Chocs Pétroliers Et Prix Du Pétrole

croissance, en finançant la modernisation de l’appareil de production. L’augmentation de la masse monétaire impulsée par les accords de Bretton Woods, l’aide du plan Marshall, les institutions monétaires internationales (FMI, SMI, BIRD) et la hausse des prix et des salaires (on parle d'inflation structurelle), ont multiplié les possibilités d'investissement. L’intervention de l’État marque cette période de croissance, selon deux modèles : celui de la planification impérative, pour les économies socialistes

des alliés dans cette zone. Chaque camp essaie de gagner des alliés. (Ex : sous la monarchie du Shah d'Iran, l'Iran est du côté pro occidental). Logique régionale qui échappent à la GF : logique du pétrole (pays membres de l'OPEP ; tous les pays pétroliers vont se réapproprier leurs puits de pétrole (contraire aux idées pro occidentales)). Conflit Israélo-palestinien : tous les pays arabes sont clairement contre Israël (sauf peut être la Jordanie). III 1973-5/1985 : Un ordre bipolaire déstabilise

industrielle Pétrole Electricité Moteur à explosion Moteur électrique Industrie électrique Chimie Biens de consommation Automobile Avion Tramway électrique Fordisme Essor des emplois de bureau Début de la mécanisation des campagnes Essor des classes moyennes Début de la consommation de masse Grandes lois sociales Les cycles de Kondratiev ou les mouvements de longue durée = Alternance de phases de croissance (A) et de dépression (B) d’environ 25 ans. Phase de croissance : les prix montent, les

Chapitre III- Extension de la logique de IS/LM à prix flexibles : le modèle quasi-offre globale/quasi-demande globale La macroéconomie keynésienne est une macro à prix fixe. On a fait juste qu’à maintenant comme si les prix étaient fixes et du coup comme si l’offre globale infiniment élastique aux sollicitations de la demande globale. La courbe d’O est donc horizontale. Une augmentation de la demande globale par des politiques conjoncturelles monétaire ou budgétaire expansionniste se traduit par

1919 : mutation des techniques de production. Passage des techniques caractéristiques de la première révolution industrielle (charbon, fer, machine à vapeur) à de nouvelles techniques propres à la seconde révolution industrielle (acier, électricité, pétrole, moteur à explosion). Mutations aussi dans l'organisation du travail industriel et du capitalisme. 1870-1900 : 25 ans de problèmes économiques, résultats de la première crise systémique du capitalisme. Baisse du taux de croissance (ex : passage

et Pastré en 2008 rappelle qu’en 1970, la création de l’Organisation de la Conférence Islamique qui regroupe un ensemble de pays musulmans remet les préceptes économiques de l’Islam au goût du jour. En 1973, dans l’envolée des prix du pétrole et de l’embargo pétrolier arabe, l’Organisation de la Conférence Islamique décide de créer de la Banque Islamique du Développement. Celle-ci basée à Djeddah en Arabie Saoudite, elle va mettre en place un système d’entraide fondé sur des principes islamiques

ravitaillement. La production industrielle était inférieure de moitié, tandis que les infrastructures de transport étaient endommagées. La situation financière était très mauvaise en raison de l'alourdissement du déficit budgétaire et de l'inflation ( les prix ont quadruplé de 1938 à 1944 ) et le marché noir s'est développé, tandis que le franc se dépréciait. http://www.ina.fr/video/I05178427 • Les réformes de structure et l'aide américaine   De 1944 à 1946, les nationalisations ont concerné

plus. L’envol de ‘économie financière a par ailleurs été stimulé par les chocs pétroliers de 1973 et 1979. La forte augmentation des px du pétrole transférait une masse importante de capitaux vers les pays qui en produisaient. Ceux-ci, n’en n’ayant que partiellement l’usage chez eux, réinvestirent une très gde part de ces pétrodollars sur les marchés financiers occidentaux. Par ailleurs, les pays du Sud non producteurs de pétrole commencèrent à s’endetter fortement. Au total, la dette extérieure des

la marginalisation de cette région du monde et du décalage conjoncturel, les effets indirects et de « deuxième tour » risquent d’être relativement sévères pour ces pays qui sont caractérisés par une grande vulnérabilité et une faible résilience aux chocs externes. La crise internationale actuelle interpelle les décideurs sur la nécessité et les modalités de régulation de l’économie mondiale en proie à une instabilité susceptible de remettre en cause les avantages attendus d’une intégration poussée

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