es très courageuse et tu

la femme de ma vie, Je sais pas comment t’as fait pour paraître aussi sincère, Peut être que tout simplement parce que moi en face d’un père, Je ne pourrai jamais mentir en gardant le sourire au bout des lèvres. « Je t’aime », tu es ma vie ma chérie, Toutes ces nuits qu’elle passe à t’écouter, Elle, à qui on a enseigné le respect sans la rancœur, Toi, bouffé par ton orgueil, Tu ne sais même pas voir quand elle pleure en silence Affichant un sourire pour cacher ce malaise qui la blesses,

 Dialogue argumentatif Fille provocatrice - Coucou ma chérie ! Fille normale - Oh ! Mais comment t'es habillée la ! - Bah qu'est ce qu'il y a ? - Bah regardes comment tu es habillée ! - Je suis normale la ! - Non ! Ce n'est pas normal, tu as vu comment c'est court ! - Mais ce n'est pas court, j'ai un collant en plus. - Non mais sérieux ton collant est transparent, super fin et nous sommes en hiver ! - Je n'ai pas froid du tout en plus au

Verdun, Le 18 mars 1916, Ma chérie, Je t'écris pour te dire que je ne reviendrais pas de la guerre. S'il te plaît ne pleure pas, sois forte. Le dernière assaut m'a coûté mon pied gauche et ma blessure s'est infectée. Les médecins disent qu'il ne me reste que quelques jours à vivre. Quand cette lettre te parviendra, je serai peut-être déjà mort. Je vais te raconter comment j'ai été blessé. Il y trois jours, nos généraux nous ont ordonné d'attaquer. Ce fut une boucherie absolument inutile. Au

construire quelque chose, sincèrement. Nous ne pouvons pas. Je n'ai pas le droit. Je ne veux plus prendre le risque de m'y autoriser. Pardon, excuse moi mon amour.. Adieu. ... Maman, pourquoi je le connais pas Papa ? C'est une bonne question ma chérie, peut être parce que notre monde est constitué de passages d'inconnus ininterrompus.

Selena(ma belle-mère) - Elle est allé se faire une beauté - haha je meurt de rire elle devra y rester des siècle avant de devenir potable au regard - je suis d'accord ! - bon ben merci pour le petit déjeuner -Je t'empris ma chérie n'oublie pas

s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l'épouser. Son ami la quitta en pleurant. Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait : «Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient miens.» Moralité ????? Très peu de personnes se rappellent de leur passé, et des amis qui les ont soutenus dans les situations difficiles et douloureuses. La vie est un Cadeau Aujourd'hui

Verdun Le 6 avril 1916 Marie ,ma chérie Ici les combats font rage, la terre est bouleversée, brulée ,le paysage n’est plus que champ de ruines. Il ya quelques jours, nos généraux nous ont ordonné d’attaquer. La bataille fait rage mais on résistent le Générale PETIN motive les troupes en criant « Courage on les aura » a ce moment la il n’ya plus de peur, plus d’amour, plus de sens , plus de rien .On doit courir, tirer et avancer. Les cadavres tombent, criant de douleur. Il faut éviter les