Chrétien

HISTOIRE DE L’EUROPE Introduction : Les héritages européens des conceptions du pouvoir. Trois héritages fondamentaux ont influencé l’identité politique et les droits de l’Europe : L’héritage du droit romain La pensée chrétienne Conception germanique du pouvoir. I) La conception romaine du pouvoir : un pouvoir impersonnel. Les romains ont dégagés la notion d’état ce qu’ils appelaient la respublica. L’expression se traduit du latin par chose publique, c'est-à-dire la chose qui appartient

conduite ou d’une grande qualité quelconque. Ce n’est pas non plus un motif de fierté particulière pour s’en orgueillir. Il y a des gens qui croient qu’il suffit de posséder un ou plusieurs dons pour qu’on dise de quelqu’un que c’est un vrai Chrétien. Nous pouvons bien manifester un don de l’Esprit, et avoir une mauvaise attitude comme le manque d’amour. Or pour Dieu, l’attitude d’amour est plus importante que la manifestation d’un don spirituel ou humain. D’ailleurs, pour annoncer le

qu’elle m’avait offert alors que je n’avais que sept ou huit ans, m’avait écrit cette seule phrase : « Puisses tu garder toujours ton âme d’enfant ! ». Est-ce cette innocence de l’enfance que ma mère me recommandait de garder précieusement, en bonne chrétienne qu’elle était et qui n’oubliait pas que le Christ avait dit : « Laissez venir à moi les petits enfants » ? Ou bien est-ce le résultat de 45 ans de réflexions, de travaux et d’analyses historiques sur le pluralisme religieux et ethnique, stimulé

Nouvelle approche de la guerre spirituelle Samuel Korenteng-Pipim « Here we stand » (Traduction partielle) Depuis la fin des années 1960 une nouvelle approche de la guerre spirituelle parcours les Eglises chrétiennes. Je dis « une nouvelle approche » parce que, historiquement, les chrétiens ont toujours cru qu’il y a un conflit entre Christ et Satan, entre le bien et le mal et entre la vérité et l’erreur. Ils ont enseigné que les armes de notre guerre sont un abandon total au Christ vivant,

LES CATHARES O n appelait les cathares les adeptes d’un mouvement chrétien médiéval. Les cathares rejetaient le Pape de Rome, symbole du mal qui persécute et excommunie. Les cathares étaient des chrétiens mais des chrétiens critiques. Ils ne vénéraient pas la croix mais prêchaient la pratique des préceptes évangéliques, ils font constamment référence aux évangiles. Ces idées hérétiques qualifiées de cathares par l’Eglise s’implante fortement dans le sud –ouest. Les paysans, la petite noblesse

d'expansion de la chrétienté ou d »triment des musulman et des Byzantins. En même temps l'égliseconnaît plusieurs réformes qui modifient les pratiques des chrétiens. L' Europe au Moyen âges et caractérisé par la montée de la puissance de l'Église. Problématique : Quelle est la place del'église dans la société médiévale ? Au moyen age, les chrétiens veulent faire leur salut (vie après la mort) : idée du jugement dernier. L' Église donne le moyen de faire sa rédemption . On ainventé au XIII°s, le

prêtres de Chronos, maîtres du Temps, étaient vêtus de bleu. • Le BLEU apaise, calme profondément. • Il est un des attributs de Jupiter et de Junon, le dieu et la déesse du Ciel chez les Romains. • Les premiers chrétiens avaient choisi le BLEU pour symboliser Dieu le père. L’église chrétienne d’aujourd’hui l’utilise le plus souvent comme la couleur de la Vierge . Dans l’art religieux, il est coutumier de représenter la Vierge portant des vêtements de diverses nuances de bleu. • Le BLEU, en tant que

de la province de Judée au ier siècle4. Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Christ » ou « partisan du Christ », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du ier siècle5. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche aux Magnésiens à la fin du ier siècle6. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis

et les protestantes. Le mot « chrétien » n'est pas le mot utilisé habituellement par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus. Ceux-ci s'appellent, ou sont appelés, la « Voie », « l'Église », « les Églises » ou les « Nazaréens » (du nom de Nazareth, la ville d'origine de Jésus). Le livre des Actes des Apôtres nous apprend que c'est à Antioche, donc dans une ville de langue grecque, que l'on donna pour la première fois aux disciples le nom de « chrétiens ». Sans doute ce nom n'a-t-il

la province de Judée au Ier siècle. Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Christ » ou « partisan du Christ », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du Ier siècle. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche aux Magnésiens à la fin du Ier siècle. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis