Chrysalde

Arnolphe craint que un jour sa femme , Agnés, le trompe , il decide alors de la prendre en mariage . Mais seulement Agnes a été eleve dans un couvent loin de toute la realite . Arnolphe fait par a chrysalde de ces projet qui n’est pas positif . Horace se confie a monsieur de la souche qui ignore que se soit son tuteur et son futur mari qu’il est tonbe amoureux d’Agnes . Alain et georgette qui sont les deux serviteurs d’arnolphe on permi a horace de voir agnes mais arnolphe s’etant rendu compte

aussi d’instruire : Molière livre aux spectateurs, avec le personnage d’Arnolphe, une leçon sur les effets délétères de la passion amoureuse et de la jalousie, et propose une réflexion sur la condition féminine. E  De plus, le personnage de Chrysalde, au début et à la fin de la pièce, permet d’instaurer des échanges dominés par la raison, et on peut dire que L’École des femmes est l’illustration de ce qui deviendra la clef de voûte du système théâtral de Molière : c’est par le rire que le spectateur

mais aussi d’instruire : Molière livre aux spectateurs, avec le personnage d’Arnolphe, une leçon sur les effets délétères de la passion amoureuse et de la jalousie, et propose une réflexion sur la condition féminine. De plus, le personnage de Chrysalde, au début et à la fin de la pièce, permet d’instaurer des échanges dominés par la raison, et on peut dire que L’École des femmes est l’illustration de ce qui deviendra la clef de voûte du système théâtral de Molière : c’est par le rire que le

d'Arnolphe, qui défend la position rigoriste des catholiques (notamment dans la scène 2 de l'acte III, au cours de laquelle il fait lire à Agnès les maximes sur les devoirs de la femme mariée, extraites du Catéchisme du Concile de Trente24), et de Chrysalde, qui défend la même position émancipatrice que l'essentiel de ce public mondain auquel s'adressait Molière, et dont la seule fonction dramatique consiste à faire ressortir par contrepoint le ridicule des conceptions d'Arnolphe25. C'est par l'introduction

fables . Le texte de Moliere est du genre theatrale car on voit le nom des personnages qui precede les replique .Ce texte quand a lui est argumentatifs l ebut est de convaincre Chrysamde, il me fait penser a un dialogue d'idee car Arnolphe et Chrysalde echange des arguement sur un sujet donner qui est epouser une femme sotte « Epouser une sotte pour n'etre point sot » Ce texte appartien au registre epidictique il fait l'eloge de la sotte . Ainsi le JC CARRIERE lui aussi est un dialogue d'idee car

pourrait. Dieu merci,le succès a suivi mon attente ; Et, grande, je l'ai vue à tel point innocente, Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Elle commencelorsque le matin Arnolphe annonce a Chrysalde son mariage avec sa nièce jusqu’au lendemain matin ou les deux pères concluent le fameux mariage. Le lieu ensuite est toujours le même, pour éviter lechangement de décor durant la réalisation de la pièce. Durant toute l’histoire, le lieu est unique

assez innocent puisqu’il ne comprend pas que M. de la Souche n’est autre qu’Arnolphe. Ce dernier le qualifie à plusieurs reprises de « caquet indiscret ». Son innocence le rend comique et pare la même occasion il rend aussi la situation comique. Chrysalde : est un ami d’Arnolphe. Il le met en garde à plusieurs reprises contre ses idées qui pourraient se retourner contre lui. Dans cette pièce il représente la voix de la raison et de la sagesse. J’ai aimé se livre car il y a des situations comiques

d’instruire : Molière livre aux spectateurs, l avec le personnage d’Arnolphe, une leçon sur les effets délétères de la passion amoureuse et de la jalousie, et propose une réflexion sur la condition féminine. E  De plus, le personnage de Chrysalde, au début et à la fin de la pièce, permet d’instaurer des échanges dominés par la raison, et on peut dire que L’École des femmes est l’illustration de ce qui deviendra la clef de voûte du système théâtral de Molière : c’est par le rire que le spectateur

partie de votre dissertation : LA THÈSE SOUTENUE ! n’est-on pas un grand pédagogue lorsqu’on sait enseigner tout en captivant son auditoire, en le faisant, au besoin, rire ou pleurer ! Prenez vos exemples dans la pièce étudiée, les paroles de Chrysalde, les réponses d’Agnès… et, bien sûr, dans les textes 1 et 3. ATTENTION ! N’oubliez pas la troisième partie du devoir : la synthèse ! Dans laquelle vous faites la part des choses. Faut-il toujours qu’une « leçon » de morale soit austère et ennuyeuse

écrite par Molière en 1662. On y découvre Les seigneurs Arnolphe et Chrysalde qui échangent leurs idées sur les femmes. Pour Arnolphe, la femme idéale est une femme qui n’a pas d’esprit et qui ne réfléchis pas car il affirme que si une femme réfléchis trop cela deviens un danger pour les hommes il affirme même « Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte Qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit. » Alors que Chrysalde lui, préfère une femme intelligente qui puisse la surprendre « qu'il