Ciel Paie

diffusait une chaleur suave, des centaines de bougies parfumées imprégnaient la pièce d'une convivialité qu'on aurait pu croire réelle. Soudain l'une de ses filles passa la porte : il s'agissait de Delphine. Vêtue d'un corset et d'une jupe en cône bleu ciel, avec de jolies manches bouffantes blanches, elle exhibait un somptueux chapeau blanc orné de gigantesques plumes bleues. Le père Goriot ne put contenir sa joie, il se jeta à son cou. -Oh ! Delphine ! Ma fille chérie ! Ma fille adorée ! s'exclama-t-il

regardant le ciel je vis une étoile filante, je fis le vœu de rencontrer l’homme qui pourrait passer la fin de ses jours avec moi. Soudain, j’aperçus, au loin, une ombre. Celle-ci se faisait de plus en plus proche et on commençait à distinguer une forme humaine. Quelqu'un de grand, une carrure imposante, d’apollon qui s’avançait de plus en plus vers moi. Puis je commençais a voir de plus près son doux visage, avec un charme fou, il me regarda avec ses yeux noisettes rempli d’étoiles comme le ciel qui était

Planche d’un théâtre de foire Bohême : Région de l’actuelle République tchèque Cymbales : Instruments a percussion Trismégiste : Trois fois très grand - Ombres des morts, l’herbe où le jour s’exténue ,l’arlequine, dans l’étang, un charlatan, le ciel sans teinte, astres pale comme du lait, sur les tréteaux, l’arlequin, les spectateurs, des sorciers venus de Bohème, fées et enchanteurs, l’aveugle, un bel enfant, la biche, ses faons, le nain. - Le début du poème nous rappelle la tomber de la nuit

le périple des aviateurs transpostant leur courrier entre la Patagonie, le Chiliet le Paraguay, de nuit. Rivière et Robineau, deux hommes de bureau, gèrent ces gens de le ciel, qui risquent leur vie à chaque seconde. On lit aussi le récit des aviateurs en vol. Un jour, lorsqueles services radio annoncent que partout, le ciel est beau et dégagé, Julien, jeune aviateur marié par en vol de nuit. Mais il rencontre une tempête. Il ne peut ni la contourner, ni la traverser, niatterrir puisqu’il se retrouve

s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige. Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Un coeur tendre, qui hait le néant vaste

N'oublie jamais que... je t'aime! Car vois-tu, chaque jour, je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain! Ce soir, avant de te coucher, regarde par la fenêtre... Toutes les étoiles que tu verras dans le ciel sont les baisers que je t'envoie! Tu es ma pierre précieuse et je te garde bien à l'abri dans mon coeur! Tu es comme un rêve qui ne finit jamais car tu est dans chacune de mes pensées, le jour et la nuit... Et voici des cartes

fut au tour des fenêtres Il n'y eut plus que mort fondée Sur le silence et sur l'obscurité. La lecture p.30 Au centre de Paris La pudeur rêvassait Le bouquet du ciel sans nuages Dans un vase de maisons noires Quand elle n'a pas le temps Elle n'en est que plus belle On n'en finit pas d'apprendre Le ciel ferme la fenêtre Le soleil cache le plafond. L'aventure p.33 Prends garde c'est l'instant où se rompent les digues C'est l'instant échappé aux processions

consolation c’est que je vais être vengé, et que votre père et votre mère seront convaincus maintenant de la justice de mes plaintes, et du déréglement de votre conduite. Je les ai envoyé querir, et ils vont être ici dans un moment. ANGÉLIQUE.- Ah Ciel ! CLAUDINE.- Madame. GEORGE DANDIN.- Voilà un coup sans doute où vous ne vous attendiez pas. C’est maintenant que je triomphe, et j’ai de quoi mettre à bas votre orgueil, et détruire vos artifices. Jusques ici vous avez joué [6] mes accusations,

l’admir(e)/ et ne l’imite point. 10-e  Deuxième récitation : correction Le vieil Horace Sabine, votre cœur/ se consol(e) aisément; Nos malheurs jusqu'ici/ vous touchent faiblement. Vous n'avez point encor/ de part à nos misèr(e)s: 1040 Le ciel vous a sauvé/ votr(e) époux et vos frèr(e)s; Si nous sommes sujets,/ c'est de votre pays; Vos frères sont vainqueurs/ quand nous sommes trahis; Et, voyant le haut point/ où leur gloire se mont(e), Vous regardez fort peu/ ce qui nous vient de

considéré comme le pionnier de l'expressionnisme dans la peinture moderne. L'artiste a associé un note dans ces journaux à propos de cette oeuvre, il dit : « j'étais en train de marcher le long de la route avec 2 amis, le soleil se couchait, soudain le ciel devint rouge sang, j'ai fait une pause, me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille. Il y avait du sang et des langues de feu au dessus du fjord bleu – noir de la ville. Mes amis ont continué à marcher, et je suis resté tremblant d'anxiété