Chomage De Masse

Ces billets restent convertibles en Or jusqu'en 1914, le billet devient alors une monnaie fiduciaire, basée sur la confiance, en latin, « fidus » signifie confiance. Aujourd'hui, la monnaie scripturale (écritures de banques) représente 80% de la masse monétaire. Ces écritures peuvent crées de la monnaie (scripturale) lors des crédits... La monnaie scripturale est plus récente que la monnaie fiduciaire, elle apparaît au 18ieme siècle et se généralise au 19ieme siècle avec « l'Act of Peel » de 1844

souhaitent trouvent un emploi au salaire de marché. Mais, depuis 30 ans, le chômage de masse perdure malgré une flexibilisation croissante qui devrait permettre de faciliter le rééquilibrage selon la théorie néoclassique. Ces problèmes agissent sur le financement de la protection sociale : en effet, les mécanismes publics mis en place pour assurer une protection de l'individu contre les risques de l'existence (maladie, chômage, vieillesse) sont financés dans les systèmes corporatistes bismarkiens, comme

au milieu des années 80. Le Conseil des Affaires d'Etat4 a promulgué successivement les "Dispositions provisoires sur l'assurance chômage des salariés des entreprises d'Etat" le 12 juillet 1986, la "Décision du Conseil des Affaires d'Etat sur la réforme du système de retraite des salariés des entreprises urbaines" le 26 juin 1991, les "Dispositions sur l'assurance chômage des salariés des entreprises d'Etat" le 12 avril 1993. Le "Code du Travail" du 5 juillet 1994 a également consacré un chapitre au

INFLATION CHOMAGE Page 19 INFLATION ET CHOMAGE Depuis la seconde moitié du XX siècle, l’inflation et le chômage constituent les maux les plu importants de nos sociétés, au point d’être présentés par Kaldor comme les pierres angulaires de son Carré magique. L’inflation est un processus durable et général de hausse cumulative du niveau général des prix. Les sources de l’inflation sont très diverses, cependant, trois d’entre elles apparaissent particulièrement importantes. La théorie quantitative

dgéaLa politique de l’emploi Un fort développement des dispositifs relatifs à l’emploi a été mis en place depuis les années 70, en réaction au chômage de masse ; le taux de chômage est en effet passé de 2,7% au début des années 1970 à 13% en 1993. La politique de l’emploi concerne essentiellement certaines catégories d’individus (jeunes non qualifiés notamment). Cette politique particulière est établie dans le cadre de difficultés sociales ou de nécessité de réponse rapide à une crise sociale qui

monétaristes : Milton Friedman (école de Chicago) ; le bloc monétaire doit refléter le bloc réel. Tout désajustement est source de déséquilibre (trop de monnaie par rapport à la production crée un déséquilibre). Théorie quantitative de la monnaie M.V = P.Y (masse monétaire X vitesse = Prix nominaux X PIB réel Faut-il craindre l’inflation ou la déflation ? I. De l’inflation à la désinflation A. La croissance modérée facilite la croissance économique Les 30 Glorieuses (1945-1971) : la création monétaire

Un problème économique : Le chômage Depuis une trentaine d’année la France doit faire face a un chômage de masse :c'est-à-dire a un chômage important et dans la continuité. Aujourd’hui le pourcentage de chômeur est de l’ordre de 10.1%.Depuis les années 1970 le chômage est en constante augmentation en effet c’est la fin de la période des 30 glorieuses ou la croissance économique était très bonne pour la France .En 1973 la guerre des pays arabes contre

-Prospérité retrouvée en Europe "années folles" Pd° de masse, abondance monétaire, mais Prospérité relative, puisque pd° qui s'écoule difficilement (crise démog, et revenus insuffisants), d'ou un commerce int' peu dynamique : accès au crédit qui permet de tenir jusqu'à la crise de 29. 1) RECOMPOSITION DIFFICILE DE L'ORDRE MONDIAL -Crise de reconversion du monde occidental, avec pb à adapter l'économie de guerre à la paix (pd° de masse excessive) -Très forte demande avc le besoin de reconstruction

pour elle-même : elle est neutre. La TQM (1911 FISCHER), montre qu’il existe un lien entre la quantité de monnaie en circulation dans une économie (= masse monétaire) et le niveau général des prix. Elle repose sur l’équation quantitative : Y = dépense totale en monnaie Y*P = M*v Y : Revenu nominal (= revenu réel*niveau général des prix P) / M : Masse monétaire (nombre de signe monétaire disponible) / v : Vitesse de circulation de la monnaie (nombre de fois qu’un même signe monétaire est utilisé pour

économistes, au nombre de quatre : La croissance économique, qui est mesurée par le taux de croissance du PIB. Dans ce domaine, l'objectif de l'État est de favoriser une croissance élevée et inscrite dans la durée. Le plein emploi, évalué par le taux de chômage. L'État va aider, directement ou indirectement, à créer des emplois. La stabilité des prix, traduite par le taux d'inflation. Il s'agit pour l'État de garantir le maintien du pouvoir d'achat des agents économiques en luttant contre l'inflation qui