Chiasme

dysphorique) fusionnent de façon paradoxale. Cette fusion est facilitée par le chiasme lexical : « extase langoureuse » devient « fatigue amoureuse » dans le deuxième vers, et l’on voit que les deux thèmes, c'est-à-dire que la sensualité amoureuse et l’abattement physique ou moral, échangent leur place dans les deux groupes nominaux pareillement constitués d’un substantif suivi de son adjectif. La fusion s’effectue aussi grâce au chiasme accentuel : on passe d’un premier vers accentué 3+4 à un deuxième accentué

la force est impuissante et la force sans justice est tyrannique. Déduction logique : Donc, il faut donc mettre ensemble la justice et la force et pour cela faire que ce qui est juste soit fort et que ce qui est fort soit juste. (Il utilise un chiasme dans la dernière phrase). Pascal use de syllogisme pour convaincre son lecteur et il affectionne particulièrement le raisonnement dialectique : il envisage une thèse puis ses limites, l’antithèse, avant de dépasser les contradictions éventuelles

l’atmosphère antique. C’est une entrée en matière éminemment musicale, car elle est haletante, douloureuse, comme entrecoupée de sanglots, par le morcellement du vers 1, fortement rythmé, par, au vers 2, le renversement harmonieux, la reprise en chiasme. Selon des auteurs anciens (Virgile, en particulier, dans ‘’Les géorgiques’’), l’alcyon, qui vivait le long des rivages de la Sicile, divinité marine, l’une des Néréides), qui aurait fait son nid sur les flots (d’où « oiseaux chers à Thétis »), qui

lapidaires : suggérer une certaine irritation du questionneur, qui apparaît encore plus nettement dans la dernière question avec les deux exclamations : Eh ! donc L'identité de l'étranger Sens de l'article défini dans le titre ? Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin : - dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre - à la fin un extraordinaire étranger : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration

continue sur sa lancée. Cela serait trop futile de s’attarder. Il y a une dernière joute vers la fin. Il s’agit pour Figaro d’obtenir un baisé de sa future femme. «  A mon amant aujourd’hui, je te le souhaite ! » ironique, antiphrase. On a un chiasme : À mon amant aujourd’hui, qu’en dirait mon mari demain ? » ironie. La joute se fini plutôt à l’avantage de Figaro, il y a tout un jeu de scène. On est en plein dans le soucis principal des jeunes mariés avant leur noces, ils sont dans les préoccupations

l’amour 1. Entrelacement des deux thèmes : a. Deux champs lexicaux primordiaux : « mer », « amour » b. Les deux thèmes sont tellement rapprochés qu’ils créent un sentiment de confusion : - cf figures de répétition : paronomase, anaphore, chiasme (v. 10-11), rythme (cadence 6-6: 6 temps pour l’amour, 6 temps pour la mer) c. Raison de rapprochement : Une mer tourmentée devient la métaphore filée de l’amour et de ses dangers (cf utilisation de la métaphore filée de la navigation, des orages

sommes heureux " et " tu ne peux nuire à notre bonheur "… Cette opposition marque leur style de vie. Il y a une interpellation de la personne par ce jeu d'interpellations. * Symétries et chiasmes : " elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs " (l.20). La structure en chiasme permet de souligner une fois de plus l'opposition entre ces deux peuples que tout oppose. La symétrie cherche à renforcer l'hypothèse inversée : le vieillard met les Européens à la place

sommes heureux " et " tu ne peux nuire à notre bonheur "… Cette opposition marque leur style de vie. Il y a une interpellation de la personne par ce jeu d'interpellations. Symétries et chiasmes :" elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs " (l.20). La structure en chiasme permet de souligner une fois de plus l'opposition entre ces deux peuples que tout oppose. La symétrie cherche à renforcer l'hypothèse inversée : le vieillard met les Européens à la place des

clairs, il est toujours très sensible au regard des femmes d'où l'adjectif ''livide''. ''Ciel'' → le haut du tableau, c'est un terme pictural. La subordonnée circonstanciel de lieu ''où'' montre l'ouragan de la passion. Le vers 9 présente un chiasme qui indique la complexité de l'amour et de la passion, les sentiments sont doux mais en même temps terribles; la passion est ici montrée par ''tue'' → enchantement mais souffrance à la fois. II-Baudelaire rejeté à son spleen presque quotidien.

acţiunea vorbirii, afereză, alegorie, aliteraţie, aluzie, amfibolie, anagramă, antanaclază, antifrază, antiteză, apocopa, argumentare, asonanţă, asteism, axiologie, cacofonie, calambur, categorie, cauză, ceremonial comunicativ, cîmp semantico-lexical, chiasm, cinism, cod, coerenţă, coeziune, competenţe comunicative, conector semantic, conotaţie, contrastivitate, denotaţie, deplasare, descriere, determinism, dezambiguizator, dialog, dilemă, disjonctor semantic, discurs, dublu sens, dublă semnificaţie,