Citation Charlemagne

1931 et rééditions. TULARD Jean, Napoléon, Paris, Fayard ; et le Dictionnaire Napoléon (direction Jean TULARD, Paris, Fayard). CHAPITRE PRELIMINAIRE : EMERGENCE ET EFFONDREMENT DE L’ETAT CAROLINGIEN. Le 25 décembre 800 a lieu le sacre de Charlemagne. A cette époque, la papauté se trouve très affaiblie. En effet, l’Empire Romain d’Orient qui s’était étendu vers l’Ouest est en recul et ne procure plus autant de protection à la papauté qu’auparavant. Cela l’expose aux attaques barbares, elle se

Oriental de l’Empire, les églises sous l’empereur Justinien sont construites avec des coupoles – VIème. Ex : Cathédrale Sainte-Sophie à Istanbul (anciennement Constantinople) 4. Art carolingien – fin VIIIème – fin IXème * Sous le règne de Charlemagne. * La construction des églises suit la tradition paléochrétienne (présence de colonnes, charpentes, fenêtres), mais présence de deux chœurs. Retour au christianisme primitif, donc il y a une ré-occidentalisation des églises. * Controverse

de fondement pour présumer l’appartenance à une loi. Ce critère est la première étape vers la territorialité des lois qui nous conduit à l’époque carolingienne. II/ L’installation de la territorialité des lois sous les carolingiens En 768, Charlemagne est maître d’un territoire considérable qui couvre tout l’occident et au-delà. Il est l’auteur d’un renouveau au sein de l’empire puisqu’il est l’artisan d’une émergence d’une identité culturelle et juridique dont la portée sera significative.

succédées : Les mérovingiens, avec comme principal représentant Clovis qui est le fondateur de cette dynastie. Peu a peu, cette dynastie s’essouffle (vers le milieu du 8e siècle) et laisse place à celle des carolingiens (principal représentant Charlemagne), qui elle-même va s’essouffler … -La 2ème commence en 987 avec l’avènement d’Hugues Capet, qui annonce le début de la dynastie capétienne. Elle s’achève en 1453 (fin de la guerre de cent ans).Cette période représente le moyen âge a proprement

Francs (751-768) et celui de patrice des romains Ligne 3, comme le dit le texte : «  le très heureux, très pacifique et catholique Pépin, roi des Francs et patrice des Romains… » Patrice des romains est une dignité accordée à Pépin et plus tard à Charlemagne, elle fut instituée par Constantinople dans l’empire romain : protecteur officiel de la papauté. L’action majeure des premières années fut la réforme de l'Église. Une réforme qui porte sur l’organisation du clergé et le sort des biens de l’Eglise

réalisations artistiques). La comparaison ne peut cependant que rester limitée. Plus récemment, l'historien français spécialiste du haut Moyen Âge Pierre Riché a préféré évoquer trois renaissances carolingiennes successives, distinguant ainsi le règne de Charlemagne (768-814) « première renaissance carolingienne » et ceux de ses successeurs, Louis le Pieux (814-840) « deuxième renaissance carolingienne », et leur rattachant l'époque ottonienne sous Charles le Chauve (843-877) « troisième renaissance carolingienne

Grégorien" n'apparaît qu'au VIIIe siècle. Le répertoire reste cantonné à Rome et aux états papaux, il fut par exemple refusé par l'Espagne, ou Milan (qui préféra conserver le rite Ambroisien). Deux siècles plus tard, Pépin le Bref, son fils l'empereur Charlemagne et Louis le Pieux ont besoin d'unifier leur empire, et durant le VIIIe siècle, ils imposèrent le chant romain à travers les terres. Le chant grégorien de la Messe a été créé vers 765, à Metz, sous l’autorité de l’évêque saint Chrodegang (proche

l'arrière-garde de l'armée de Charlemagne, harcelés dans la vallée de Roncevaux par le roi maure de Saragosse, Marsile, allié avec Ganelon, le traître de Charlemagne. Roland apparaît comme le neveu de Charlemagne et en charge des troupes. Il meurt dans la bataille. Une curiosité de laquelle je suis en train de parler, c’est que la chanson raconte l'histoire d'une manière légendaire et déformée de la bataille de Roncevaux, qui a opposé les Basques contre les troupes de Charlemagne, desquelles Roland était

aux XIe, XIIe et XIIIe siècles. On les groupes autour de trois personnages principaux ; de là trois cycles (cycle = cercle, se dit d’un ensemble d’ouvrages pouvant se rattacher à un même centre) : a) Le cycle de Charlemagne, dont les plus célèbres chansons sont : le Pèlerinage de Charlemagne, Huon de Bordeaux, la Chanson de Roland ; b) Le cycle de Guillaume d’Orange, où il faut surtout retenir : Aimeri de Narbonne (cf. V . HUGO : Aymerillot) et Aliscans ; c) Le cycle Renaud de Montauban, dont la

restauration impériale de l’an 800. 1. La persistance de la conception patrimoniale du pouvoir : les partages successoraux. Les carolingiens restèrent fidèles à l’idée qu’à la mort du roi, le royaume doit être partagé entre ses fils, alors ainsi Charlemagne ne s’écarta pas de cette tradition. En 806, il mit au point un règlement qui prévoyait le partage du royaume à sa mort : la divisio imperii. Aucune disposition n’aborde la question de la survie impériale. A sa mort, en 814 seuls les décès prématurés