Cité idéale

« obituaire lapidaire », écrit dans le lieu de la transformation. Celle-ci est si importante que l’on écrit parfois le nom des fidèles défunts sur l’autel (jusqu’au Xe siècle). Les fidèles défunts sont donc eux aussi des « pierres vivantes » de la cité de Dieu en construction. b) Faire mémoire de la consécration L’église est le lieu du temps liturgique, avec le sacrifice eucharistique et la célébration de la dédicace dont une inscription conserve la mémoire et la date. Cette inscription permet

monde, une merveille du monde ; cette merveille s'appelait le Palais d'été. L'art a deux principes, l'Idée qui produit l'art européen, et la Chimère qui produit l'art oriental. Le Palais d'été était à l'art chimérique ce que le Parthénon est à l'art idéal. Tout ce que peut enfanter l'imagination d'un peuple presque extra-humain était là. Ce n'était pas, comme le Parthénon, une œuvre rare et unique ; c'était une sorte d'énorme modèle de la chimère, si la chimère peut avoir un modèle ». Victor Hugo

quotidienne. B. Difficile définition de la politique 1. Définition par une organisation ? Perspective restreinte et limitée de la définition. Serait politique une collectivité humaine. La racine grecque « polis » signifie « cité ». Ce qui se passe dans la cité est politique. La politique serait toute activité visant à gérer la collectivité humaine. L’Etat serait l’incarnation du pouvoir politique. La politique représente la collectivité. Cette approche est discutable par le fait qu’il y a

séparation entre le monde politique et le monde religieux. Ce régime est donc nommé la théocratie ( => le gouvernement d’inspiration divine, le gouvernement par dieu et pour dieu). Cette conception fut inspirer par saint Augustin et par son ouvrage la cité de dieu et les rois carolingiens vont être sur de cette mission à accomplir et cela va avoir une résonance avec le titre impérial. B. La renovatio imperii 1. La symbolique du couronnement impérial Le terme royaume s’oppose au terme empire

d’une sacralité commune (v.300- v. 800) 5 siècles qui préparent un total renversement des valeurs au sein du christianisme : Tout d’abord il y a réticence de la part des Chrétiens à toute forme de matérialisation du divin. Cf saint Augustin La Cité de Dieu -> le vrai temple n’est pas de ce monde. L’église-bâtiment n’a pas un statut d’exception jusqu’au VII-VIIIème siècles car aucun rituel de consécration n’y est organisé. Puis la valorisation de certains lieux se fait durant cette période grâce

– doutes sur Dieu. Réponse de St Augustin : La cité de Dieu triple influence sur la Gaule : 1. romaine 2. chrétienne 3. germanique I. Le legs de Rome A. aperçu de l'Histoire romaine 1. Rome légende : Romulus, 753 av. JC 8e s av. JC : réunion de gentes sur le site du Latium -> regroupement en fédération, conseil, élection d'un roi avec des pouvoirs limités 7e s av. JC (=620) : invasion étrusque -> fondation de la cité, monarchie urbaine, unitaire, directe, absolue,

jardinet du Paradis : Paradis celeste, avec beaucoup de plantes exotiques, montre le savoir faire du jardin avec d’arbre tressé qui montre tous les plaisir que nous attente au paradis, avec de filles qui joue la musique, qui lis… Saint Agustin 1480 La cité de Dieu : L’histoire d’ Adan et Eve, est clos de murs, et sont reduits aux dimentions Adan et Eve qui arrive , quand Dieu leur dit de pas touche la pomme, et après quand il sont a cote de l’arbre pour manger la fruit. La fontaine au centre de la composition

conduire à cette conclusion : 5) " il faut donc mettre ensemble la justice et la force ". Il faut, mais par quel principe : 1) celui de justesse ou 2) celui de nécessité ? " Mettre ensemble la justice et la force ", mais quelle justice : 1) celle qui est idéale, " ce qui est juste " ou 3) la justice de droit, qui fait de la force un prédicat nécessaire ( et non " juste " ) ? Il faut dénouer les apories et voir en quoi ce qui pourrait se donner comme contradiction n'est pas nécessairement " marque de fausseté

conduire à cette conclusion : 5) " il faut donc mettre ensemble la justice et la force ". Il faut, mais par quel principe : 1) celui de justesse ou 2) celui de nécessité ? " Mettre ensemble la justice et la force ", mais quelle justice : 1) celle qui est idéale, " ce qui est juste " ou 3) la justice de droit, qui fait de la force un prédicat nécessaire ( et non " juste " ) ? Il faut dénouer les apories et voir en quoi ce qui pourrait se donner comme contradiction n'est pas nécessairement " marque de fausseté

historiques. Il effectue alors de nombreux voyages d'inspection à travers la France et confie à l'architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration d'édifices en péril comme la basilique de Vézelay en 1840, la Cathédrale Notre-Dame de Paris en 1843 ou la Cité de Carcassonne, à partir de 1853. Proche de l'impératrice Eugénie, il est fait sénateur en 1853 et anime les salons de la cour, par exemple avec sa fameuse dictée en 1857. Il publie alors moins de textes littéraires, pour se consacrer à des travaux