Ciel

l'acte V, scène 5 d'Andromaque de Racine a été rédigée par un professeur de français. Sommaire du commentaire : Acte V, scène 5 (fin de la pièce) - Andromaque 1. Oreste s'adresse au Ciel (vers 1613 à 1624) 1. Un héros tragique 2. L'ironie 3. Le suicide 2. La réponse du Ciel 1. Le premier tableau 2. Le deuxième tableau 3. Le troisième tableau Extrait du commentaire composé Dans cette tirade qui tourne au monologue, nous verrons

terrifié, si troublé, c’est impossible j’ai rien sentis rien de rien. _ Aidez-moi je vous en prie ! Il y a quelqu’un ? Eh oh ? _ O diable céleste ! Qu’est ce bruit étrange et bizarre ? Tout bascule à l’instant même où je l’entendais. Subitement, le ciel devint nuageux, les ténèbres accompagnèrent les orages et le vent soufflait et sifflait, il était si vigoureux. Intrigué et perdue je partis immédiatement vers sa voix. Il était difficile pour moi de la repérer sans aucune odeur. _ S’il vous plait

des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. C) L'image de l'enfermement - La prison, d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure. - Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle . - La pluie dessine une immense prison, vaste (vers 10) mais extérieure. - La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme. De physique, la prison devient psychique; filet dans

recommence Oh ma douce souffrance Je remue le ciel le jour, la nuit Je danse avec le vent la pluie Un peu d'amour un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Vient la douleur. Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole Que d'espérance Sur ce chemin en ton absence J'ai beau trimer, sans toi ma vie n'est qu'un décor qui brille, Vide de sens Je remue le ciel le jour, la nuit Je danse avec le vent

loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre et son frère le ciel comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert. Nos mœurs sont différentes des vôtres. La vue de vos villes fait mal aux yeux de l’homme

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop

exotiques (empruntes d’Idéal). Evidemment, on est au XIX ème, en pleine fin de romantisme, et c'est déjà une nouvelle poésie qu'il annonce... Voici un extrait d'un de ses Spleen (je crois qu'il y en a 3)« Quand le ciel bas et lourd... » (Spleen ) tiré des Fleurs du mal. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l 'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée

les principales figures de style employés dans ce poème sont : les personnifications : « ciel triste et beau », les métaphores : « le soleil s’est noyé dans le sang qui se fige »et les antithèse : « triste et beau ». plusieurs champs lexicaux sont utilisé dans se poème : lexique du mouvement : « venir, vibrant, tournent, valse, vertige, encensoir, frémit, vestige »,lexique de la nature : « tige, fleur, air, ciel, soleil »,lexique des sensations : « vibrant, sons, parfum, vertige, harmonie, lumineux

diffusait une chaleur suave, des centaines de bougies parfumées imprégnaient la pièce d'une convivialité qu'on aurait pu croire réelle. Soudain l'une de ses filles passa la porte : il s'agissait de Delphine. Vêtue d'un corset et d'une jupe en cône bleu ciel, avec de jolies manches bouffantes blanches, elle exhibait un somptueux chapeau blanc orné de gigantesques plumes bleues. Le père Goriot ne put contenir sa joie, il se jeta à son cou. -Oh ! Delphine ! Ma fille chérie ! Ma fille adorée ! s'exclama-t-il

travers l'expression « Je l'aime avec tous mes sens » il montre qu'il aime la nuit avec tous ses sens c'est-à-dire sa vue, son odorat, son ouïe, son toucher et sa parole. D'abord avec ses yeux, il aime la voir, il aime voir le clair de lune, le ciel noir. Avec son odorat, il aime la sentir puis avec ses oreilles, il aime écouter le silence de la nuit, le chant des chouettes. Enfin avec sa chair, il aime sentir les caresses des ténèbres, il se sent démon. Il montre que la nuit le transperce