Chikungunya

atteindre un bon niveau (représentation personnelle). → Courir seule s’est avéré plus difficile. J’ai donc cherché un partenaire. Malheureusement, des ennuis de santé m'ont contrainte à stopper entièrement ma préparation. Mon médecin a soupçonné le chikungunya mais les analyses n'ont rien révélé à part peut-être un léger épanchement au genou gauche qui fait que j'ai eu le genou comme une pastèque pendant plus de 3 mois et qu' actuellement je n'ai plus d'appui stable sur ce genou. Transition : Malgré

32 ans à 67 ans (donc elle a plus que doublé), que la mortalité infantile ait baissé, que le nombre de médecins et d’hôpitaux ait augmenté. (Ce qui n’est pas une mauvaise chose puisqu’en Inde perdurent des maladies comme la grippe aviaire, le chikungunya, le paludisme ou encore la malaria). Par ailleurs, aujourd’hui, même en zone rurale, 95% des enfants peuvent trouver un établissement scolaire à moins d’1 km de chez eux. En 1961, à peine 28% de la population de moins de 15 ans était scolarisée

comparée UGB -------------------------------------------- [ 1 ]. MIQUEL P. Mille ans de malheur. Les grandes épidémies du millénaire, Paris, Michel Lafon, 1999. [ 2 ]. LOMBARD J. L’épidémie moderne et la culture du malheur. Petit traité de chikungunya, Paris, L’Harmattan, 2006. (pp. 26-27). [ 3 ]. DAUPHINE A. Risques et catastrophes : observer, spatialiser, comprendre, gérer, Paris, Armand Colin, 2004. [ 4 ]. AUDOIN-ROUZEAU F. Les Chemins de la peste, Paris, Editions Tallandier, 2007. (p

les nombreuses infrastructures développées ont suffit à l’île pour réussir son arrivée fulgurante dans le marché du tourisme. Maintenant elle est devenue un endroit de prédilection pour tous vacanciers voulant retrouver le soleil, et malgré le Chikungunya qui a frappé l’île, le tourisme a continué son ascension. En 2013 il atteint 850 000 visiteurs sur l’île. Maurice est maintenant surnommé le « Dragon de l’océan Indien ». A. Des formes de tourisme pour tous. L’île Maurice étant issue de nombreuses

mondiale de la santé (OMS) rapport que ce phénomène cause au moins 150 000 décès par an . En France, d’ici en 2030, on peut s’attendre à l’émergence ou la réémergence de risques infectieux, en raison des maladies comme de la dengue, du paludisme, du chikungunya, etc . De même, c’est la société ou des pays qui font face à un impact indirect du réchauffement climatique. Les dégâts aux biens et aux infrastructures entraînent des tensions économiques. Dans certaines régions, la sécurité alimentaire régresse

alertes : la vigilance cyclonique, la vigilance orange, et la vigilance rouge. Les moustiques : La Réunion compte 13 espèces de moustiques dont certains pouvant causer des maladies graves à l’homme : paludisme, fièvre jaune. L’épidémie du « Chikungunya » a été maîtrisée fort heureusement, mais il faut tout de même prendre ses précautions. La Réunion reste en vigilance au niveau des piqûres de moustiques, pouvant avoir des conséquences lourdes. Dangers : La présence de requins est constatée

des vagues de chaleur meurtrières. Pour faire face à ce danger imminent et le combattre, il faut dès aujourd’hui, prendre conscience avec lucidité de cette situation Les épisodes de canicule, l'apparition de maladies nouvelles comme le chikungunya tout récemment en Italie ou la fièvre catarrhale ovine aux Pays Bas, le désarroi à la suite de catastrophes comme le cyclone Katrina à la Nouvelles Orléans, les interactions entre le réchauffement climatique et la pollution, sans même parler des

révolution industrielle. La France a été confronté à plusieurs crises sanitaires : – L'affaire du sang contaminé en 1983 – La crise de la vache folle en 1995 – La canicule de l'été 2003 – La grippe aviaire en 2004 – Le chikungunya en 2006 – La grippe A (H1N1) en 2009 Ces crises ont fait naître au sein de la société française une attente croissante de sécurité face aux produits de santé, aux aliments et à l'environnement. La France est réputée pour sa qualité de protection

MALADIES TROPICALES L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et Santé Canada rapportent que la fièvre dengue, la fièvre typhoïde, l’hépatite A, la malaria, la méningite à méningocoques (saisonnière), le choléra (depuis octobre 2010) ainsi que le chikungunya (depuis avril 2014) peuvent être contractées en Haïti. Comme Haïti est un pays considéré comme une zone endémique, il est particulièrement important d’avoir reçu les vaccins nécessaires et de vérifier les dates de rappel. Toutefois, les personnes

. L’épidémie de SRAS (Syndrôme respiratoire aïgu sévère) qui s’est développé à partir de l’Asie entre février et mai 2003, dont on a dénombré 6000 cas dans le monde (5 en France), dont 400 mortels (aucun dans les pays riches) . L’épidémie de Chikungunya (maladie virale transmise par un moustique) sur l’île de la Réunion, qui, si elle a été rapidement détectée et les pouvoirs publics alertés dès mars 2005, a été sous-estimée dans son ampleur (250 000 malades) et sa gravité (200 décès, des formes