Chlordécone

exubérance en faisaient une sorte de paradis en miniature. De ces contradictions semblaient naître toutes les difficultés»15. Ce cliché semble se rapporter à la société des «Grands Planteurs» de l’Ancien Régime. Un vrai scandale économique: le chlordécone «Un grand nombre d'institutions qui contrôlaient ce pays étaient issues de la mouvance Pétainiste. Il faudrait en prendre acte et en tirer des leçons. L'agro-industrie serait issue de l'effort de guerre ainsi que les fertilisants et les bombes et

production et du type de distribution de l'eau. Les produits phytosanitaires ne sont pas non plus exempts de reproches : certains insecticides, comme le DDT ( utilisation désormais interdite mais largement employée dans les année cinquante) ou le chlordécone, désormais interdits, se sont avérés toxiques pour les végétaux et pour les animaux, et se sont accumulés tout le long de la chaîne alimentaire. En règle générale, on impute à ces types de produits phytosanitaires une augmentation du taux de cancers

reste fortement encouragée, pour la rendre plus "durable" et ralentir sa récession par l'Europe, l’État et les collectivités locales (Région et Département). Les séquelles de l'utilisation de ces produits, pour certains très toxiques et rémanents (chlordécone, paraquat en particulier) posent aujourd'hui problème. Depuis 1973, dans les Antilles françaises, son utilisation était destinée à protéger les bananeraies d'un charançon. Son autorisation à la vente avait été retirée en 1990 par le gouvernement

produits de consommation liée à l’insularité et a l’éloignement de la métropole. - A une économie centré sur la culture de la banane et de la canne sucre. Le secteur de la banane connais des difficulté à cause de l’utilisation d’un pesticide nocif le chlordécone. La canne à sucre est surtout utilisé pour produire du rhum. De plus l’agriculture est menacée par le développement important de l’urbanisation. - Les prix de revient des marchandises sont trop élevée par rapport au territoire de la même aire géographique

manifestations et grèves de 2009 (document 8) dénonçaient un malaise social lié aux difficultés économiques, au coût des produits de consommation, à la culture de la banane produite dans des conditions difficiles (utilisation d’un pesticide nocif : la chlordécone) à des prix de revient trop élevés par rapport aux territoires de la même aire géographique (main-d’œuvre moins chère, un marché très concurrentiel et étroit) ce qui nuit aux exportations... Elle renvoie aussi à la faiblesse du PIB/habitant. Le

dévaster une récolte comme en 2007 lors du passage de l’ouragan DEAN 100 % des récoltes détruites. b) Problèmes de parasites Les plantations étaient parfois infectées par des parasites, du charançon du bananier, qui a entrainé l’utilisation de la chlordécone (pesticide). Ce pesticide a infecté de nombreuses terres et rivières. Il n’existe aujourd’hui aucune méthode pour décontaminer les sols. 8 L’utilisation de ce pesticide a déclenché un scandale qui a terni l’image de la banane. c) Des difficultés

et Grand-Anse), les deux plus grosses productions de l’île sont en crise. L’agriculture guadeloupéenne emploie 7% de la population active. La crise est marquée par une diminution des surfaces exploitées, ou encore par la pollution des sols à la chlordécone qui reste une problématique dans le cadre d’une plus grande autonomie alimentaire. Les perspectives restent cependant ouvertes notamment par la diversification de la production amorcée de melons. _ L’industrie est le vrai moteur de l’économie qui

et Grand-Anse), les deux plus grosses productions de l’île sont en crise. L’agriculture guadeloupéenne emploie 7% de la population active. La crise est marquée par une diminution des surfaces exploitées, ou encore par la pollution des sols à la chlordécone qui reste une problématique dans le cadre d’une plus grande autonomie alimentaire. Les perspectives restent cependant ouvertes notamment par la diversification de la production amorcée de melons. _ L’industrie est le vrai moteur de l’économie qui

et Grand-Anse), les deux plus grosses productions de l’île sont en crise. L’agriculture guadeloupéenne emploie 7% de la population active. La crise est marquée par une diminution des surfaces exploitées, ou encore par la pollution des sols à la chlordécone qui reste une problématique dans le cadre d’une plus grande autonomie alimentaire. Les perspectives restent cependant ouvertes notamment par la diversification de la production amorcée de melons. _ L’industrie est le vrai moteur de l’économie qui

également, à cause de la démultiplication du tourisme, qui occupe de plus en plus de place, et oblige souvent à raser certaine zone naturelle de la région. Mais la pollution est également présente, avec l’utilisation de pesticide très nocif tels que le Chlordécone, utilisé en masse dans les plantations de bananes. La Martinique se distingue également par l'étroitesse de son marché ainsi que par le surcoût de l'approvisionnement et de transport des marchandises à cause de son éloignement géographique. Au