Chien-assis

l'écurie. Whit : C'est un jeune ouvrier agricole. Carlson : C'est un homme de forte corpulence. Candy : C'est l'homme le plus âgé du ranch. il a perdu une main au travail. Il veut acheter un lopin de terre avec George. Il possède un très vieux chien tué par Carlson. Résumé global de l'œuvre.   Au milieu des années trente, pendant la crise économique, deux amis, Georges Milton, un homme qui est intelligent et Lennie, un homme légèrement attardé mentale. Il aime les choses douces et broyer

Lennie il a voulu le taper car Lennie est plus grand que lui mais en fin de compte c’est Lennie qui lui a broyait la main droite. Lennie et George ne s’entendent pas avec lui car il critique toujours Lennie. Dans le ranch il a aussi Slim qui a eu une chienne avec 9 petits chiots et il en a noyer 5 car ca faisait trop de bouche à nourrir. Et il en a donné un marron et blanc à Lennie car il aime les animaux entre autre les lapins que lui a promit George et les souris que lui donnée sa tante Carla. Ce cadeau

QUALITÉS RECHERCHÉES pour être chien-guide: - aucune peur de son environnement; - bonne capacité à gérer le stress; - aime les gens, dévoué pour son maître -aime travailler -aucune attirance pour les distractions extérieures (nourriture, aire de jeux, bruits, etc.) 1er chien à être utilisé comme chien-guide : Le labrador Il n’est cependant pas apte à remplir tous les besoins notamment ceux des enfants car : Les Labrador sont grands et possèdent une force physique importante; Ils sont

juste un attraction espagnol. Dans la partie centrale il y a l’Allemagne représentée par un teckel avec sur sa tête le casque traditionnel Allemand, il est raccrochée par une laisse a l’AutricheHongrie, son allié, qui elle est représentée par un chien qui ressemble a un jack Russell qui lui aussi porte sur sa tête le képi traditionnel de son pays. Le Jack Russell est attaqué a la fois par la Russie et par les Balkans. Les Balkans sont représentés par un soldat balkanique et des guêpes qui piques

avec elle naîtra Sans faute avec elle mourra, Et jusqu'au bout contredira, Et, s'il peut, encor par-delà. Fables III, 16 Le Lion et le Chasseur Un Fanfaron amateur de la chasse, Venant de perdre un Chien de bonne race, Qu'il soupçonnait dans le corps d'un Lion, Vit un berger. Enseigne-moi, de grâce, De mon voleur, lui dit-il, la maison, Que de ce pas je me fasse raison. Le Berger dit : C'est vers cette montagne En lui payant de tribut un Mouton

L’apologue séduit le lecteur en créant et en faisant évoluer des personnages attachants qui séduisent le lecteur. C’est le cas notamment des animaux de la plupart des fables de la Fontaine comme « Le loup et le Chien » extrait des ses Fables de 1668. Nous pouvons également dire que le cadre spatio-temporel permet  de rendre le récit plus attrayant. Ainsi, Voltaire dans Candide ou l'optimisme fait varier son cadre spatio-temporel et au fil de sa lecture le lecteur

visage et ses mains qui se recourbaient pour former des pattes dotées de griffes. Le loup-garou se cabra en faisant claquer ses longues mâchoires. Sirius avait disparu. Il s’était métamorphosé. L’énorme chien se précipita d’un bond. Lorsque le loup-garou se libéra de la menotte qui l’attachait, le chien l’attrapa par le cou et le tire en arrière ; ils étaient à présent accrochés l’un à l’autre, mâchoire contre mâchoire, leurs griffes se déchirant férocement... Les Métamorphoses, « Lycaon » (manuel

but les enjeux.               Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire ;               Ni de quel juge l'on convint. (4)    Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ;    J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint    Il s'éloigne des Chiens, les renvoie aux calendes, (5)                Et leur fait arpenter les landes.    Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,               Pour dormir, et pour écouter        D'où vient le vent, il laisse la Tortue               Aller son

: elle est brave et simple. Ces deux femmes habitent dans une maison typiquement normande : elle a des volets verts et habitent le long d’une route. De plus, elles parlent un langage familier, le patois : elles utilisent le mot «quin» qui signifie chien. Toutes ces raisons font de ce récit un récit réaliste. De plus, le récit est rythmé par des pauses descriptives telles qu’aux lignes 47 à 60 qui servent à ralentir le rythme et à créer des effets de suspens ou d’attente, des scènes telles qu’aux

la diversité de certains écosystèmes.   De plus, pour protéger leur troupeau des loups, les bergers se font aider de gros chiens (les patous) qui ont des réactions parfois violentes, qui peuvent mordre des êtres humains ou encore manger de petits chiots. Ces gros chiens rendent la montagne moins paisible, et sont une conséquence indirecte du retour du loup.   Par ailleurs, certains défenseurs du loup prétendent que cet animal n’a jamais attaqué