Chérif ben Ali

avant de toucher le Sud tunisien pour enfin gagner la capitale, Tunis. Le président Zine el-Abidine Ben Ali, en fonction depuis 23 ans, intervient trois fois à la télévision, sur la chaîne publique Tunisie 7 ; lors de sa première intervention, le président menace les causeurs de troubles de terribles sanctions et accuse les médias étrangers. Lors des deux dernières interventions télévisées, Ben Ali adopte un ton plus calme et promet du changement et notamment la liberté d'expression, un libre accès

Constitution. Ces jeunes de Kasserine, Sidi Bouzid, Gafsa, Bizerte, mais aussi Tunis, ont redonné une place centrale au peuple dans la gestion de la transition depuis ce haut lieu de la révolution tunisienne. Un mois et demi après la chute du régime Ben Ali, l'inertie politique et sociale dans laquelle ils voyaient le pays s'enliser leur a fait craindre qu'on ne leur vole leur révolution. Ils sont revenus, déterminés, pour donner voix à leur exaspération. "Ghannouchi dégage" a été leur premier cri de

ex-ministre-conseiller chargé des affaires politiques, ex-membre du Comité central du RCD élu député en 1981, 1986 et 1989. Il devint ministre de la Jeunesse et des Sports puis ministre de la Justice avant de devenir Premier ministre de 1989 à 1999 beau-frère de Ahmed Ben Salah et l’oncle de Hakim Karoui. Khalil Ammar, étant un proche de Hamed Karoui (ancien premier ministre tunisien) aurait des liens de parentés avec l’ex DGA de la STB, Faycel Zine el abidine, qui a été renvoyé de la banque pour corruption Khalil Ammar

politiques : le président Zine el-Abidine Ben Ali et sa famille, notamment celle de sa seconde épouse Leïla, les Trabelsi, qualifiée de « clan quasi-mafieux », car ils sont directement mis en cause dans des affaires de corruption, de détournement ou de vol. Malgré la fuite de ben ali le 14 janvier 2011 après 23 ans de règne (en arabie saoudite), la révolution continue - Protestation contre le parti de transition (présence des ministres du dernier gouvernement Ben Ali) et pour la dissolution du parti présidentiel

[pic] President Habib Bourguiba Tunisia has been governed by President (Zine El Abidine) Ben Ali since 1987. Its Official Language is Arabic and its Second Language is French. Tunisia is subdivided into 24 Governorates, they are: |Ariana |Manouba | |Béja |Medenine | |Ben Arous |Monastir | |Bizerte |Nabeul

dans un geste de détresse, Mohamed Bouazizi s’immole par le feu devant le siège du gouvernorat. Cet acte désespéré va être le point de départ d’une contestation qui deviendra une révolution qui aboutira au départ le 14 janvier 2011 du président Ben Ali et au renversement de son régime. Cette révolution appelée aussi (bien que cela soit controversé en Tunisie) la Révolution du Jasmin se propagera à son tour à plusieurs pays arabes. On appellera ces contestations d’ampleur et d’intensité variables

7 - Le Premier ministre, les ministres et secrétaires d’Etat sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République Tunisienne. Tunis, le 5 juillet 2008. Zine El Abidine Ben Ali MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES Décret n° 2008-2473 du 1er juillet 2008, portant ratification d’un programme exécutif de coopération dans le domaine de l’environnement entre le gouvernement de la République Tunisienne et le gouvernement de la

révolution ? - moi je prends des vidéos dans la rue et je les met sur Facebook et Youtube - vous pouvez nous montrer une de ces vidéos ? - oui bien sûr -Qu’est-ce les gens disent dans cette vidéo ? - Les gens disent « du pain de l’eau et non à Ben Ali » - qu’est-ce que tu as à la main ? - c’est un policier qui m’a tiré dessus, j’ai dû rester 2 jours à l’hôpital - est-ce que tu peux nous montrer comment vous partager ces vidéos sur Youtube ? - je branche le téléphone à l’aide d’un câble USB

pays mais grâce à des rebelles dotés de portables les manifestations violentes on put être difusés dans le monde entier. Le mouvement de protestation et révolutions dans le monde arabe en 2010-2011 commence en Tunisie, dirigé par Zine el-Abidine Ben Ali depuis 1987. L'immolation de Mohamed Bouazizi  (Vendeur de fruits et légumes ambulant) qui s’avère être un suicide, à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010 déclenche des manifestations massives et répétées, et des combats violents s’engagent entre les deux

Dridi/AP Quelque 4000 Tunisiens ont manifesté dimanche à Tunis pour réclamer la démission du gouvernement de transition dirigé par Mohamed Ghannouchi, premier ministre de Ben Ali de 1999 à sa chute. La manifestation s'est déroulée sans violence devant la résidence du premier ministre. Après la chute de Ben Ali le 14 janvier, un gouvernement de transition a été formé par Mohamed Ghannouchi. Des élections libres ont été annoncées d'ici à six mois. Une commission a été nommée pour préparer