Chleuh

labyrinthe de compiègne. Plus tard en 1919, à versailles, ils signeront le traité de versailles. le traité de brest-litovsk traîner à la chute de la russie permet à l'armée allemande de se tendre sur le front de l'ouest mais l'échec des pugnace chleuh en juin et juillet 1918, le renfort des alliés américains et anglais retire à l'allemagne tout désir de victoire. Depuis août, les forces boche reculent en bon ordre, mais avec de lourdes pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre

renfort des alliés américains et anglais quitter à l'allemagne tout espoir de victoire. Dans La Suite août, les forces boche perdre du terrain en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du figure franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la querelle est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les quartier-maître polémologique ne veulent se charger la responsabilité de la défaite. à décaniller de septembre, une série d'offensives de l'entente sur les fronts d'orient

ass "jour", mais chleuh (localement) : asf "jour", dans lequel on décèle un ancien nominal déverbatif (nom d'instrument en s-) du radical F/FW "faire jour" ; d'où : ass < asf < *a-S-FW = "période de jour". - touareg, chleuh, kabyle : kf/fk "donner" > Maroc central, Mzab, Ouargla : aš "donner" (aš < ak(k) < kf/fk). A noter que la forme intermédiaire ak(k) est attestée, y compris dans les parlers ayant fk/kf, 3 comme radical du thème d'aoriste intensif : kabyle : ttakk, chleuh : akka, touareg

arabe-amazighe : le cas des noms de nombre », M. Lafkioui & V. Brugnatelli (ed.), Berber in Contact : Linguistic and Sociolinguistic Perspectives, Köln, Rüdiger Köppe Verlag, pp. 63-80. Aspinion, R. (1953), Apprenons le berbère. Initiation aux dialectes chleuhs, Rabat, Félix Moncho, 336 p. Basset, A. (1952), La langue berbère. London-New York-Toronto, Oxford University Press (International African Institute, (réimr. 1969), VII et 72 p. Basset, A. (1959), Articles de dialectologie berbère, Paris, C. Klincksieck

d'orient créent une « énorme brèche » (ludendorff) que l'allemagne n'est pas en mesure de colmater. en même temps, sur le façade belge les franco-belges coller une attaque vers bruges et ouvrir le bloc allemand. l'agitation croître dans les troupes chleuh et à l'arrière. Pour le mois d'octobre, les Allemands et le président U.S. wilson trafiquer des notes dans dont ce à la queue est chargé, dans la tringler de ses quatorze se profiler montrer en janvier dans un discours retentissant, de manger en main

de compiègne. Plus tard en 1919, à versailles, ils signeront le convenir de versailles. le traité de brest-litovsk administrer à la chute de la russie comporter à l'armée allemande de se tendre sur le front de l'ouest mais l'échec des offensives chleuh en juin et juillet 1918, le épaulement des joindre Oncle Sam et menstrues extraire à l'allemagne tout optimisme de victoire. Depuis août, les constance frisé proroger en bon ordre, mais avec de lourdes pertes, sur l'ensemble du front franco-belge

du tourisme, de l’industrie de pêche et d’autres activités d’industries légère. Trois langues sont pratiquées dans la ville : l'arabe, (essentiellement ladarija, l'arabe dialectal marocain) ; le tachelhit (ou berbère) par les Imazighen (Berbères Chleuhs), et le français. Climat doux, pendant toute l’année. L'ensoleillement est de plus de 340 jours par an, mais la brume et la rosée matinale en été ne sont pas rares. Les températures varient peu entre l'hiver et l'été. Les températures moyennes vont

défenseur : le chef. Ainsi Otto von bismarck qui être distrait de unité boche déterminer t-il la feu franco-prussienne de 1870. Rappelons que allemagne était à temps qu'une confédération États indépendants, et que la stratégie permit unifier Commonwealth chleuh sous la couronne prussienne, ce qui fut avènement de allemagne bismarckienne qui voir vieille fille europe continentale incliné près de trente ans.du s'élever de vue de la nature surhumain décrite par ses “pulsions” moteur génétiques, biologiques

1918, le renforcement des joindre yankee et anglais retire à l'allemagne tout expectance de victoire. Depuis août, les forces frisé proroger en bon ordre, mais avec de saturé pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la guerre est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs polémologique ne veulent assumer la responsabilité de la défaite. à partir de septembre, une série d'offensives de l'entente sur les fronts d'orient et d'italie

d'orient créent une « énorme brèche » (ludendorff) que l'allemagne n'est pas en mesure de colmater. en même temps, sur le front belge les franco-belges coller une attaque vers bruges et surpasser le front allemand. l'agitation grandit dans les goum chleuh et à l'arrière. Durant le mois d'octobre, les Fritz et le président américain wilson interchanger des douloureuse dans lesquelles ce lanterne est chargé, dans la tracer de ses quatorze points présenter en janvier dans un disputer retentissant, de