Chien de chasse

Le chien Photos: Nom scientifique: Canis lupus familiaris Classe: Mammifères Ordre: Carnivores Famille: Canidés Description: Le squelette du chien compte environ trois cents os (soit environ quatre-vingts de plus qu'un squelette humain adulte), le nombre étant variable d'une race à l'autre. Malgré sa domestication et la dépendance à l'homme qui en découle, le chien a gardé sa musculature athlétique qui en fait un animal sportif et actif. Il possède un thorax large et descendu

riche, où beaucoup de gens peuvent se permettre d’avoir des animaux. Et le bois de Boulogne étant tout juste à côté, les gens acceptent plus facilement d’avoir un chien, qu’ils peuvent sortir et emmener chasser. La clinique comprend 5 salles plus une cave, dans laquelle sont entreposé des échantillons de pâtés et croquettes pour chiens et chats, et des cages pour les animaux qui passe la nuit dans la clinique : _ La salle d’attente _ La salle de consultation du Docteur Berdah

certains d'entre eux sont aussi insectivores. Ils sont actifs surtout au crépuscule et la nuit. Leurs prédateurs sont les dingos et les chiens, depuis que leur principal prédateur, le tigre de Tasmanie, a disparu. Lorsque la nourriture manque, des aigles se groupent pour les chasser ainsi que des reptiles pour les plus petites espèces. Pour combattre les chiens, une de leurs tactiques favorites est d'aller dans l'eau et de noyer l'assaillant ; ils peuvent aussi utiliser leurs pieds pour des combats

Le chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés. C'est la première espèce animale à avoir été domestiquée par l'homme pour l'usage de la chasse dans une société humaine paléolithique qui ne maîtrise alors ni l'agriculture ni l'élevage. La lignée du chien se différencie génétiquement de celle du loup gris commun il y a environ 100 000 ans1, et les plus anciens restes confirmés de chien domestique sont vieux de 31 700 ans2 soit plusieurs dizaines de milliers

 « Le Loup et le Chien » de La Fontaine – PLAN DE LA LECTURE ANALYTIQUE Introduction : Les fables de La Fontaine sont des apologues dont la morale est souvent devenue un proverbe : nous avons tous appris dans notre enfance «Le Lièvre et la Tortue» ou « Le Corbeau et le Renard » et nous savons depuis que « Rien ne sert de courir/ Il faut partir à temps » ou que « Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute ». Dans « Le Loup et le Chien » pourtant on ne trouve pas de précepte ni de devise ;

glacé, lors d'une famine une chienne, Kitché, échappée d’un camp indien ,s' introduit dans une meute de loups pour pouvoir se nourrir.Quelque temps après elle met au monde dans leur grotte une portée de cinq chiens-loups dont un seul survit. Ce louveteau est un être très curieux et il veut découvrir le monde extérieur. Il apprendchaque jour qu’il faut lutter pour vivre . Etun jour alors qu'il était encore une fois sorti de leur refuge, et que sa mère elle était partie chasser, il rencontre des hommes

sanglier d’Erymanthe. Le troisième travail était de capturer le sanglier d’Erymanthe et de le ramener vivant à la cour d’Eurysthée. Ce sanglier affirmait être une bête féroce qui ne sortait de son repaire que pour dévaster les champs d’Arcadie. La chasse commença. Le demi-dieu courra après elle pour la fatiguer. Puis, il attira la bête épuisée dans un trou qu’il avait rempli de neige pour le paralyser avant de le chevaucher. Enfin, il le maîtrisa et l’enchaîna à mains nus 4.La biche de Cyréné. Eurysthée

puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux

DOCUMENT A Le Loup et le Chien Un loup n’avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli1, qui s’était fourvoyé par mégarde. L’attaquer, le mettre en quartiers, Sire loup l’eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bataille ; Et le mâtin2 était de taille À se défendre hardiment. Le loup donc l’aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu’il admire. « Il ne tiendra

château et le puit, les manants de Budange apportent leur vendange au pressoir avec l’aide des vilains. Le comte surveille tout ce qui se passe au château. En se rendant à l’écurie, il fut étonné de voir la comtesse Mathilde, sa femme, prête à partir chasser. Mais, comme d’habitude, le comte refuse et renvoie sa femme à ses tâches : filer, tisser ou broder & Lis la fin : « Le comte cheminait… » p.24  Chapitre 3 « La nuit du renard » Saute les pages 31 à 38 dont voici le résumé : Le comte ne