Ciel Brouillé La Femme

voulaient simplifier la langue poétique. Le vocabulaire est ici élémentaire, voire répétitif. La syntaxe n'est pas complexe. - L'accord entre la scène et la nature On remarque un parfait accord entre cette jeune fille et la nature qui l'environne. La femme semble sortir de l'eau. Sorte de sirène. Tout est naturel en elle : « pieds nus », « cheveux décoiffés », « sauvage ». La nature semble elle aussi appeler à l'amour : « les oiseaux chantaient », « l'eau caressait doucement le rivage ». Cette rencontre

« maladroits et honteux ». Leur perte de virilité s’accentue d’autant plus dans la troisième strophe et la dernière strophe constitue quant à elle la comparaison, la correspondance entre le poète et cet oiseau. Tout comme l’albatros est un « roi » dans le ciel et « gauche et veule » sur la terre, le poète est malheureux et déchiré dans le monde réel et heureux lorsqu’il écrit, dans son monde personnel, le monde sublime de la poésie. Lorsque l’albatros est à terre, ses ailes le gênent ; Baudelaire, lui, n’a

la cueillette + annonce de la mort.  V.8 – 11 : Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n’ont jamais aimé  « ciel » : dilatation de l’espace, universalité.  « éperviers » : Il s’agit d’un oiseau rapace diurne, prédateur de petits oiseaux. Il était autrefois employé pour la chasse : La menace s’amplifie avec l’image des « éperviers » qui tracent dans le ciel le cercle des mauvais augures, une image de menace et de mort

montrer aux élèves la variété des sujets mais aussi les thématiques récurrentes. Synthèse mise en ligne par Sarah Pépin. Sujets sur les fonctions de la poésie : — lyrique Pour Eluard, le poète « aimant l’amour » n’est pas tant amoureux d’une femme que de l’amour lui-même. La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l’amour ou privilégiez-vous d’autres fonctions ? On associe souvent poésie et lyrisme. La poésie consiste-t-elle seulement pour les poètes à exprimer leurs sentiments

plusieurs poèmes lié à "l'idéal" ( "La chevelure", "Le Serpent qui danse". Une femme qui profita de son argent mais qui était indifférente face à Baudelaire, qui était réellement ingrate avec lui Presque les poches vides il vivra de ses critiques d'art Plus tard il rencontra un nouvelle maîtresse; l'actrice Mme Daubrun qui inspira des poèmes assez noir qui démontre leur relation assez orageuse. ("le poison", "Le Ciel Brouillé") Ainsi que Apollonie Sabatier Se lit d'amitié avec Edgar Poe (poète

a beaucoup de contrastes, comme le noir représentant le train et même le charbon, ainsi que le rouge, qui lui, représente le foyer de la locomotive.  2. L’effacement des formes et des limites. Il y a une forte confusion entre le ciel et la terre, « l’immense tourbillon blanchâtre qui emplissait l’espace ». « La campagne apparait à ce point méconnaissable » ; elle se métamorphose en désert de neige ; puis en mer blanchâtre. III.Une tension dramatique. 1. La tension

courtoise se répand parmi les jeunes chevaliers. Les Croisades marquent une régression et la libération de la femme est stoppée. Les poètes l'assimilent à la Vierge ou la réduisent à une courtisane. La force de Ronsard est d'avoir su se dégager de ces stéréotypes, comme nous le verrons. Il faudra ensuite attendre le Romantisme pour comprendre enfin que l'émancipation de la société, de la femme et de l'amour convergent. Avec Freud, le XXe siècle découvre la racine du désir et la poésie amoureuse devient

étranger au monde qui l'entoure. Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non que la dernière est dédiée au poète. Selon Baudelaire, la place du poète dans la société est comparée à un albatros : majestueux dans le ciel, son élément, mais ridicule sur terre et au contact des hommes Ce poème est sous forme de sonnets, avec des rimes embrassées et des hendécasyllabes. compris par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis IV

de nous, Lamartine, et de notre jeunesse, Ne sait par cœur ce chant, des amants adoré, Qu’un soir, au bord d’un lac, tu nous as soupiré ? Ces vers mystérieux où parle ta maitresse, Et qui n’a sangloté sur ces divins sanglots, Profond comme le ciel et purs comme les flots ? Hélas ! ces longs regrets des amours mensongères, Ces ruines du temps qu’on trouve à chaque pas, Ces sillons infinis de lueurs éphémères, Qui peut se dire un homme et ne les connaît pas ? Quiconque aima jamais porte une

particulier à l’universel : poème> dimension générale [Verlaine «Mon rêve familier» => annonce un poème intime mais il ne peint pas UNE seule femme mais TOUTES « est-elle brune, blonde ou rousse ? »] [Paul Eluard «  La dame de carreau » pas qu’une femme => à la fois écolière et amante infidèle. Il avoue lui-même : ‘ ce n’est jamais la même femme’] Le flou et la diversité des portraits laisse le lecteur libre de reconnaitre ses fantasme. + De sentiments que de description de lieu. > UNIVERSELS