Cicéron

la citation suivante : « Oyez braver ce pauvre et calamiteux animal : "Il n’est rien, dit Cicéron, si doux que l’occupation des lettres [...] " » (p.124.) Si braver est pris dans le sens de faire le brave, ce pauvre et calamiteux animal est sujet du verbe et désigne Cicéron (cataphore) ; si le même verbe est pris dans le sens de défier, le même groupe nominal devient objet, et cet animal que Cicéron défie, c’est l’humain dont il était question avant (anaphore). Les deux sens sont défendables

Pompée, prend peur et s’enfuit en Égypte. Mais malheureusement pour lui, il fut assassiné, et sa tête fut rendu à César. Scipion et Caton, eux, partent en Afrique dans le but de recréer une armée sans se laisser abattre par cette défaite. Il reste Cicéron et Brutus, qui n’ayant pas pris part au combat, se rend à César. César, quant à lui, ne décide pas d’en rester là, et part continuer sa lutte en Afrique.

« littérature » est attesté vers 1495 dans le Miroir historial de Vincent de Beauvais, continué par Jean de Vignay. Le mot est emprunté au latin litteratura, utilisé tant par Cicéron que par Quintilien pour donner un équivalent au grec grammatikê, qui désigne l'ensemble des caractères de l'alphabet et de la grammaire. Pour Cicéron, la littérature est l'état de l'homme qui « a des lettres ». Lorsque, au Moyen Âge, on se préoccupe de la « littérature » des clercs, on entend les voir acquérir des connaissances

(135, 51 av. J. C.) vint en ambassade à Rome (-86) et Cicéron alla suivre ses cours à Rhodes. Cicéron, pour se consoler de ses déboires politiques, s'adonnait à la philosophie et présentait à ses concitoyens les grands débats des écoles contemporaines. Ses préférences allaient à l'éclectisme d'Antiochus. Or celui-ci se rapprochait à la fois de l'ancien platonisme, de l'école péripatéticienne et du stoïcisme. C'est surtout pour la morale que Cicéron adhère au stoïcisme. Ailleurs il lui reproche sa rigueur

Pétrarque : poète, érudit, philosophe, moraliste de tendance stoïcienne, enthousiasme pour la culture romaine, influence sur les générations qui l’ont suivi dans une grande partie de l’Europe. C’est le 1er « humaniste ». Humanisme : passion pour ce que Cicéron nommait « studia humanitatis ». Les humanités comprenaient 5 matières : éthique, poésie, histoire, rhétorique et grammaire. Ethique ( va de soi puisque c’est la capacité à différencier bien/mal, homme/animal Poésie et Histoire ( considérées comme

l'informer, dans le but de le convaincre ? Ne vaut-il pas mieux avoir recours aux genres argumentatifs qui ne font pas appel à la fiction, tels que le discours, l'essai, l'ouvrage philosophique, ou le traité scientifique ?" Petite note culturelle : Cicéron (que Voltaire connaissait sur le boût des doigts) disait qu'un discours, qu'il soit politique, judiciaire ou d'apparat, devait replir trois fonctions pour être pleinement efficace : 1. Informer (on doit y trouver les renseignements que l'on y attend)

travail des notions. N’y a-t-il pas toujours eu de la sagesse, des gens capables de réfléchir sagement ? Quel est le rapport Sagesse / Philo ? I - LECTURE DU TEXTE DE CICERON Sage : Celui qui a des connaissances sur la divinité, sur l’humanité : La science de tout. Pythagore : 6ème Siècle avant JC, Mathématicien Cicéron : 106 - 43 avant JC Pythagore parle de quelqu’un qui a la charge de la politique. 13/09/2010 Pythagore crée le mot Philosophe. Au lieu de se dire « Sophos » (La Sagesse)

les citoyens pauvre de la ville de Rome) dans toute l'italie notemment 5000 civils a capou. seulement rome ne possede pas les terre nessessaire. donc rome prevois d'acheter des terres. mais mis en echec par ciceron Rogatio Flavia (60) installation des veterans de pompé. modifier par ciceron -Lex lulia : commission vigintivirale (20) doit procedé a l'achat de terre pour la redistribué a des citoyens pauvre pere de trois fils (++ veteran de pompé) -Lex mamilia roscia peducaea alliena fabia: installation

inventées de mon eage par inspiration divine, comme à contrefil l'artillerie par suggestion diabolicque. Tout le monde est plein de gens savans, de précepteurs très doctes, de librairies très amples, et m'est advis que, ny au temps de Platon, ny de Cicéron, ny de Papinian, n'estoit telle commodité d'estude qu'on y veoit maintenant, et ne se fauldra plus doresnavant trouver en place ny en compaignie, qui ne sera bien expoly en l'officine de Minerve. Je voy les brigans, les boureaulx, les avanturiers

stoïcisme ancien Les trois principaux scholarques sont Zénon de Citium (335-264), Cléanthe, scholarque de 264 à 232 et Chrysippe, scholarque de 232 à 204. C'est une pensée que l'on connaît de manière fragmentaire car nous n'avons pas beaucoup d'écrits. Cicéron a gardé quelques citations de la doctrine. Il n'est pas stoïcien mais il s'est intéressé à toutes les écoles philosophiques. Le fondateur de la doctrine est Zénon de Citium qui vient de Chypre et il arrive à Athènes pour s'initier à la philosophie