Cimetière marin

l’Académie d’Aix- Marseille Année universitaire 2002-2003 MÉMOIRE PROFESSIONNEL L’ÉCRITURE D’INVENTION AU LYCEE Présenté par MARIANO Roselyne PCL2 Lettres Modernes Directeur de mémoire : Monsieur André BELLATORRE Avril 2003 “  Le cimetière marin a commencé en moi par un certain rythme, qui est celui du vers français de dix syllabes, coupé en quatre et six. Je n’avais encore aucune idée qui dût remplir cette forme. Peu à peu des mots flottants s’y fixèrent, déterminèrent de proche en proche

juste une approche approximative de son âge, mais juste les sentiments qu’il ressent envers la mer et le fleuve. Il devient éloquent, presque poète quand il en parle. Ce que l’on sait de lui est la passion pour la navigation, sa maitrise du milieu marin ou rien ne peut le surprendre et qu’il est adepte de la boisson. 3-L’ENJEU DE CETTE DESCRIPTION Le narrateur veut créer un cadre plus émotionnel que physique ou le portrait du personnage est inexistant. Son but est de renforcer l’expérience

casemates qui furent murées. Des 800 à 900 soldats qui périrent, 679 sont enterrés derrière cette croix : c'est le cimetière allemand du fort. Le 24 octobre 1916, après une bataille enragée entre les allemands et les alliés, le fort fut repris par les alliés. Douaumont coûta, d'après le général Pétain, 100 000 morts à la France, et aura été pris et repris sans combat. Le cimetière de Fleury-devant-Douaumont regroupe les cadavres de soldats morts pour la France lors des combats de la région de

des écrits ne plaisant pas aux clercs tenant l'établissement, il commence des études de droit à la faculté de Rouen, celles-ci dureront deux ans. En 1870 il commence un service militaire qui durera jusqu'à fin 1871, et rentre au ministère de la Marine en 1872 où il restera jusqu'en 1878. Vers la folie. Maupassant commence à être troublé mentalement dès 1878, vers 1880 il est lié à une consommation de haschich. En cette période-là il ne fait qu'écrire, mais il écrit énormément. En 1889

Princesse Pan deï, qui était indhouiste, se convertit au catholicisme de manière à pouvoir le rejoindre dans l’au-delà, réaffirmant ainsi la force de leur amour. Paradoxalement le Général français est enterré au Pendjab et la Princesse indienne au cimetière marin de Saint-Tropez où ses descendants viennent lui rendre homage. Quoi de plus glamour qu’une belle histoire d’amour pour initier de nouvelles relations entre nos deux destinations ? Saint-Tropez Le lien historique • Le Général Allard bénéficie

Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Les ruines du Mont palatins – Rubens Jean-François de la Harpe (1739-1803) est un écrivain et critique français du 18ieme siècle. Il n’est pas connu en tant qu’écrivain mais comme pédagogue

mort * Lexique de la mort : « ossuaire »v.30 ; « suaires »v.31. * Présence de la mort qui s’installe ac le sacristain ds la dernière strophe. * « morfondre »=s’ennuyer=> racine ac mort, lassitude qui vient de l’extérieur. * Cyprès // cimetières * Destinée du sacristain que l’on connaît : « sourd et boiteux est moribond » v.11. * Mort du sacristain= aboutissement de la vie mais aussi du poème. De même ac le poêle qui s’éteint et la fin de la nuit =>mort du poème. * Mort apparaît

tableaux refusés au Salon / Misère et déchéance de Claude Claude et Christine Paris Décembre 1869 Malgré leur misère, Claude et Christine se marient Claude et Mahoudeau Atelier de Mahoudeau, au fond d’une cité, après avoir traversé des jardins et cimetières Le jour d’exposition du Salon Mahoudeau prépare sa statue pour le salon, mais elle tombe en morceaux /Agonie de Mahoudeau Chapitre 9 Claude Butte Montmartre, rue Tourlaque. 1869-71 Claude se lance dans un projet de tableau de grande taille, ne

en arrière de peur qu’il ne l’emmène. Tous les deux s’éloignent comme des gens pressés, suivis de loin par le père et son fils. Ils chevauchèrent jusqu’à midi à travers des prés fauchés. Ils aperçurent alors une église dans un site magnifique. Un cimetière clos de hauts murs s’appuyait contre le chœur. Le chevalier ne se comporta pas comme un rustre ni comme un sot ; il mit pied à terre et entra dans l’église pour prier Dieu pendant que la demoiselle tenait son cheval. Comme il avait achevé sa prière

son pain âgé d’environ douze à treize ans décédé en ce bourgt d’une fièvre ardente ches pierre resnaud qui lavait retiré par charité enterrement fait par moi soussigné Beraud curé de saint Adjutori 1787 le 4 février 1787 a esté enterre dans les cimetières de cette paroisse un pauvre d’neviron 80 ans qui a dit estre de la paroisse de rancoigne décédé du 3 au village de puymeau,enterrement fait par moi soussigné Beraud curé de saint Adjutori 1792 Ce jourd’hui 2 novembre 1792 l’an Ier de la République