Citation Roland Barthes

 Classes concernées : 2ndes, 1eres,Tles et plus Avec : 155 citations classées en fonction des problèmes littéraires suivants : -La fonction de l’écrivain ou de son œuvre (L’engagement et L’art pour l’art ) -La Relation entre l’art et la réalité (Le réel et la fiction ) -L’actualité des œuvres littéraires -Relation entre le livre, le lecteur et la lecture -Relation entre l’œuvre, son héros et son auteur Jaurès Faustin (Etudiant-chercheur à l’Université de Dschang) Tel : 97258541/70672786 e-mail :

serait bien trop réductrice, et il s’agit de nuancer le tableau que l’on dresse. C’est pourquoi avant d’examiner différents textes de cette période, il est intéressant de redéfinir les enjeux mis en confrontation par Baudelaire et Zola dans nos deux citations. L’extrait du discours de Baudelaire, écrit en réaction à l’Exposition Universelle de 1855, fait immédiatement référence à la Préface à Mlle de Maupin de Gautier. Il va en effet se référer grandement à l’opposition de l’utile –valeur industrielle

1.2.1. Les concepts psychanalytiques et la critique littéraire des textes maghrébins 8 1.2.2 Le concept de la perte dans la théorie psychanalytique de Lacan 9 1.2.3 Le concept de la perte et la jouissance du texte dans la critique littéraire de Barthes 11 1.3. Le niveau secondaire d’analyse de la perte 12 1.3.1 La question du langage et de l’identite chez l’écrivain postcolonial francophone 12 1.3.2. Théorie de la perte dans le texte bilingue maghrébin 13 CHAPITRE 2: ENTRE TRACE ET EFFACEMENT:

guerres, les tortures, la violence, etc. Problème : comment la vue abstraite se maintient en face du mal charnel [...]9)». Dans ce roman, le thème des séparés représente mieux l’abstraction qui menace, ou plutôt efface les êtres de chair. 1995. Nos citations renvoient à cette édition. 6)Depuis vers 1943 où Camus a créé le personnage Rambert, il a tenté de « faire [...] du thème de la séparation le grand thème du roman ». Voir Albert Camus, Carnets II, janvier 1942- mars 1951, Gallimard, 1993, p.80

Citations sur le théâtre Voici quelques citations sur le théâtre ; n’hésitez pas à en proposer !   XVII°s: Nicolas Boileau, L'Art poétique: « Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli/ Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli »                                 Corneille, Héraclius, Au lecteur: «  Le sujet d’une belle tragédie doit n’être pas vraisemblable » William Shakespeare, extrait de Comme il vous plaira: « Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les

réels, ainsi que l’a souligné Carlo Ginzburg dans « Ekphrasis and quotation »10. L’historien cherche bien à faire voir le passé. 9 Il ne s’agit pas de reprendre et réitérer les travaux bien connus d’Erich Auerbach (1948)11, de Michel Foucault12, de Roland Barthes13, et bien d’autres sur la mimesis, mais plusieurs pistes ont pu être avancées14. Que l’illusion mimétique porte sur des descriptions épiques (batailles et tournois) ou des descriptions  d’objets (lieux et espaces, bâtiment et mobilier, vêtements

discours, mais aussi des récits autobiographiques. Loin donc d’une autobiographie à narration excentrée, nous avons une narratrice qui intervient dans le texte par un « je » du discours. On notera aussi la voix des parents dans des séquences de citation au discours direct. Il y a également des séquences plus ambiguës, notées en italiques, qui sont le signal de connotation autonymique : c'est Annie Ernaux qui parle, mais avec une voix autre (polyphonie). Cela fait que, en somme, le texte soit loin

stendhalienne du reste de l’œuvre, de la couper de la vie ; elle ne prend sens que dans et par l’imbrication vivante des multiples valeurs (littéraires, morales, érotiques, artistiques…) qui constituent cet être : Stendhal. Si l’on veut, avec Roland Barthes, définir l’esthétique comme « l’art de voir les formes se détacher des causes et des buts et constituer un système suffisant de valeurs »[7], l’affaire est entendue : Stendhal n’a rien compris à l’esthétique. Mais si l’on sent que chez lui le

remplacé par une intense fascination du nouveau roman pour les objets (au point qu'il a été qualifié de « littérature objective ») et par un travail soigneux de la description. Pourtant, ici encore, il faut faire des différences. Ainsi que l'a montré Roland Barthes dans un article des Essais critiques (1964), les objets n'ont pas la même fonction chez tel ou tel écrivain : « Robbe-Grillet décrit les objets pour en expulser l'homme, Butor en fait au contraire des attributs révélateurs de la conscience humaine

Il est « aventure de l’écriture » (Ricardou), recherche d’une forme discursive nouvelle appelée, semble-t-il à remplacer le récit (cf. Butor). La narration d’une histoire à personnages est malgré tout considérée par Robbe-Grillet – à la suite de Barthes – comme un modèle discursif « bourgeois », voire « humaniste ». En cela le Nouveau Roman est donc militant et « révolutionnaire » – et pas seulement « aventuriste ». L’intérêt vient de ce que ce n’est plus dans le personnage devenu « conscience malheureuse