Chrétien

El Cid Rodrigo Díaz de Vivar (parfois écrit Bivar), né en 1043 à proximité de Burgos et mort à Valence en 1099, dit El Cid Campeador, chevalier mercenaire chrétien, héros de la Reconquista, bien qu'il ait également combattu aux côtés des musulmans contre les chrétiens en contrepartie d'avantages financiers. Il se met d'abord au service du roi Sanche II de Castille, puis, après l'assassinat de ce dernier à l'instigation de son frère et ennemiAlphonse VI, au service de ce dernier, qui le charge de

l’Église avec un « É » majuscule. Les chrétiens qui sont au service de l’Église forment le clergé, les autres sont de simples laïcs (c’est-à-dire qu’ils ne font pas partie du clergé). L’adhésion des chrétiens à une même foi et à un même système de valeurs permet non seulement un dépassement des divisions qui marquent cette Europe médiévale mais surtout une prise de conscience d’appartenir à un ensemble régi par des règles communes, établies par l’Église chrétienne. Cette Église réussit après une période

culte païen ou bien si c’est l’empire romain qui a paganisé une fête chrétienne. L’essentiel, c’est d’être conscient que Noël est avant tout une fête chrétienne durant laquelle les chrétiens s’offrent mutuellement des cadeaux et se réunissent à la messe de Minuit et tout cela en l’honneur de la naissance du Christ. Et si par hasard, un Montaigne ou un La Rochefoucauld des temps modernes se baladait à l’Eglise ou dans un foyer chrétien durant ces périodes de festivités, tentant de répondre à l’énigmatique

l’inestimable don divin par lequel l’homme est réconcilié avec Dieu […] - XXXVI. N’importe quel chrétien, vraiment repentant, a pleine rémission de la peine et de la faute; elle lui est due même sans lettre d’indulgences. […] - XLIII. Il faut apprendre aux chrétiens que celui qui donne aux pauvres ou prête à celui qui est dans le besoin fait mieux que s’il achetait des indulgences. [….] - L. Il faut apprendre aux chrétiens que si le pape connaissait les exactions des prédicateurs d’indulgences, il préférerait

LA SAINT PATRICK : 1) ORIGINE : Le Saint Patrick (398-461), prélat chrétien appelé « l’apôtre d’Irlande » : A 16 ans, il fut The Saint Patrick (398-461), Christian prelate called "the apostle of Ireland." At sixteen, enlevé par des pirates irlandais et resta 6 ans en esclavage. Patrick fut consacré évêque d’Irlande. Il he was kidnapped by Irish raiders and stayed six years in slavery. Patrick was consecrated aurait utilisé pour symboliser le Trinité un Trèfle à 3 feuilles, plante

dans une course effrénée pour trouver une route menant aux Indes et à ses richesses. En 1498, Vasco de Gamma découvre le Cap de Bonne Esperance qui ouvre la route des Indes. Mais lorsque que Vasco de Gamma arrive à Calicut en espérant trouver des chrétiens et des épices, il s’aperçoit très vite que le commerce local est dominé par les arabes. Les portugais vont donc s’essayer à chasser les arabes de cette région dans le but d’avoir le monopole commercial des épices. Ainsi, Albuquerque succédant au

dans un pays chrétien, ils y sont instruits et baptisés, à quoi ils n’ont aucune répugnance, mais au contraire on trouve encore une admirable disposition : et il y en a plusieurs qui demandent instamment le baptême, lorsqu’ils sont parmi nous pour être délivrés du diable , dont ils assurent qu’ils sont maltraités et battus ; ils seraient privés de ce bonheur dans leur pays, qui est tout idolâtrie, et où il n’y a pas de missionnaires catholiques. -2e Tous les princes chrétiens permettent à

de la mauvaise influence du prieur, vient affiner une représentation des chrétiens (à l'image du prieur, de l'abbé et de l'évêque) qui n'ont pas de vrais arguments mais qui s'appuient sur des coutumes et des préjugés qu'un dogme leur a imposé. Les actes ne relèvent plus de la religion, par exemple l’Ingénu fini par céder non par chrétienté mais par amour pour mademoiselle de Saint Yves. Le passage ridiculise les chrétiens qui ont fait du texte sacré du Nouveau Testament, un moyen rapide et peu

28 août 430. L’œuvre et son contexte En l’année 312, au sein de l’Empire romain, éclate un événement imprévisible : la conversion de l’empereur Constantin. Le christianisme devient religion d’Etat. Quelque dix ans plus tard, en 324, la religion chrétienne prend une dimension « mondiale », l’Empire de Rome étant considéré comme le centre du monde, coextensif à la civilisation. Le 24 août 410, un autre événement majeur annonce, cette fois, la fin de l’Empire romain. Alaric, chef des Wisigoths, entre

plusieurs histoires, les histoires des civilisations qui naissent puis meurent. L’histoire serait donc un enchevêtrement de trajectoires paraboliques. Un autre shéma très connu est celui selon lequel l’histoire à un début et une fin. C’est le shéma chrétien qui donne à l’histoire une trajectoire linéaire finie allant de la création au jugement dernier. Ce shéma ressemble à celui qui est le plus utilisé de nos jours, c’est à dire celui qui confére à l’histoire une direction linéaire mais sans fin.