Chrysalde

Souche », est un homme qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve. Arnolphe rencontre ensuite Horace, fils d’Oronte (un autre de ses amis), qui est tombé amoureux d’Agnès au premier regard, ce qu'il confie sous le secret à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur et le changement de nom. Horace

pièce, bien que le titre n’en fasse pas le personnage éponyme, car il est celui qui a droit, à des vraies tirades face à Chrysalde. Arnolphe est en outre doté une meilleure expressivité : il relance régulièrement le rythme de ses propos par des disgracieux mais efficaces « et » monosyllabiques en ouverture de vers, et ravive la tension au gré de ses multiples interrogations à Chrysalde. Enfin, Arnolphe peut capter l’attention du lecteur-spectateur intellectuel car c’est dans ses répliques que se concentrent

au début de la pièce, le barbon, et tuteur d’Agnès, Arnolphe, semble parfaitement maîtriser la situation. Au cours de son entretien avec Chrysalde, son ami, il présente Agnès (sans la nommer) à travers un récit (une narration). Ce récit peut étonner dans la mesure où tout se passe en direct dans la comédie (ou le plus possible). Mais en présentant Agnès à Chrysalde et au spectateur, Arnolphe se présente lui-même sous un jour antipathique. Le récit organisé en deux temps insiste sur l'innocence

d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été maintenue dans l'ignorance. Arnolphe rencontre ensuite Horace, fils d’Oronte (un autre de ses amis), qui est tombé amoureux d’Agnès au premier regard, ce qu'il confie sous le sceau du secret à Arnolphe

l’utilisation des pronoms « je » et « me » ainsi que dans la syntaxe de nombreuses phrases dans lesquelles Agnès est passive (elle n’est jamais le sujet d’une action) ex : « Pour me faire » (v.142) ; « je l’ai donc retirée » (v.143)… -Chrysalde incarne l’idéal de l’honnête-homme du 17ème siècle : il s’agit d’un homme courtois, humble, cultivé ; il refuse tout excès et doit maîtriser ses émotions -au-delà d’être en désaccord avec les méthodes d’Arnolphe

que "L'École des femmes". Cette pièce fut représentée pour la première fois le 26 décembre 1662. Dans la scène 1 de l'acte I, deux amis, Arnolphe et Chrysalde, discutent du futur mariage d'Arnolphe. Ce dernier a confié sa pupille Agnès à un couvent pour préserver sa pureté et son innocence. Il veut en faire sa femme sans craindre d'être cocu. Chrysalde est en désaccord avec la décision de son ami. Le texte qui nous est proposé est un extrait de cette scène : une tirade d’Arnolphe (en alexandrins) commençant

») se combinent pour suggérer un portrait d’Agnès en parfaite opposition avec celui qu’a tracé Arnolphe, à la première scène (v.129-164). Bien qu’Horace mette en évidence la simplicité et l’ignorance d’Agnès dont s’est félicité Arnolphe auprès de Chrysalde, il en fait non des traits de nature, mais des marques de persécution. [Le portrait d’Arnolphe par Horace] Le portrait d’Arnolphe constitue un deuxième effet du quiproquo. Ce portrait est dépréciatif et satirique. Les fantaisies sur

deux quiproquos : procédé comique par excellence. Le questionnement du ruban : Jugée impudique par la critique (voir... Sauvegarder le document * L'ecole Des Femmes Moliere Acte I ------ Scène 1 - CHRYSALDE, ARNOLPHE CHRYSALDE Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main? ARNOLPHE Oui. Je veux terminer la chose dans... Sauvegarder le document * Ecole Des Femmes en 1666. Acte I Sganarelle, un faiseur de fagots, se querelle

faire pour qu'elle soit son épouse jusqu'à la fin de ses jours. Sans son consentement. Dans un premier temps nous allons vous décrire ce qu’est le mariage au 17 ème siècle, dans un second temps nous allons vous donner les points de vue de Arnolphe, Chrysalde et Horace, pour conclure nous allons vous expliquer l’opinion d’Agnès par rapport au mariage et résumer.En france au 17ème siècle, le mariage était à la fois considéré comme une union civile et une union religieuse, il était célébré par un prêtre

servent la cause d’Horace, non par dévouement pour leur maîtresse, mais parce qu’on devine que celui-ci paye mieux que leur maître ; Oronte et Enrique, dont la visite est annoncée au début, surgissent à la fin pour accélérer un dénouement heureux ; Chrysalde, qui joue le rôle du moraliste de la fable. Ce dernier apparaît en effet à la scène 1 de l’acte I où il met en garde Arnolphe contre la rigidité de ses préceptes. Il annonce la morale de l’histoire : on rira du rieur, et le moqueur des cocus sera