Citigroup

139 milliards de dollars. Les dirigeants créèrent en interne plus de 3000 sociétés offshores faisant passer ces sociétés pour leurs fournisseurs, ils pouvaient contrôler les prix de l'énergie. Tout ceci avec l'aide des cabinets d'Arthur Anderson ; Citigroup ; JP Morgan. Le 31 octobre 2001, la SEC (Securities Exchange Commission) ouvre une enquête, et c'est seulement à partir du 02 décembre de la même année que les preuves de trucage sont établies. La multinationale se déclare en faillite, le cours de

financement export. Historiquement les banques les plus entreprenantes en financement d’avions sont les BFI européennes, suivies par leurs équivalents américains. Notamment, les leaders sont CA CIB et BNPP CIB suivies par Goldman Sachs, Deutsche Bank et Citigroup. Les sociétés de leasing sont à leur tour financées par les BFI, et on note que les plus importantes sont l’américaine GE Capital Aviation Services disposant de plus de 1600 avions suivie par la néerlandaise AerCap détenant plus de 1300 avions

milliards d'euros de bons à douze et dix-huit mois, en maintenant des taux stables par rapport aux dernières émissions malgré la dégradation de sa note par Standard and Poor's et Fitch. 5 6 ACTUALITES DU 20 OCTOBRE 2011 La banque américaine Citigroup va verser 285 millions de dollars pour solder des poursuites concernant la vente de produits financiers liés à des prêts hypothécaires (crise des subprimes). La banque a vendu pour un milliard de dollars de produits dérivés de crédits (CDO) basé

provisoirement par le gouvernement, n’ont procédé qu’à moins de 5% de dépréciations de leurs actifs, mais la situation pourrait se renverser avec le retournement du marché immobilier anglais. Les banques françaises résistent mieux même si, d’après Citigroup, elles devraient passer 4,2 milliards d’euros de dépréciations sur l’année 2008. 2-2- Les conséquences sur le marché financier Les défauts de paiements des crédits subprime retombent en premier lieu sur les établissements financiers spécialisés dans

Motors (Jap.) General Motors (E.U) Nomura HDG (Jap.) BT Group (G.B) Du Pont De Nemours (E.U) Capitalisation 90.18 44,07 36.93 32.50 26.10 25.25 24.67 23.20 20.41 20.09 Juin 2006 Société Exxon Mobil (E.U) General Electric (E.U) Gazprom (Russie) CitiGroup (E.U) Microsoft (E.U) BP (G.B) Bank Of America (E.U) HSBC HDG (G.B) Wal-Mart Stores (E.U) Toyota Motors (Jap.) Capitalisation 371.19 342.73 246.34 239.86 237.63 233.15 219.50 201.85 200.76 189.16 43 | P a g e Les Indices Boursiers 1) - Qu’est

obligations municipales (USA, détaxées pour les résidents, ce qui provoque des opportunités d’arbitrage). 29 La stratégie FI Arb offre des rendements annuels moyens sur 5 ans de 5,81%, inférieurs aux rendements des indices obligataires et actions (Citigroup WGBI 8,90% et DJW 10,54%). Cependant, la volatilité est moindre par rapport à ces indices (3,64% contre 7,95% pour Citi WGBI et 13,64% pour DJW). La correlation est quasi-nulle par rapport aux marches actions et obligations (- 0,06 contre le Citi

| | |du pays) |(2007) |%) | |Wachovia                 |96.7 |UBS |48.5 | |Citigroup                |67.2 |HSBC |33.1 | |Merrill Lynch |56.6 |RBS |16.5 | |Washington Mutual 

les Iles Caïman, permis le blanchiment de près de 32 milliards de dollars. L’établissement, lors de sa mise en faillite, a révélé un déficit compris entre 10 et 20 milliards de dollars[155]. Le continent américain n’a pas été épargné du reste : Citigroup, née de la fusion de Citicorp, elle-même holding de Citibank, et installée au Delaware, et Travelers, a été accusée de n’avoir pas respecté le principe de séparation entre activités de conseil et activités de placement financier, ce qui a laissé

internationaux malgré la disparition du SMI monnaie de réserve la bonne tenue actuelle du $ par rapport à l'€ pénalise les exportations 2. Les banques US contrôle du crédit (avec l’état) moyens de pression sur les finances d’autres états Citigroup au 1er rang mondial, JP Morgan Case au 3ème et la Bank of America auu 5ème rang en l’an 2000 3. des institutions internationales La forte influence exercée par les Etats-Unis dans divers organismes internationaux en fait des moyens de domination

chaque banque (moral hazard ) au nom de la sauvegarde d’une place menacée par un risque systémique : malgré l’exception du laisser-faire vis-à-vis de Lehman Brothers, le Trésor et la Fed américains négocient des plans d’aide à Bear Stearns, AIG, Citigroup et d’autres grands établissements financiers (notamment les deux grandes firmes de refinancement du crédit immobilier, Fanny Mae et Freddy Mac, par des soutiens ponctuels puis un refinancement massif sur fonds publics . Intenses débats entre experts