Chiasme

masculins (le père est décédé et la cadette lui ressemble). Ce trio fonctionne d’une manière déséquilibrée, car la mère a une relation narcissique (admiration de sa propre personne) avec sa fille aînée ( « qui la voyait, voyait sa mère » : chiasme). Le chiasme révèle la relation entre la mère et la fille, l'une est le reflet de l'autre, elles ont les mêmes caractères. Elles sont unies par l’emploi du pluriel, alors que l’on parle de la cadette au singulier. La ligne 5 annonce que la fille aînée ne

Effet d’incertitude ➢ Comparaisons femme - paysage: « On dirait…couvert » (v.1), « ton œil réfléchit…la pâleur du ciel » (v.4), « tu rappelles…voilés » (v.5), « tu ressembles…horizons » (v.9) → Fait le lien entre la femme et le paysage ➢ Chiasme : « ô femme dangereuse, ô séduisants climats » (v.13) → La femme est d’abord séduisante puis se révèle dangereuse. Axe 2: ambivalence de la femme ➢ Lexique qui marque l’incertitude, ambivalence : « mystérieux » (v.2), « alternative » (v

vit libre mais sans appui ; s'il vit à la cour, il est protégé mais il est esclave. (La Bruyère) Lorsque les termes d'une double antithèse (libre/esclave ; sans appui/protégé) sont disposés selon le schéma ABBA, on parle de chiasme (à noter qu'on peut aussi parler de chiasme lorsqu'il n'y a pas antithèse (ABBA) : Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. (Molière)). L'antiphrase Elle exprime une idée par son contraire dans une intention ironique. Quel courage ! pour dénoncer

caprices du destin, destin qui est notamment a l’origine de sa transformation d’arbre en Navire. II L’histoire d’une transformation C’est un thème présent dès le premier vers puisqu’on y retrouve le mot « transformé ». Il est mis en évidence par un chiasme car il y a un lien symétrique entre « je fus » et « vaisseau » ce qui permet de mettre en avant le verbe  « transformé ». On retrouve cette idée au vers 5 avec le verbe « convertis ». Ces deux verbes sont à la voir passive c’est donc une métamorphose

marquée par les |Triste vie ; | |jamais de repos, |adverbes + besoins de base ( faim , repos) |Met en valeur l’acharnement du sort ! | | |Chiasme | | |Vers 10-11-12 : Sa femme, ses enfants, les |Enumération accablante |Un bilan tout négatif, | |soldats, les impôts,

peine capitale : le roi mène ici une politique de dissuasion. Dans le monologue de Clindor Corneille aborde ces problèmes. « Il succomba vivant et, mort, il m’assassine » ici nous avons un chiasme ( construction qui s’inverse , ici autour de « et ») qui met en valeur le verbe assassiner en fin de vers. Le chiasme est un figure de style qui se rapporte à l’antithèse. On sait par ailleurs que la mise en valeur d’un terme passe par son placement en fin ou début de vers et à la césure ce qui renforce l’hyperbole

ressent. Ligne 3 « Elle revient comme un songe ». Ici, la comparaison est utilisé afin de faire allusion au rêve qui est en fait ce qu’elle vient de vivre. Lignes 6 à 9 «  aigreur et la froideur » ; « quel calme et quelle douceur ». Par ces deux chiasmes de construction, l’auteur cherche à montrer l’opposition des sentiments suite au démenti de M. de Nemours. Puis vient l’emploi des hyperboles qui amplifieront le ressenti de la princesse. Ligne 31 « cuisante douleur ». Cette hyperbole montre la

Analyse linéaire :I. Une scène tragique :La situation de scène éveille la pitié du spectateur et du lecteur. Il s’agit d’une scène d’adieu. Les adverbes d’intensité « considérablement » et « si » montre que son cas est désespéré. Ce manque d’espoir est confirmé par le verbe « désespérer » l.1. Malgré la souffrance face à la mort Mme de C maîtrise ses émotions et fait preuve d’une grande sagesse. La mort est évoquée par un euphémisme « péril où elle était » qui renvoie au courage de Mme de C. Le

sommes heureux " et " tu ne peux nuire à notre bonheur "… Cette opposition marque leur style de vie. Il y a une interpellation de la personne par ce jeu d'interpellations. Symétries et chiasmes : " elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs " (l.20). La structure en chiasme permet de souligner une fois de plus l'opposition entre ces deux peuples que tout oppose. La symétrie cherche à renforcer l'hypothèse inversée : le vieillard met les Européens à la place

l’enjambement des vers 37 et 38. La fabuliste tourne en dérision la force divine du roi. On devine ici une critique de la monarchie absolue de droit divin et du roi Louis XIV. L’opposition entre les adjectifs « profanes » et « sacrés », organisée en un chiasme à cheval sur les vers 35 et 36, met en relief cette critique et le lecteur sourit lorsque la lionne, mélangeant les références mythologiques et catholiques, affirme sa sainteté : « Conversant avec ceux qui sont saints comme moi ». Enfin, le dénouement