Chute de Robespierre

n’accepte pas son nouveau statut de Roi des français. Il soutient les opposants au régime (nobles émigrés et prêtres réfractaires). Louis XVI est arrêté le 21 juin 1791 à Varennes alors qu’il tentait de s’enfuir. B)L’entrée en guerre et la chute de la monarchie Suivant l’avis d’une majorité de députés et du Roi, la France déclare la guerre à l’empereur d’Autriche en avril 1792 (doc.3 page 68). Les armées françaises sont battues et la France menacée d’invasion. Le 10 août 1792 le roi

artistique) et il part donc vivre et étudier à Rome pendant 5 ans. Revenu en France en 1780, il se fait emprisonné après la chute de Robespierre.Libéré en 1792, il devient le peintre officiel de L'empire en 1804 mais il doit s’exiler à Bruxelles pendant la restauration et c'est ici qu'il fini sa vie. 3. Après les troubles de la période révolutionnaire (1789-1793) et la chute de Robespierre (1794) ; Napoléon Bonaparte fait un coup d'état le 9 novembre1799 et se fait nommer consul à vie en 1802. Premier Consul

complotait avec le duc de Brunswick (après son manifeste qui menace Paris de représailles exemplaires s’il est fait le moindre mal au roi et à sa famille) contre le gouvernement de la Législative. Cette découverte va précipiter sa chute. Les Montagnards, emmenées par Robespierre et Saint-Just, sont résolus à obtenir la condamnation du roi à la peine capitale. Louis XVI à peu de chances d’obtenir l’indulgence de ce tribunal exceptionnel. L’instruction est uniquement à charge, les pièces ne sont communiquées

duré de la révolution. En particulier pour les historiens généralement très politiquement à gauche (MATHIEZ dans les années 20) la révolution commence bien en 1789 et ce serait terminée en juillet 1794 (9 thermidor en 2) après la chute de Robespierre car après sa chute on assiste à un mouvement de reflux de la révolution, un retour en arrière. Pour d'autres historiens plus proches de nous (FURET), la révolution est beaucoup plus longue. Elle aurait commencée avant 1789 et ce serait terminée seulement

mort, en suspendant son exécution jusqu'après la ratification de la constitution par le peuple. » Ce vote exaspéra la Montagne, et valut aux Girondins l'accusation de royalisme. En mars, la commune de Paris essaya de conspirer; le 10 avril, Robespierre dénonça les Girondins comme complices de Dumouriez ; le 19 mai, Brissot, qui appréciait exactement le danger, écrivait à un ami: « On a guillotiné assez de cuisiniers, assez de cochers de fiacre, ce sont des têtes de conventionnels qu'il faut à

doit-on juger le souverain ? Question terrible résolue après des formes. On a accumulé des preuves pour montrer la trahison. Il y a eu au fond des hésitations : il faut ici rappeler des conclusions terribles : Saint Just et Robespierre. Fameux discours du 6 décembre 1792 de Robespierre : « Louis XVI est coupable, Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vive » Intéressant de voir le hiatus entre ce personnages et les députés : le roi ne veut pas répondre aux questions. Il n’entre pas dans le

spectateur de l’invasion des Tuileries par le peuple le 20 juin 1792 et aurait manifesté alors son mépris pour l'impuissance de Louis XVI. Capitaine d’artillerie, Bonaparte est envoyé à Toulon à l'automne 1793 et obtient, à la demande des commissaires Robespierre, le commandement de l'artillerie, avec le grade de chef de bataillon. Il y rencontre des officiers comme Marmont, Junot ou Victor. Après l'échec d'un assaut contre Toulon, Napoléon soumet un plan d'attaque au général Dugommier qui permet la reprise

l'Autriche (son neveu), en espérant être sauvé. Au début, à la joie des contre-révolutionnaires, les armées françaises reculent. Mais, un élan patriotique imprévu se manifeste, scellant l'alliance du peuple en armes et de la Révolution et provoquant la chute de la royauté. Louis XVI sera condamné pour trahison politique et exécuté le 21 janvier 1793. {text:list-item} A l'initiative de Santerre, un brasseur du faubourg Saint-Antoine, les Parisiens marchent sur le palais des Tuileries le jour

frère aîné de Chateaubriand. Ses parents, ultra-royalistes, Hervé Clérel de Tocqueville, comte de Tocqueville, soldat de la Garde constitutionnelle du Roi Louis XVI, et Louise Madeleine Le Peletier de Rosanbo, évitent la guillotine grâce à la chute de Robespierre en l'an II (1794). Après un exil en Angleterre, ils rentrent en France durant l'Empire, et Hervé de Tocqueville devient pair de France et préfet sous la Restauration. Alexis Charles Henry de Tocqueville, Représentant du Peuple Suivant l'enseignement

France 3.1.1 La réorganisation administrative 3.1.2 Les libertés économiques 3.1.3 La question religieuse 3.2 Le roi et la Révolution 3.2.1 La fête de la Fédération 3.2.2 Varennes et ses suites 3.2.2.1 La Constitution de 1791 3.3 La chute de la monarchie 3.3.1 La marche vers la guerre 3.3.2 La guerre modifie les rapports de force 3.3.3 Le renversement de la monarchie 3.3.4 Le 10 août 1792 : la seconde Révolution 3.3.5 Les forces en présence à la Convention