Chignon

perspective : à première vue on ne remarque que la jeune fille, mais dès qu’on prend du recul les objets se transforment pour créer un crâne. Les objets qui engendre la transformation sont le miroir et la table, qui forment le crâne, la femme avec le chignon forme les yeux, les flacons et les parfums forment les dents, et la bougie dessine le nez. Le titre implique le caractère fini de l’Homme, condamné à mourir. maquillage, fards et autres bijoux ne sont qu’un moyen de cacher la vieillesse. L’homme vieillit

épaules. La tête est penchée, elle est concentrée sur son travail. Des touches blanches autour du cou, destinées à représenter un collier, semblent indiquer qu'il ne s'agit pas d'une ouvrière, mais d'une dame d'une certaine position sociale. Son chignon rouge donne une légère touche de couleur aux verts-gris, aux bruns et aux blancs dominants2. Les parties externes du personnage n'ont été que rapidement ébauchées, cherchant à combler les principales zones de couleurs sur un tracé vert sombre. Postérieurement

seul morceau, tant ils étaient lisses, étaient séparés sur le milieu de la tête par une raie fine, qui s'enfonçait légèrement selon la courbe du crâne ; et, laissant voir à peine le bout de l'oreille, ils allaient se confondre par derrière en un chignon abondant, avec un mouvement ondé vers les tempes, que le médecin de campagne remarqua là pour la première fois de sa vie. Ses pommettes étaient roses. Elle portait, comme un homme, passé entre deux boutons de son corsage, un lorgnon d'écaille[1].

2 ), « (…) il ne savait pas regarder les femmes. » ( l. 2 à 3 ) puis au fur et à mesure une certainement intimidation en effet Lisa est décrit comme une jeune femme assez stricte et froide «  (…) son chignon serré, ses minces bandeaux, collés sur les temps » ( l. 21 à 22 ) , « (…) n’éveillait aucunes pensées charnelles » ( l. 24 ) mais impressionnante aussi « (…) la largeur de ses épaule, l’emmanchement puissant de ses bras (…) » ( l. 22 à 23 )· Le

temps ! vite, vite dépêchons-nous ! ». En quelques temps, trois mouvements me voilà changé, maquillé et coiffé. La belle robe blanche issue d’un conte de fée, ou plus précisément issue de cendrillon, puisque celle-ci est de couleur bleu ciel, le beau chignon comme celui des miss France, le maquillage simple et pourtant magnifique digne d’une poupée de porcelaine. Je me regarde dans le miroir, je me trouve belle et je me dis « qu’elle chance à mon prince «. Je me sens pousser des ailes. Mais il y a un

elle regarda ses bras et son corps et se vit portant une robe bleu ciel comme celle des aristocrates, et des chaussures en verre à talons, comme ils étaient beau ! Ses cheveux qui étaient lâchés sur ses épaules s’étaient ramassés pour faire un beau chignon. Elle ne crut pas ses yeux. La musique s’arrêta et tous les gens présents dans la salle s’arrêtèrent également et la regardèrent. Puis ils encerclèrent Marie, la regardèrent, au fur à mesure que les secondes passaient leurs habits se déchirèrent ils

à leur raconter.Un jour, elle rencontre un ancien camarade d’études, avocat qui lui propose un poste dans son cabinet.Paul et Myriam doivent alors trouver une nourrice. Ils embauchent Louise très « propre sur elle » se présentant avec son petit chignon et son col Claudine. Myriam a de l’ambition, elle rêve de devenir une grande avocate. Elle rentre tous les soirs épuisée mais elle est épanouie dans sa vie professionnelle. Et elle est heureuse de constater que son foyer est bien tenue. Louise paraît

seul morceau, tant ils étaient lisses, étaient séparés sur le milieu de la tête par une raie fine, qui s'enfonçait légèrement selon la courbe du crâne ; et, laissant voir à peine le bout de l'oreille, ils allaient se confondre par-derrière en un chignon abondant, avec un mouvement ondé vers les tempes, que le médecin de campagne remarqua là pour la première fois de sa vie. Ses pommettes étaient roses. Elle portait, comme un homme, passé entre deux boutons de son corsage, un lorgnon d'écaille.

duplex étaient hebdomadairement proprement nettoyés par Gervaise. Quand on l'apperçevait dans les beaux quartiers, personne ne se doutait qu'elle était dans ces lieux pour sa discipline: femme de ménage. Derrière sa grande et mince silhouette, son chignon blond parfait, dégagait son visage aux traits fins, tirés par les rudesses de sa vie. Elle cachait sous son jean simple et sobre C&A*, une jambe boiteuse de naissance qui s'apperçevait plus ou moins selon son degré de fatigue: plus elle l'est, plus

Résumé de Vipère au poing! La Belle Angerie, le chignon de grand-mère, les vingt-quatre prières diverses de la journée, lestartes aux prunes, les marronniers en fleurs ; l’ensemble paraît être harmonieux jusqu’au jour où lagrand-mère de Jean et de Ferdinand décède, fin d’une période de paix.Les parents de Jean et de Ferdinand, suivi du cadet Marcel sont alors contraints de quitter la Chine etde revenir en France ; le cœur agité par le retour d’une mère alors inconnue, le bruit assourdissantdes