Citation Roland Barthes

c’est l’idée de reproduire le réel, de la réception du réel sur la scène. Quant au théâtre de l’avant-garde des années cinquante, il s’agissait pour des dramaturges comme Ionesco, Adamov de rendre au théâtre sa littéralité. Ceci correspond à cette citation d’Adamov : « Le théâtre tel que je le conçois est lié entièrement et absolument à la représentation. (…) Je crois que la représentation n’est rien d’autre que la projection dans le monde sensible des états et des images qui en constituent les ressorts

une maladie, une malédiction. Voir, par exemple, à Rome Ovide et ses Amores Catulle et Délia, ou en Grèce Appolonios de Rhodes ou Téocrite pour la comparaison entre amour « mixte » et amour viril ↑ Spinoza et Nous - Philosophie de l'affirmation - Citations de Spinoza [archive] ↑ Le biologiste Thierry Lodé parle de « biodiversité amoureuse ». ↑ BARTELS A., ZEKI S.. The neural basis of romantic love, Neuroreport, 2000 11(17) : 3829-3834 ↑ ELWIN Verrier, Maison des jeunes chez les Muria, 1978,Gallimard

l’histoire de la peinture, n’est plus seulement citation, c’est le tableau lui-même qui devient une fenêtre. » Petite fabrique de l’image, de Jean Claude Fozza p. 60) 9 La fenêtre, un cadre descriptif : Le cadre de la fenêtre fragmente le réel, prélève un « morceau choisi » et fournit un appui commode qui permet d’insérer la scène dépeinte dans un contour et d’instaurer un jeu d’échanges entre l’intérieur et l’extérieur. Dans S/Z, Roland Barthes explicite cette démarche fréquente chez les

littéraire). La principale tâche de la critique littéraire consiste à découvrir le fonctionnement de lœuvre en tant que système et structure. Grâce à la critique, on actualise des valeurs, on libère le texte, on met en évidence ses sens multiples. Roland Barthes et Serge Doubrovsky considèrent que la condition de lexistence de la critique réside dans le fait que les œuvres perdent leur sens dans le temps et lhistoire de la critique est lhistoire de ces sens perdus. Le domaine dinvestigation de la critique

porosité des frontières. Ce brouillage des limites avait été pointé du doigts par Platon dans La République. Considère qu'il s'agit d'une fausse distinction. Mise en récit ou action directe se recoupent et doivent être condamnés l'un et l'autre. Citation 2/ Passages narratifs dans une épopée mais aussi passages en style direct, des dialogues qui ne se distinguent pas des dialogues qu'on trouve au théâtre. Ccl de Platon : mimésis et diégésis se confondent. Frontières poreuses entre récit et représentation

traités et l'économie des médias eux-mêmes. Plus que d'objectivité totale, on parle de pôle d'objectivation. Analysant la photographie, Roland Barthes montrait ainsi que si celle-ci se donne à voir comme pure présentation du fait, ou pure « dénotation », elle est en fait toujours déjà connotée, c'est-à-dire interprétée: il n'y a que des faits interprétés. Barthes écrit ainsi : « Or, ce statut purement « dénotant » de la photographie, la perfection et la plénitude de son analogie, bref son objectivité

lexical de la blancheur. On assiste à une propagation de la blancheur, propre et figurée. Cet avènement du blanc répond à cette nouvelle forme d’écriture « blanche » et « neutre » qu’évoque Roland Barthes dans Le degré zéro de l’écriture. S’exprimant sur l’écriture du silence de Stéphane Mallarmé, Roland Barthes en vient à analyser cette nouvelle forme qui touche l’ère moderne littéraire : Dans ce même effort de dégagement du langage littéraire, voici une autre solution : créer une

connaît pas sa poétique. À l’instar des philosophes qui utilisent parfois leur propre dictionnaire avec lequel il faut donc se familiariser avant de lire leurs travaux (je pense notamment à Pascal et « le cœur a ses raisons que la raison ignore », citation devenue porte-étendard du sentiment amoureux, alors que Pascal n’a jamais associé cœur et sentiment romantique, pour lui la cœur désignait la Foi religieuse), pour analyser un texte littéraire (ou toute œuvre d’art), il faut connaître la poétique

Ernaux elle-même nomme son style « l’écriture plate » qui est considérée par la critique comme une sorte de « l’écriture blanche »25. C’était Roland Barthes qui a introduit ce terme pour désigner la manière d’écrire sans effets littéraires. Ce classement l’auteur commente ainsi : J’ai souvent accueilli la définition d’ « écriture blanche », en référence à Barthes, [...] avec indifférence, parfois irritation. Il me semblait qu’on réunissait sous le même sigle des écritures présentant certes de ressemblances

subsistent et il n’est pas certain que, si les indicateurs et la notion de pilotage sont transposables, l’appropriation, le suivi, le contrôle et la correction des actions soient identiques dans le système économique et le système éducatif. Quelques citations tirées des actes du colloque international de novembre 1997 sur « Piloter des systèmes éducatifs en évolution » le prouvent. Pour exemple : A. Michel IGEN : « …. La réticence à l’égard des indicateurs de pilotage des établissements scolaires,