Cineplex Divertissement

1) Le divertissement pascalien - Ex : « De la vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. » (l27-28) énumération sous forme de graduation croissante des divertissements ludiques, futile, à d’autre bien plus graves. Tous ont pour but de nous faire oublier qui nous somme. Ainsi le divertissement est employé ici au sens étymologique « se détourner de soi » donc penser à autre chose qu’à la nature humaine. « Divertissement » peut ainsi

personnages : L'auteur peut composer son histoire et ses personnages selon ses visées pour mieux diriger la réflexion du lecteur. Ainsi, Le lecteur s'intéresse aux personnages, aux rebondissements de l'action, il se laisse prendre par le plaisir du « divertissement » de la lecture ou du spectacle : Candide sillonne le monde et le lecteur se demande comment vont se terminer ses pérégrinations. La fi ction permet l'évasion dans d'autres mondes : les utopies, description d'un monde idéal servant de repoussoir

future", l'écrivain G.Duhamel reprochait au cinéma d'être un amusement d'illettrés. Le cinéma, pour vous, est-il un art à part entière ou un simple divertissement? Pour répondre, vous vous appuierez sur des exemplesprécis de film que vous avez vus ou étudiés. La Problématique: Peut-on dire que le cinéma est un art à part entière ou un simple divertissement? Le PLAN: I) a. Le cinéma comme un simple amusement b. Le cinéma comme un voyage dans un autre univers c. Le cinéma comme un spectacle

sensible à la réflexion. Or selon chaque individu la perception des différents atouts et désavantages d’associer l’amusement à l’instruction diffère. C’est donc pourquoi il est propre à chaque auteur, de trouver un dosage entre enseignement et divertissement, avec tous les risques et avantages que cela engendre. Comme démontrer précédemment, le rire peut aider à la compréhension mais peut aussi dissimuler le sérieux c’est alors l’équilibre de ces deux qui traduit son talent. Et comme le disait Jean

implicite entre l'artiste et le spectateur. Un divertissement est une activité qui permet aux hommes d'occuper leur temps libre en s'amusant et de se détourner ainsi de leurs préoccupations. Les divertissements forment l'essentiel de la famille plus large des loisirs : une conversation, amicale et plutôt inattendue, entre anciens collaborateurs sera un loisir notable dans l'entreprise sans être un divertissement. Le divertissement a été étudié par différents philosophes, en particulier Blaise

sport est un echappatoire individuel * Competion et performance : pour participer a la compet il faut des performance : il faut dire lesquelle donc dire que pour etre competitif il faut avoir des perf physiques et morales * Sport oppose au divertissement : n’est plus sociale * Entre en tranfusion intime=protagoniste * Culte de la performance, pour spectacle il faut perf pour faire de la compet * Mauvaise foi , tricherie = derive MORALE * Cupide=envie de gagner =envie d’argent=DERIVE

Chapitre 1 L’expression fonctionnelle du besoin Quest1 les objets techniques sont : -le frigo sert à réfrigérer les aliments pour les conserver plus longtemps -Le lave-linge sert à laver les vêtements -Le lave-vaisselle sert à laver les couverts, les assiettes … -La télévision sert à regarder des programmes tv, se divertir... -Le lit sert à dormir, se reposer. Quest2 Les raisons sont que la technologie évolue, que les familles en ont besoin plus qu'avant et que de nouvelles machines sont

verrons la question du divertissement, ensuite son but didactique et finalement la réflexion sur le destin de l’homme. Le théâtre a comme première fonction de devoir divertir le spectateur qui vient voir la pièce. On assiste plus alors à des comédies. Molière montre cette dimension comique dans le malade imaginaire où par exemple utilise le comique de répétition. Il est dit que l’apprentissage se fait plus facilement en se divertissant et cette fonction de divertissement entraine aussi un certain

antithétique au terme « me pris » associé à l'expression « votre temps ». Alcandre souligne donc le changement radical du public dans la perception du théâtre. Il développe d'autre arguments et notamment l'argument du plaisir et du divertissement évoqué par les termes « le divertissement le plus doux », « les délices », « le plaisir ». Il insiste sur la suprématie de ce loisir chez le public « il tient le premier rang parmi leur passetemps ». Il évoque également un argument d'autorité en faisant référence

servir d’eux… », il ajoute : « Je crains un repli vers un classicisme académique, appliqué aux seuls genres nobles comme la fiction. Or la qualité doit être créative, en prise avec son époque. Toutes les émissions sont concernées : les jeux, les divertissements méritent aussi qu’on les “soigne” ». Chacun sait que les programmes de télévision font l’objet de débats publics quant à leur qualité, leur pertinence, leurs significations. Plusieurs types de critiques sont adressées à la télévision sur la