Chleuh

marocaine, qui incarne l’aspect linguistique. En effet, c’est elle qui est chargée d’expliquer à Inna, la mère, qui ne parle qu’un « mélange détonnant d’argot arabe et chleuh » (p.45), les annotations sur les cahiers des filles, parce que « tout le monde sait que beaucoup de juifs parlent l’arabe. Mieux encore, madame Alice pratique le chleuh » (p.19). Cela lui octroyait une espèce d’aura aux yeux de ses voisines, et Inna était émerveillée par cet « accent rare, cette langue fluide qui s’échappait d’entre

situation faite aux LA FAMILLE ETENDUE OU CLAN (La kharouba arabe, le ikhs des Chleuhs) Quels sont les devoirs qu'imposent les liens de parenté aux divers degrés ? De chaque clan ne dépend-il pas une clientèle de gens pauvres qui lui sont attachés, soit par des pactes anciens soit par intérêts, soit par des sentiments de reconnais¬ sance, soit par contrainte ? 3- LA SOUS-FRACTION (La rebad des Rifains, des Chleuh) Plusieurs clans se gr-upent-ils en vue de constituer une sorte d'unité administrative

culture amazighe marocaine. Ci-dessous un aperçu du Tifinagh : La langue Tachelhit La Tachelhit est la langue berbère la plus importante du Maroc par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension. Elle est parlée par les Chleuhs du Haut-Atlas et du Souss (sud du Maroc). La partie orientale de l'aire de la tachelhit est délimitée par l'axe Ouarzazate, au-delà de cette limite commence l'aire de Tamazight. Comme d'autres langues berbères, la Tachelhit possède un vaste programme

en amazigh et en darija (dialect arabo-amazigh).La musique amazigh (berbère) est aussi divisée en 3 grands groupes suivant les diverses régions: Rifains au Nord du Maroc: reggada et aarfa Tamazigh au Centre du Maroc: chaabi et ahidous Chleuhs (Souss) au Sud du Maroc: ahidous La musique arabo-andalouse, elle-même composée de sous groupes suivant les villes andalouses d'origine des réfugiés hispano-andalous installés au Maroc : Meknès, Fès, Rabat, Salé, Tanger, Tétouan,Oujda, Chefchaouen :

Rabat, Fès, Marrakech, Meknès et Tanger. La densité de population est assez forte. Trois langues sont pratiquées dans la ville : l'arabe, (essentiellement la darija, l'arabe dialectal marocain) ; le tachelhit (ou berbère) par les Imazighen (Berbères Chleuhs ou Icelḥiyen) ; et le français. Ravagée par un tremblement de terre en 1960, la ville a été entièrement reconstruite avec des normes parasismiques obligatoires. C'est désormais la plus grande station balnéaire du Maroc où les touristes et les résidents

« sahlaoui », les berbères, les nomades, etc…) . Stéréotypes cantonaux : - les habitants du Sahara = les peau noires du Sahara (appelés « Sahlaoui »). - les berbères = les habitants des grottes, des montagnes, habitants assez radins (les chleuh). . Stéréotypes internationaux : L’attitude du Maroc dans le domaine de la politique extérieure est influencée par sa neutralité dans le monde, sa disponibilité et sa solidarité notamment pour sa relation avec les autres pays africains. L’image

moindre mesure au turc et à l'espagnol. Le berbère ou tamazight se décline en plusieurs variantes régionales : chaoui dans les Aurès, chenoui dans la région du Chenoua, kabyle en Kabylie, mozabit dans le Mzab, le touareg au Sahara, le Zénètes, le chleuh à la frontière marocaine. Le français est également extrêmement répandu : avec près de 16 millions de locuteurs francophones, l'Algérie est le deuxième pays francophone au monde, en nombre de locuteurs après la France. Le français est considéré

Tifinagh, encore utilisé par les Touaregs. Les Berbères constituent donc une mosaïque de peuples de l'Égypte au Maroc, se caractérisant par des relations linguistiques, culturelles et ethniques. On distingue plusieurs formes de langues berbères : Chaoui, Chleuh, Kabyle. À travers l’histoire, les Berbères et leurs langues ont connu des influences romaines, puniques, arabes, turque ou encore françaises, ce qui fait que de nos jours, sont appelés officiellement « berbères », les ethnies du Maghreb parlant,

habitants de «Djenné» l’ancienne capitale de l’empire sonrhai. Une origine spécifiquement berbère du nom est aussi envisageable. S’appuyant sur des correspondances cosmogoniques, la mythographe, «Viviana Pâques »propose de relier «Gnawa» au terme chleuh «igri ignawan» désignant allusivement l’étoile Aldébaran. Delafosse ethnologue de renommée explique que l’expression berbère «Akal-n-Iguinaouen» signifiant «pays des noirs», aurait donné naissance au mot Guinée et au mot «Gnawa» par ressemblance phonétique

| |Chewas | |Chichewa |Malawi | | |Chleuhs |berbère |Chleuh (en arabe) ou |Maroc | | | | |tachelhit