Citigroup

les acteurs publics ne savent plus très bien qui a pris quels risques; ils se reposent alors sur les banques pour savoir où elles en sont, alors qu'elles sont tout aussi perdues qu'eux… Ainsi, début novembre 2007, la puissante banque américaine Citigroup a annoncé des pertes records de 7 à 11 milliards de dollars liées aux subprime, ce qui a occasionné la démission de son PDG, Charles Prince. Depuis, la banque a littéralement découvert que ses pertes se montaient en fait à plus de 20 milliards de

pour le développement économique et immobilier) en vue de faciliter le développement de la finance islamique18(*). De nombreuses banques proposent des investissements compatibles avec la Chari'a en France comme BNP Paribas, Société Générale ou Citigroup mais il n'existe encore pas de banque islamique de détail. De nouvelles mesures fiscales en vigueur depuis le début de l'année 2009 vont permettre de faciliter le développement de la finance islamique en France avec notamment la suppression du double

Application de la norme FAS 140: programme de validation (QSPE) de certains véhicules de titrisation permettant aux bénéficiaires de ce statut de déconsolider entièrement de leur bilan les actifs titrisés en franchise d’impôt. –  Exemple, fin 2007, Citigroup affichait 313,5 mds $ d’actifs hypothécaires au bilan et 510,5 mds $ dans les QSPE dont Citi était le sponsor. Elle gonflait ainsi ses profits par des commissions et transférait l’essentiel des risques à d’autres institutions. La déréglementation

2007 10 juillet ___________________________________________________ L’Agence de notation Moody’s abaisse la note de 399 titres liés aux prêts subprime octroyés par des grandes banques américaines (Citigroup, Morgan Stanley, Merril Lynch, Bear Stearns). (1) : source http://www.latribune.fr/entreprises/banques-finance/ -chronologie ; trois années de crise- 17 juillet ___________________________________________________ La banque d’investissement

perdent leur capital. Les conséquences Sur le secteur bancaire  Les banques américaines sont fortement exposées, à hauteur de 900 millions de dollars pour JP Morgan Chase (dont 500 millions ne sont pas garantis) et de 800 à 900 millions pour Citigroup, (dont les deux tiers sont garantis).  Parmi les banques européennes, les banques françaises sont également touchées : BNP, Paribas, Dexia, Société Générale, Crédit Lyonnais.  Les emprunts contractés ne seront jamais remboursés.  Perte d’activité

épargnants qui se sont dépêchés en masse pour récupérer leurs fonds déposés (retrait de 12% des montants déposés) ; - UBS : la banque suisse avait déclaré une perte estimée entre 510 et 680 millions $ et une suppression de 1500 postes de travail; - Citigroup : la première banque américaine avait annoncé une chute de 60% de son bénéfice net du troisième trimestre 2007 ; - Etc. Les banques jouent un rôle de premier plan dans la dynamique économique. La croissance économique crée de gros besoins en

occidentales. Les fonds souverains chinois CIC apport de cinq milliards de dollars dans Morgan Stanley, soit 9,9% du capital; des fonds singapouriens GIC apport de dix milliards de dollars dans UBS, soit 9% du capital, et de sept milliards de dollars dans Citigroup, soit 4,5% du capital; etc... Risque Par le membre du Conseil américain pour les relations internationales, Brad Setzer, « la montée des fonds souverains marque un basculement du pouvoir des États-Unis vers un ensemble de pays qui ne sont pas

  Fuld se démène jusqu'au bout   Autour de lui, il y a Timothy Geithner, le président de la Fed de New York, Christopher Cox, celui de la Securities and Exchange Commission, le gendarme de la Bourse, les patrons des grandes banques américaines Citigroup, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Merrill Lynch, et de banques étrangères. Après s'être séparés le vendredi soir, les groupes de travail se reforment le samedi - des équipes planchent même une partie de la nuit du samedi au dimanche

exportateur de mais et soja. Son secret de réussite était la coentreprise avec les fermiers et les coopératives. Il contrôlait en effet son marché amont en garantissant aux paysans l’achat du produit brut tout en leur convainquant de vendre à bas prix. Citigroup, l’usurière : Son début était comme une banque au service des marchands de la région. En créant des fusions avec autres banques voisines elle a acquis sa puissance pour devenir en 1915 la 1ère banque en Amérique. En 1976 elle a pris le nom de Citibank

qui a réussi a sortir sont épingles du jeu face à plus de 80 faillites bancaires. On la considère donc à la même place que la Bank of America. Le groupe des perdants est bien sur plus important et impressionnant parmi les plus gros : l’américain Citigroup, l’ancien géant financier mondial passant de 187 milliards d’euros en 2007 à 40 milliards en 2009. Merrill Lynch également a été racheté par la Bank of America, dans un contexte plutôt, qui n’a pas plus au Président des Etats Unis Barack Obama.