Chien enragé

registre tragique: ''Je n'en ai point''- le lecteur se demande où est sa mère 2) Le Loup- puis → ''Un loup survient'' → présent de narration → ELEMENT PERTURBATEUR- sombre car le Loup est enragé: ''Au fond des forêts''- '' Le loup l'emporte, et puis le mange '' → effet de SURPRISE et de BRUTALITE- Le Loup est: ''enragé'' + ''en colère'' + ''bête cruelle'' → excès 3) Opposition / Affrontement→ il y a deux couleurs: - le blanc = le Bien = l'Agneau - le noir = le Mal = le Loup Opposition entre le

ChatOcelot|[->52][->53]|Les chats sont des animaux de compagnie issu de l'apprivoisement d'un Ocelot[->54]. Ils peuvent prendre 3 apparences différentes, après l'adoption d'un ocelot une de ces 3 apparences sera choisie au hasard. Commme pour les chiens[->55] ils vous suivront partout, a moins que vous fassiez un clic droit dessus pour les faire s'assoir. Les chats ont la particularité d'effrayer les creepers. Ils chassent aussi les poules[->56], qu'ils tuent pour vous.Voir la fiche complète[->57]|

His work on the cholera is going to help him. Au 18ème siècle, la rage est omniprésent en Europe. A Londres, par exemple, il y a eu 29 morts dès les premières semaines. L'ordre de la Rage ordonna aux autorités locales de museler et d'enfermer les chiens errants pour combattre « la rage des rues ». En 1880, Pasteur commence à travailler sur la rage. Il veut trouver comment éviter la maladie. Il va alors s'aider de son travail sur le choléra des poules. The making (La fabrication) Pasteur succeed

énumération ( cent,mille fois plus...) . L’emploi systématique du pluriel (« des êtres », « des hommes ») crée une impression de masse. L'auteur utilise des hyperboles pour accentuer l'atrocité de la guerre  : ligne2: "Milles morts" ligne6: "pire qu'un chien ,il n'imaginait pas son trépas!" ligne24: "croisade apocalyptique" mais aussi des gradations ligne 8/9 «   beaucoup des comme lui .. autant . .. " ligne10: "UN,deux,plusieurs millions" Le champs lexical de la mort est présent pour montrer que cette

les vies des gens mise en jeu pendant la guerre. Bardamu le caractérise de monstre sans cœur « le colonel était donc un monstre » « pire qu’un chien »=> Il va critiquer l’héroïsme avec bcp d’ironie => « Serait je donc le seul lâche sur terre ? » métaphore du chien « plus enragé que les chiens, adorant leur rage..tellement plus vicieux » il compare le chien au soldat principe du chient est de suivre son maitre qui est ici le colonel d’attaquer lorsqu’on lui demande et sont dresser pour cela. Ils ne

d’avoir été torturés par une horde de fous vicieux devenus incapables soudain d’autre chose, autant qu’ils étaient, que de tuer et d’être étripés sans savoir pourquoi. Le colonel, c'était donc un monstre ! A présent j'en étais assuré, pire qu'un chien, il n'imaginait pas son trépas ! Je conçus en même temps qu'il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre armée, des braves, et puis tout autant sans doute dans l'armée d'en face. Qui savait combien ? Un, deux, plusieurs millions peut-être

humbles dont la franchise met à nue les vérités . Syntaxe relâchée propre à l'oral "j'ai jamais pu"...c'est à pas y tenir", termes familiers "frousse" "cabanons",ou tournures familières "c'est à pas y tenir" phrases non verbales et ellipses "pire qu'un chien", "et puis tout autant sans doute dans l'armée d'en face" comparaison rebattue"aussi simplement que s'il avait attendu un ami sur le quai de la gare" ... son raisonnement ne progresse que par interrogations et exclamations . Bardamu peut ainsi être

d'un vocabulaire de connotation dépréciative. Au terme « monstre » qui définit le colonel, font écho toutes les comparaisons avec des chiens. Le mot revient à plusieurs reprises : « pire qu'un chien », « plus enragés que mille chiens », « plus vicieux ». La présentation des hommes comme des êtres bien inférieurs aux chiens leur attribue un caractère enragé et une cruauté perverse et inhumaine. Par ailleurs, des termes comme « imbécillité infernale », « fous héroïques » et « croisade apocalyptique

“ brillant ”, “ ordonné ” et le bruit des canons par des instruments de musiques « trompettes, fifres, hautbois, tambour » . Dans Voyage au bout de la nuit, Céline utilise l'animalisation des colonels « un monstre », « pire qu'un chien », « plus enragés que les chiens », pour montrer au lecteur qu'ils sont pires que des animaux. Mais aussi l'ironie « fous héroïques », « sale âme héroïque ». Dans ces deux textes, l'auteur critique les soldats. Tandis que dans La mort du roi Tsongor, Gaudé montre

Don Juan: Acte I Scène I I. Don Juan grand seigneur corompu Scélérat : hors la loi (il ne respecte pas les lois et les règles) l.7 Enragé : c’est un fou furieux l.7 Turc : Sganarelle le traite de sauvage l.8 Hérétique/diable : il ne croit pas en la religion et en dieu, Sganarelle met au même niveau la religion et les superstitions (Il ne croit à aucune superstition «  loup garou », « moine bourru », ce qui le rend libre) l.8 Loup-garou / bête / pourceau : il l’animalise